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  • Des photos des antifas ayant envahi le Capitole vous en voulez encore ? En voici, en voila

    https://ripostelaique.com/capitole-envahi-une-provocation-montee-par-les-antifas-preuves-accablantes.html

    Capitole envahi : une provocation montée par les antifas, preuves accablantes

    Publié le 7 janvier 2021 - par - 128 commentaires - 12 137 vues

    La manifestation immense, appelée par Donald Trump devant le Capitole se déroulait dans une ambiance bon enfant. Le contexte était particulier, après l’élection en Géorgie, à nouveau marquée par d’énormes fraudes, qui permettaient aux démocrates de ravir les deux sièges, et d’envoyer par ailleurs au Sénat un pasteur noir antisémite, un nommé Warnock. Tommy Robinson s’étonnait, dans un tweet que les candidats Démocrates aient gagné 170 000 voix pour l’un et 200 000 voix pour l’autre, en l’espace de 35 minutes !

    Georgie, le peuple a parlé, mais qu’a-t-il dit ?

    Donald Trump avait tenu un de ces formidables discours dont il a le secret, rappelant le vol électoral dont le peuple américain avait été victime. Il avait mis la pression sur Mike Pence, l’appelant à faire respecter le vote populaire, et à faire ce qu’il fallait pour cela. “Vous êtes le vrai peuple qui a construit cette nation. Les démocrates veulent la détruire”. “J’ai gagné l’élection avec 75 millions de voix, soit 12 de plus qu’en 2016.”

    Avec ce qui s’est passé en Géorgie la veille, le vote du Congrès devient encore plus important pour barrer la route aux Démocrates. Comme prévu, des sénateurs républicains ont contesté les grands électeurs des six États concernés par les fraudes massives des démocrates. Et comme on pouvait le craindre, Mike Pence et le président du groupe républicain du Sénat, Mitch McConnell, n’ont pas donné suite à cette demande, trahissant ouvertement Donald Trump. Notre ami Jacques Guillemain a parfaitement expliqué cela hier.

    Mike Pence venait de trahir Trump… et le peuple est intervenu !

    Partout a circulé la thèse de supporters de Trump, qui, excédés par ce hold-up électoral, auraient pris d’assaut le Capitole. Ce qui, par ailleurs, aurait été parfaitement compréhensible, devant l’énormité du scandale. Naturellement, tous les médias ont hurlé au putsch, au coup d’État trumpiste, et ont condamné le Président américain et ses supporters.

    Pourtant, s’il est possible que des supporters de Donald Trump aient fait partie des Américains qui ont envahi le Capitole, il s’avère, et les preuves commencent à tomber des États-Unis, que ce sont des milices antifas qui ont infiltré le cortège, et qui, avec la complicité de la police, ont pu entrer dans la place, et interrompre le travail des parlementaires, qui, terrorisés, se seraient réfugiés dans les sous-sols.

    Quelques documents troublants confirment cette thèse. D’abord, les antifas avaient ouvertement appelé leurs militants à infiltrer les manifestations des Républicains, dès le lendemain de l’élection.

    La technique était parfaitement mise au point : “ma superviseuse antifa dit que ceux qui vont à DC (Washington) vont porter un camouflage et tout un attirail pro-Trump, mais qu’il tourneront leurs casquettes vers l’arrière pour se reconnaître dans la foule”.

    Certains supporters de Trump dénonçaient d’ailleurs, devant le Capitole, l’attitude de certains casseurs antifas.

     

    Ensuite, on peut s’interroger sur la facilité avec laquelle quelques centaines de manifestants ont pu forcer les grilles et entrer dans le Capitole. Mais tout s’explique.

    Regardez, la police du Capitole a laissé les Antifas entrer en ouvrant les barrières censées les empêcher d’approcher.

    https://twitter.com/Jimmyrealdeal/status/1346955808853139461

    A l’intérieur, ce fut encore plus étonnant.

  • Neige... Le poétique virus ne nous fait pâlir, il nous fait jouir (XL)

    Le ciel couvre d’un duvet blanc

    Une nature ensevelie sous l’hiver 

    Couvrez mannes célestes

    Les plantes ballottées par les éléments

    La terre tiraillée par la vie par la mort

    Nourrissez une stoïque nature

    Elle porte vos créatures

    Fondez-vous douces gelées

    Dans les entrailles de notre terre

    Abreuvez le monde de votre innocente eau

    Quand tant de larmes salées sèchent les cœurs

     

    Maints nuages éclatés tombent en silence

    L’hiver étouffe leur chute

    Dans un berceau venteux

    L’hiver les enrobe de légèreté

    Et fait choir les plumes de la félicité

    En d’énormes quantités

    Les nimbus portaient en leur sein

    L’eau lustrale de notre sainte planète

    Ils inondent de leur fraîcheur

    Un monde de douleur

     

    Majestueusement étalée

    La neige tourne en paix

    Quand elle enlace les pieds

    Lorsqu’elle marque les pas

    Déroulant le tapis

    Aux roues d’une infernale mobilité

    Elle feutre de dissonants échos

    Dans sa masse neigeuse

    Et réconcilie un branle-bas

    Avec la sérénité

     

    Un hiver d’albâtre consume dans l’âtre

    Un bois condamné au feu de cheminée

    Sur l’autel de la froide perception

    L’hiver glisse les hommes

    Dans la chaude intimité

    Quand dehors la blanche majesté tombe en fleurs

     

     

  • Souhaiter l'annihilation d'Israël est le verbiage politique d'une réalité qu'il convient d'accepter selon Tweeter

    Pour justifier sa décision de bannir Donald Trump, l’entreprise Tweeter a invoqué deux messages postés par le président sur le réseau social. Sur le premier il écrivait : « Les 75.000.000 de grands patriotes américains qui ont voté pour moi, America First, et Make America great again, auront une voix géante dans le futur. Ils ne seront ni méprisés ni traités injustement de quelque manière que ce soit !!! » Les dirrigeants de Tweeter estimaient que le message pouvait inciter à la violence. Quant au second tweet où Trump exprimait son refus de participer à l’investiture de Joe Biden le 20 janvier, les pontes de Tweeter considéraient que la non-participation pourraient être perçue par nombre d’américains comme le refus de considérer l’élection de Joe Biden comme légitime.

    Mettons en parallèle les motivations de ces deux refus avec la réponse qu’un des responsables de Tweeter à fourni au partisan israélien, Arsen Ostrovsky, lorsque celui-ci l’interrogeant sur la raison du passe-droit accordé à Ayatollah Khamenei qui dans moult tweets convoite la disparition d’Israël  se vit répondre “ce ne sont que des menaces verbales de politique étrangère”. On ne peut que constater la fourberie d’une entreprise. La mise en valeur de citoyens américains est une profession de foi patriotique. La censurer n’est qu’un faux-fuyant devant une réalité que Tweeter ne peut accepter ; ce déni de la réalité se traduit par la non-acceptation que Trump puisse en boycottant ladite cérémonie, mettre en doute la légitimité de l’élection de Joe Biden. En revanche souhaiter l'annihilation d'Israël est le verbiage politique d'une réalité qu'il convient d'accepter selon Tweeter qui se révèle être un réseau social totalitaire.

    David Frenkel