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  • La vérité est bien une preuve, n'en déplaise...

    Il n'y a pas photo ! L'implication des Antifas dans l'assaut du Capitole, est bien vraie ! Tout le reste n'est qu'une dialectique d'occultation de faits avérés !

     

    Et encore : https://youtu.be/0rWtevr6_so

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  • Journalistes, sachez que vous êtes responsables des maux que peuvent engendrer vos mots !

    Je lis dans l’article de l’AFP intitulé « Proche-Orient Premières élections en Palestine depuis 2005 » et publié hier dans maints journaux : ...Il n’était pas clair dans l’immédiat si Israël, qui occupe et a annexé Jérusalem-Est, secteur palestinien de la ville, autorisera les habitants de ce secteur à voter à ces élections…

    l’AFP plonge en plein dans le délire fantasmatique. La première évocation de Jérusalem remonte à 1900 ans avant notre ère dans des textes égyptiens. La ville a été tour à tour sous domination égyptienne, israélite, judaïque, babylonienne, perse, hellénistique, lagide, hasmonéenne, romaine, byzantine, arabe, ottomane et britannique. En 1948, et durant dix-neuf ans,  Jérusalem-Est est sous la domination jordanienne, puis à partir de 1967, à la suite de l’agression de la Jordanie, la partie Est de la ville sainte passe sous la tutelle israélienne.

    Alors, je demande aux rédacteurs de l’AFP, quand est-ce que le secteur de Jérusalem-Est était-il palestinien ? Et rappelons-leur que la Palestine n’avait alors jamais existé en tant qu’État, mais uniquement en tant que lieu géographique dont le nom "Palestine" fut donné par l'empereur romain Hadrien qui, désireux de punir les Juifs de leur révolte en 132-135 ap J.C. nomma toute cette région Palestine, du nom de leur ennemi juré, les Philistins, et dont dérive le mot « palestinien. Actuellement, l’État de Palestine qui a été reconnu officiellement par l'ONU que le 15 décembre 1988, n'a pas de frontières encore définies, car les négociations avec Israël concernant les territoires revendiqués, par l'Autorité palestinienne, et qui ne peuvent être matériellement occupés, n'ont pas encore abouti.

    Écrire, comme le fait l'AFP, qu’Israël occupe et a annexé Jérusalem-Est secteur palestinien de la ville, revient à sous entendre que la Jordanie qui occupait ce secteur jusqu’en 1967 était déjà un État palestinien. Le simple quidam pourrait alors se demander : pourquoi vouloir en créer encore un ?

    Journalistes, sachez que vous êtes responsables des maux que peuvent engendrer vos mots !

     

    David Frenkel

  • Des preuves vous en voulez encore ? Je suis à votre entière disposition

    Souffrez que je vous dise :

    Nous marcherons vers le Capitole », a déclaré Trump. Il n’a pas dit « Nous prendrons ou envahiront le Capitole ».Voici son texte en anglais : So we’re going to, 

    «After this, we’re going to walk down and I’ll be there with you. We’re going to walk down. We’re going to walk down any one you want, but I think right here. We’re going walk down to the Capitol, and we’re going to cheer on our brave senators, and congressmen and women. We’re probably not going to be cheering so much for some of them because you’ll never takendre back our country with weakness. You have to show strength, and you have to be strong»

    L'auteur d'un billet semble traduire "Walk down" allons descendre" par "prendre", par "envahir"....

    L’avocat constitutionnaliste Robert Barnes a fait un simple calcul, comme dans les enquêtes criminelles, lorsque la police chronomètre les déplacements d’un suspect pour vérifier s’il pouvait matériellement se trouver sur les lieux au moment du crime. Il a fait ce que faisaient les journalistes du passé qui recherchaient les faits et enquêtaient pour rapporter la vérité. Et il a rapidement réalisé que ceux qui ont assisté au discours de Trump à l’Ellipse, ne pouvaient matériellement pas avoir eu le temps d’être au Capitole au moment où les manifestants y sont pénétrés. Trump n’a tout simplement pas pu provoquer les incidents du Capitole Il a déclaré ceci :Les partisans qui ont assisté au discours de Trump à l’Ellipse ne pouvaient pas être ceux qui ont pénétré dans la Capitole, car le discours de Trump a été long, et le public ne pouvait pas avoir eu le temps d’arriver au Capitole. Quiconque blâme le discours de Trump (qui n’a jamais appelé à un tel acte de violence) se trompe.

    Par ailleurs, lis-je dans ce même billet :

    Et cette information ne constitue pas une preuve que Donald Trump n’a pas incité à la violence,

    Toutefois, l'auteur du billet n'arrive non  plus à prouver que Trump à incité à la violence et à envahir le Capitole. Par ailleurs il prend bien soin de ne tirer qu'un petit extrait des déclarations de la FBI, pour mettre en doute les preuves que fournit Mr Grumberg. Je prie donc les lecteurs de se référer aux déclarations complètes de la FBI. Et les voici:

    1. https://www.fbi.gov/contact-us/field-offices/washingtondc/news/press-releases/fbi-assistant-director-in-charge-steven-m-dantuonos-remarks-at-press-briefing-regarding-violence-at-us-capitol-011221
    2. https://www.nbcnews.com/news/crime-courts/fbi-nypd-told-capitol-police-about-possibility-violence-riot-senior-n1253646
    3. https://www.nbcnews.com/news/crime-courts/fbi-nypd-told-capitol-police-about-possibility-violence-riot-senior-n1253646?cid=eml_nbn_20210110
    4. https://www.nytimes.com/interactive/2021/01/12/us/capitol-mob-timeline.html
    5. https://www.theatlantic.com/culture/archive/2021/01/inaction-capitol-police-was-design/617590

    En revanche, moi, je lui ai fourni certaines preuves qu'il n'a pu contredire, et je lui en fournis encore : ce sont bien les gens d'Antifas qui ont en grande majorité envahi le Capitole, et d'abord ceci :

    04h03 : Les enquêteurs enquêtent sur des soupçons que l’attaque du Capitole américain a été planifiée avec l’aide d’initiés – ce qui innocente encore plus Trump d’avoir incité l’incident.

    Catherine Herridge, Correspondante en chef des investigations pour @CBSNews arrive exactement à la même conclusion que le NYT, et explique comment, mercredi, un créneau décisif s’est dessiné entre 12h30 et 13h15 :

    • A 12h45, pendant que POTUS s’adressait au rassemblement, et avant de conclure, un groupe était déjà en train de pénétrer sur le terrain du bâtiment du Capitole.
    • A 12h45, une première bombe artisanale était découverte au quartier général du Comité national Républicain, et une deuxième bombe artisanale au Comité national Démocrate.
    • A 13h15, Les bombes artisanales ont pu être destinées à affaiblir davantage la sécurité ou mutiler les législateurs qui évacuaient.

    La chronologie de l’ « incitation » est dévoilée alors que l’ancien chef de la police du Capitole déclare que Pelosi et les sergents d’armes de McConnell ont refusé les mesures de sécurité. Par Pierre Rehov

    Le Washington Post a rapporté que le chef de la police du Capitole sortant, Steve Sund, estimait que ses efforts pour sécuriser les locaux ont été sapés par le manque d’intérêt des responsables de la sécurité de la Chambre et du Sénat qui dépendent directement de la présidente Nancy Pelosi et du leader du Sénat Mitch McConnell. Le National Pulse peut également rapporter que la chronologie du Washington Post prouve qu’il était impossible pour les participants au discours du Trump de se rendre au Capitole à temps pour « l’assaut' »

    Outre le fait que Trump a ouvertement appelé à « l’acclamation » du membre du Congrès et à des protestations « pacifiques », le calendrier établi à partir de nombreux rapports des médias de l’establishment ne tient tout simplement pas la route.

    L’admission que les responsables de la sécurité de la Chambre et du Sénat n’ont pas fourni de ressources à la police du Capitole lors de cette journée soulèvera des questions sur leur rôle dans les événements de la journée.

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