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  • (Mise à jour II) Joe Biden, le président "démocratiquement" élu

    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 7 août 2021

    Une enfant que Joe Biden tient par l’épaule devant les caméras vient d’avouer qu’il l’a pelotée et lui a pincé le téton alors qu’elle n’avait que 8 ans. https://youtu.be/g6zXhYsIWKQ

    Non content de ce fait, le pervers Joe Biden attrape une petite fille et lui chuchote à l’oreille lors de la signature d’un projet de loi à la Maison Blanche. Mais où sont-ils donc les anti-Trumpistes qui n’ont cessé durant quatre ans de ternir l’image d’un président démocratiquement élu ?

    Voici un communiqué (02.08.21) que le public ignore :

    • Communiqué de Donald Trump :

    Le New York Times, et d’autres, insèrent toujours une mention dans leurs articles, « [Trump affirme] SANS PREUVE, que l’élection a été décidée frauduleusement. » Comme d’habitude, ce sont des FAKE NEWS.

    Il y a des preuves massives et sans équivoque que l’élection a été marquée par la fraude et les irrégularités à un niveau que notre pays n’a jamais vu auparavant. La plupart de ces preuves sont déjà publiques, et beaucoup d’autres seront publiées dans un avenir très proche. Chaque fois que vous lisez une déclaration selon laquelle il n’y a « aucune preuve de fraude électorale », à propos de l’escroquerie de l’élection de 2020, attribuez simplement cette déclaration à des médias véreux et complices (ils travaillent en étroite collaboration avec les Démocrates de la Gauche Radicale) qui feront tout pour cacher les faits réels de ce fiasco électoral.

    Après avoir vu les preuves irréfutables de nombreux États, d’autres parlent de procéder à des audits légaux approfondis. Cette élection était une escroquerie, et ces médias à la noix font tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher les gens de voir ou de lire ce qui s’est réellement passé. Nous n’avons plus de médias libres et indépendants (ils ne couvrent pas la vérité), mais le scandale se répand plus fort que jamais.

    Même le ministère de la Justice ne s’intéresse pas à l’élection présidentielle de 2020, qui était truquée et corrompue. Ils ne sont intéressés qu’à faire du mal à ceux qui veulent révéler à quel point elle a été totalement indigne. Le Département de la Justice devrait s’intéresser aux personnes qui ont truqué l’élection, et non aux Patriotes de notre Pays qui cherchent à découvrir comment notre Nation a été escroquée.

    Nous devons également nous tourner vers l’avenir et nous battre pour que les législatures des États réforment leurs élections afin que de telles situations ne se reproduisent JAMAIS. En fin de compte, la vérité gagnera !

    Par ailleurs, L’expert électoral Seth Keshel a publié ses analyses de la fraude nationale : Il arrive à 8,1 millions de votes excédentaires dans les élections américaines et affirme que Trump a remporté les élections en Pennsylvanie, au Michigan, au Wisconsin, au Nevada, en Arizona, en Géorgie et au Minnesota. (2/8/21)                                                                                           (source Dreuz info)voici un discours croustillant de Joe Biden à l’occasion du 31e anniversaire de l’Americans with Disabilities Act. Dans nos contrées, quel diffuseur d’information a-t-il eu la probité de le diffuser ? Pendant les années de gouvernance Trump que n’a-t-on pas médiatiquement lu et entendu de railleries sur le compte de ce dernier. Merci à Patrick Grumberg de Dreuz Info d’avoir traduit pour nous ce petit discours qui en dit long sur l’état mental d’un président américain dont bien des gens prétendent encore qu’il aurait été démocratiquement élu. Et dire que les faiseurs d'opinion nous occultent le fait que ce n'est pas Joe Biden qui dirrige les Etats-Unis, mais des gens qui se servent de lui comme une marionnette pour faire plonger les USA dans le marasme gauchiste et despotique.David Frenkel

    « Où est maman ? Maman ? » dit Biden en regardant autour et derrière lui, perdu

    … Et le membre du congrès Lan… heu, heu, où est-il ?

    [Biden se tourne vers la droite] Vous voilà, Paul (il s’appelle Jim). Vous comprenez cela mieux que quiconque. Je veux vous remercier, M. le député, pour tout votre travail. Je veux tous vous remercier d’être là.

    Ensuite – [Biden s’arrête] au fait, où est maman ?

    Biden regarde autour de lui, et derrière lui. « Maman ? Où est maman ? »

    Biden se retourne à nouveau : « Maman, elle est là ? »

    Brown lui répond : « Elle est à la maison en train de regarder. »

    Oh, elle regarde. OK.

    « Ok. Je pensais qu’elle avait l’air… J’ai dit, ‘Maman est là’. J’allais lui demander de se lever. Mais, maman, tu ne peux pas te lever si tu es à la maison », ajoute Biden.

    (01.08. 21 Patrick Grumberg pour Dreuz info)

    GB : Le « Daily Telegraph » alarmiste sur les facultés mentales de Joe Biden

    L’article se réfère à des cas de plus en plus en nombreux d’interruptions, d’embarras, d’hésitations et d’oublis de la part du président américain lors de ses interventions. Dominic Green est très sévère avec le Parti démocrate et les médias américains : « La présidence de Joe Bident est en train de devenir un véritable théâtre de cruauté qui ne peut s’achever que d’une seule manière. Tôt ou tard, Joe Biden se trouvera sous les projecteurs. Les Démocrates, qui ont poussé en avant un leader qui ne convient pas au poste le plus élevé des Etats-Unis, et les médias qui l’ont protégé se dévoileront un jour comme ayant trahi leur responsabilité envers le peuple américain. La confiance des citoyens dans leurs institutions démocratiques s’écroulera encore davantage et nous tous ferons partie de l’humiliation publique de Joe Biden ».

    La tribune publiée par Dominic Green ne lance pas des affirmations en l’air mais énumère les situations dans lesquelles le nouveau président américain semble perdu, le regard hagard et perdu, cherchant ses mots, balbutiant, se trompant lorsqu’il n’oublie pas carrément ce qu’il doit dire.

    Le journaliste note également que jamais un président américain n’est resté durant cinquante jours sans accorder la moindre conférence de presse depuis son entrée en fonction, ni ne pas prononcer le discours présidentiel traditionnel au Congrès au mois de février.

    Il en conclut que le staff de Joe Biden ne lui fait plus confiance pour tenir son rôle de président de la première puissance mondiale et que ce n’est plus lui qui prend les décisions finales dans la politique américaine. Au point que sa colistière, la vice-présidente Kamal Harris s’est déjà entretenue avec au moins six dirigeants étrangers, phénomène exceptionnel.

    Dominic Green conclut avec ce constat : ce qui se passe aujourd’hui à la Maison-Blanche est observé avec « intérêt » dans des capitales telles que Pékin, Moscou, Pyong Yang mais aussi Téhéran…

    Et le plus grave dans tout cela, est que tout le monde était au courant durant la campagne, mais la haine anti-Trump a mis ce fait sous l’éteignoir.