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Souhaiter l'annihilation d'Israël est le verbiage politique d'une réalité qu'il convient d'accepter selon Tweeter

Pour justifier sa décision de bannir Donald Trump, l’entreprise Tweeter a invoqué deux messages postés par le président sur le réseau social. Sur le premier il écrivait : « Les 75.000.000 de grands patriotes américains qui ont voté pour moi, America First, et Make America great again, auront une voix géante dans le futur. Ils ne seront ni méprisés ni traités injustement de quelque manière que ce soit !!! » Les dirrigeants de Tweeter estimaient que le message pouvait inciter à la violence. Quant au second tweet où Trump exprimait son refus de participer à l’investiture de Joe Biden le 20 janvier, les pontes de Tweeter considéraient que la non-participation pourraient être perçue par nombre d’américains comme le refus de considérer l’élection de Joe Biden comme légitime.

Mettons en parallèle les motivations de ces deux refus avec la réponse qu’un des responsables de Tweeter à fourni au partisan israélien, Arsen Ostrovsky, lorsque celui-ci l’interrogeant sur la raison du passe-droit accordé à Ayatollah Khamenei qui dans moult tweets convoite la disparition d’Israël  se vit répondre “ce ne sont que des menaces verbales de politique étrangère”. On ne peut que constater la fourberie d’une entreprise. La mise en valeur de citoyens américains est une profession de foi patriotique. La censurer n’est qu’un faux-fuyant devant une réalité que Tweeter ne peut accepter ; ce déni de la réalité se traduit par la non-acceptation que Trump puisse en boycottant ladite cérémonie, mettre en doute la légitimité de l’élection de Joe Biden. En revanche souhaiter l'annihilation d'Israël est le verbiage politique d'une réalité qu'il convient d'accepter selon Tweeter qui se révèle être un réseau social totalitaire.

David Frenkel

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