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  • Cela ne relève pas du fantasme, mais des faits, et d'une logique qui ne peuvent être contredits

    Cinq preuves irréfutables que Trump n’a pas incité à la violence au Capitole

    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 13 janvier 2021 

    J’ai relevé une remarque faite par Jack Posobiec, elle est d’une puissance nucléaire : « Si Trump avait vraiment dit quelque chose qui incite à la violence, CNN le diffuserait en boucle du matin au soir. »

     

    C’est la preuve par l’absurde, la preuve ultime quant on connaît l’obsession anti-Trump de CNN, que les accusations contre Trump sont mensongères, montées de toutes pièces par les Démocrates et les journalistes pour noircir sa présidence, effacer des mémoires tout ce qu’il a accompli, et réduire ses formidables quatre années de réussites et de victoires à trois heures d’émeute. C’est le travail des médias.

    Cinq preuves irréfutables que Trump n’a pas incité à la violence

    1 Le FBI a déclaré mardi (1) avoir reçu des informations « plusieurs semaines avant le 6 janvier » que des activistes planifiaient une « guerre » contre le Capitole, notamment en tuant des officiers. Ils ont même distribué des cartes du Capitole.

    2 Le FBI a alerté avant le 6 janvier les forces de l’ordre de Washington D.C. par le biais du système d’alerte de la Joint Terrorism Task Force.

    « Nous avons  obtenu des renseignements selon lesquels un certain nombre d’individus prévoyaient de se rendre dans la région de Washington avec l’intention de provoquer des violences », a déclaré le directeur adjoint Steven M. D’Antuono.

    « Nous avons immédiatement partagé ces informations, et des mesures ont été prises. »

    https://www.fbi.gov/contact-us/field-offices/washingtondc/news/press-releases/fbi-assistant-director-in-charge-steven-m-dantuonos-remarks-at-press-briefing-regarding-violence-at-us-capitol-011221

    3 Le FBI a « rendu visite » à certains des activistes et leur a « conseillé » de ne pas se rendre à Washington (2).

    Le FBI a rendu visite à plus d’une douzaine d’extrémistes déjà sous enquête pour les exhorter à ne pas se rendre à Washington, ont déclaré de hauts responsables des forces de l’ordre.

    https://www.nbcnews.com/news/crime-courts/fbi-nypd-told-capitol-police-about-possibility-violence-riot-senior-n1253646

    4 NBC* : « Le département de police de New York a averti la police du Capitole, à l’avance, avoir des renseignements sur l’imminence de violences » (3).

    Le département de police de la ville de New York a transmis des informations à la police du Capitole américain concernant la possibilité de violences lors des manifestations de mercredi contre le décompte du vote du Collège électoral.

    https://www.nbcnews.com/news/crime-courts/fbi-nypd-told-capitol-police-about-possibility-violence-riot-senior-n1253646?cid=eml_nbn_20210110

    5 Enfin, la chronologie des événements établie par le New York Times lui-même (4), au moyen de vidéos, montre que les manifestants ont commencé à s’en prendre au Capitole 20 minutes avant que Trump ne termine son discours.

    Une vingtaine de minutes avant la fin du discours de Trump, des personnes dans la foule du Capitole harcèlent les officiers postés aux barricades et commencent à déclencher la violence. D’autres suivent le mouvement, jusqu’à ce qu’ils submergent violemment la police et fassent une brèche dans le périmètre extérieur du bâtiment.

    https://www.nytimes.com/interactive/2021/01/12/us/capitol-mob-timeline.html

    Catherine Herridge, Correspondante en chef des investigations pour @CBSNews arrive exactement à la même conclusion que le NYT, et explique comment, mercredi, un créneau décisif s’est dessiné entre 12h30 et 13h15 :

    • A 12h45, pendant que POTUS s’adressait au rassemblement, et avant de conclure, un groupe était déjà en train de pénétrer sur le terrain du bâtiment du Capitole.
    • A 12h45, une première bombe artisanale était découverte au quartier général du Comité national Républicain, et une deuxième bombe artisanale au Comité national Démocrate.
    • A 13h15, Les bombes artisanales ont pu être destinées à affaiblir davantage la sécurité ou mutiler les législateurs qui
    • évacuaient.

    Catherine Herridge

    @CBS_Herridge

    #CapitolBuilding TIMELINE: Critical window Wednesday is coming into focus 1230-1315.  While POTUS addressed the rally + before he concluded, a group was already pushing onto the grounds of the Capitol building + first pipe bomb discovered (1245p) at RNC + second pipe bomb at DNC

    Image

    Conclusion

    Ces preuves soulèvent la question essentielle de toute cette affaire : Comment le président Trump a-t-il pu inciter à une attaque contre le Capitole qui a été planifiée plusieurs semaines avant, et a commencé avant la fin de son discours (où il a d’ailleurs parlé de marche pacifique) ?

    La question est rhétorique : Trump ne pouvait pas avoir incité à la violence.

    La question subsidiaire est celle-ci : puisqu’il est normal et compréhensible que les Démocrates du Congrès soient assez corrompus pour refuser de tenir compte de ces preuves ; qu’il est normal est compréhensible que des élus Républicains anti-Trump corrompus, qui pendant 4 ans ont eu du mal à mener leurs petites combines, se soient vengés ; qu’il est normal que la presse, corrompue jusqu’à la moelle, mette toute l’affaire sur le dos du président ; puisque tout ceci est normal, y a-t-il eu complicité des Démocrates ?

     

    Que savaient Nancy Pelosi et les autres dirigeants du Congrès ? Mitch McConnell ? Chuck Schumer ? Quand ont-ils su qu’il y aurait des violences ? Pourquoi ont-ils décliné l’offre du Pentagone d’envoyer des gardes nationaux pour renforcer la police du Capitole avant l’attaque ? Pourquoi le président et ses collaborateurs n’ont-ils pas été informés, avant son discours, que des violences étaient attendues ? Pour l’empêcher de faire des appels au calme ?

    Même le très à gauche Atlantic publie (5) « L’inaction de la police du Capitole était voulue ».

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    1. https://www.fbi.gov/contact-us/field-offices/washingtondc/news/press-releases/fbi-assistant-director-in-charge-steven-m-dantuonos-remarks-at-press-briefing-regarding-violence-at-us-capitol-011221
    2. https://www.nbcnews.com/news/crime-courts/fbi-nypd-told-capitol-police-about-possibility-violence-riot-senior-n1253646
    3. https://www.nbcnews.com/news/crime-courts/fbi-nypd-told-capitol-police-about-possibility-violence-riot-senior-n1253646?cid=eml_nbn_20210110
    4. https://www.nytimes.com/interactive/2021/01/12/us/capitol-mob-timeline.html
    5. https://www.theatlantic.com/culture/archive/2021/01/inaction-capitol-police-was-design/617590

    *je ne mentionne aucun média de droite, intentionnellement, vu l’importance qui a été donnée à cette affaire par les mêmes médias qui apportent les preuves contraires à leurs accusations

    PS de David Frenkel :

    PS 1) A ceux qui prétendent que parmi les envahisseurs du Capitole figuraient des nazis pro-Trump, je leur rétorquerais que L’administration Trump a été la première de l’histoire des États-Unis à classer terroriste un groupe suprémaciste blanc néo-nazi : les médias boycottent l’information parce qu’ils ont dit que le néo-nazi, c’est Trump. c’est une information très importante. En pleine pandémie, l’administration Trump est maintenant la première administration américaine à qualifier un groupe de suprématie blanche d’organisation terroriste. Cette décision, note le New York Times – oui vous lisez bien, le New York Times :« pourrait couper court aux critiques selon lesquelles l’administration Trump a minimisé la menace de violence nationaliste blanche pour des raisons politiques ».Cette nouvelle coupe la chique aux menteurs, qui depuis 4 ans font croire aux gauchistes aux oreilles passablement atteintes d’anti-américanisme primaire, que Trump est un suprémaciste blanc, et ils se servent de ses déclarations – transformées par les médias – après l’attaque par un néo-nazi, qui a fait un mort lors d’une manifestation à Charlottesville le 12 août 2017. Alors que les critiques de M. Trump ont souvent dépeint le président comme « raciste » et « donnant du pouvoir » aux tenants de la suprématie blanche dans sa rhétorique, son administration a maintenant pris de multiples mesures décisives et historiques pour contrer la menace de la suprématie blanche, souligne encore le New York Times . La Maison-Blanche avait, sans qu’aucun média ne le rapporte, ajouté les groupes de suprématie blanche à la stratégie nationale de lutte contre le terrorisme du gouvernement fédéral en 2018 a). voir suite s/ https://www.dreuz.info/2020/04/11/trump-premier-president-de-lhistoire-a-classer-groupe-terroriste-un- mouvement-neo-nazi/ 

    Évidemment, Trump ne peut que les dénoncer, mais il ne peut les empêcher de se réclamer "Pro-Trump".

    PS 2) ET ENCORE CECI (cela vient de sortir)

    Dreuz info 15/1/21 6h42

    comme souvent, il existe une différence entre ce qu’on sait et la réalité, mais peu à peu, les journalistes honnêtes et curieux déterrent des informations. John Sullivan, un militant antifa, a incité la foule à attaquer les portes du hall du Président de la Chambre, ce qui a entraîné la mort d’Ashli Babbitt. Trump a reçu un rapport sur Sullivan suggérant qu’il n’a pas agi tout seul. CNN l’a invité à l’antenne.

     

    Dreuz Info 15/1/21 6h 58 : 

    06h58 : Dans une déclaration sous serment, un agent du FBI affirme que l’activiste de gauche et antifa supporter Sullivan est accusé d’avoir participé à l’émeute du Capitole et d’avoir incité les participants à y mettre le feu.

    Le FBI a informé le président Trump que Sullivan n’a pas agi seul. 

    Dreuz Infon 15/1/21 07h08 : La photo-journaliste de CNN-NPR Jade Sacker était avec John Sullivan, le leader des infiltrés antifa pendant le siège du Capitole – qui juste après qu’Ashli Babbitt ait été abattue, s’est acclamé « Nous l’avons fait ! après avoir incité à l’émeute. Son implication dans le meurtre de la soldate – il se trouvait juste à côté d’elle quand elle a été abattue – fait l’objet d’une enquête.

    Cette histoire montre une fois de plus à quel point les journalistes sont menteurs, vicieux et corrompus : ils se jettent sur les conclusions qui leur conviennent sans attendre les enquêtes de la police, et sans enquêter eux-mêmes. La même chose que pour les attentats terroristes islamiques : ils concluent que l’auteur est mentalement instable quelques minutes après leurs crimes, alors qu’il faut des heures, voire des jours, pour se procurer leurs dossiers médicaux – qui sont confidentiels – les étudier et les faire analyser par des experts.

    • Dreuz Info 15/1/21 07h14 : voici un autre témoignage sur John Sullivan par un des rares journalistes d’investigation honnête en qui Dreuz a confiance : Andy Ngô (qui était présent lors des destructions de Portland par les Antifa et Black Lives Matter [BLM] et dont Dreuz a publié un grand nombre de ses images et reportages tweetés) :

    Le militant extrémiste de BLM John E. Sullivan a été arrêté pour sa participation aux émeutes du Capitole. Il a été accusé d’émeutes et de délits criminels. L’été dernier, il a également été inculpé pour une émeute du BLM en Utah où une personne a été abattue.

  • Il sera poilant de constater le silence de ceux qui n’ont cessé durant quatre ans de pourfendre Donald Trump

    Je viens d'apprendre qu’une procédure de destitution va être ouverte par les républicains de la Chambre des représentants contre Joe Biden le 21 janvier 2021. Voici la déclaration de la nouvelle représentante Républicaine Marjorie Taylor Greene pour la Georgie :        « Nous ne pouvons pas avoir un président des États-Unis qui est prêt à abuser du pouvoir de la présidence et qui peut être si facilement acheté par un gouvernement étranger, des compagnies énergétiques chinoises ou ukrainiennes. C’est pourquoi le 21 janvier, je déposerai des articles de mise en accusation contre Joe Biden ». Voici dans les grandes lignes les détails :

    Joe Biden est accusé d'avoir obtenu le limogeage d'un procureur ukrainien pour protéger une entreprise gazière, Burisma, de poursuites pour corruption, car son fils siégeait au conseil d'administration du groupe.

    En outre, Tony Bobulinski, 48 ans, a déclaré le 21 octobre passé lors d’une interview pour le New York Post que l’ancien vice-président Joe Biden « était le participant “volontaire et enthousiaste” à un projet familial visant à prendre des millions de dollars en s’associant à une entreprise communiste chinoise douteuse, car la firme n’était pas là pour faire du commerce, mais pour vendre "son influence politique ".

    Il sera poilant de constater le silence de ceux qui n’ont cessé durant quatre ans de pourfendre Donald Trump.

    David Frenkel

     

  • Pauvre d'eux ! Incapables de contredire ceux qui rapportent des faits avérés, ils les taxent d'extrême-droite

    Il est quand même fort de café que les chefs d’État qui exterminent leurs populations, que les présidents qui violent les droits humains aux yeux et au sus de tous, ne fassent pas l’objet de réprobations récurrentes. En revanche, un président comme Donald Trump qui peut inscrire à son crédit de n'avoir ni lancé ni intensifié de guerre, ce qui est en rupture flagrante avec tous ses prédécesseurs, et cela depuis 40 ans lorsque Jimmy Carter fut président, soit de manière incessante sous le feu de plumes enflammées. De plus, le premier nommé en initiant les accords d’Abraham, a écrit une page d’histoire de paix au Moyen-Orient. En parlant de paix, on a jamais compris pourquoi Barack Obama en a-t-il reçu le prix Nobel en 2009, alors que durant cette même année, il envoya 17’000 militaires supplémentaires en Afghanistan afin de venir à bout des talibans, ce que l’armée américaine n’a d’ailleurs pas réussi.

    Ceux qui ne cessent de réitérer la critique sans nuance, ceux qui ne peuvent s’empêcher d’être aveugle aux faits, ne sont-ils pas eux-mêmes psychopathes pour ne pas être en mesure de contenir leur haine anti-Trump. Celle-ci ne se mesure-elle pas également à l’aune de la politique pro-israélienne du président américain ?

    Par ailleurs, je constate que faute d’arguments contrecarrant des faits rapportés, bien des journalistes, maints blogueurs et nombre de commentateurs, taxent ceux qui les rapportent d’extrême droite. Ceux-là se font aussi fort de cacher sous des formules-clichés, stéréotypées, leur incapacité à contredire des allégations factuelles. Pauvre d’eux !

    PS 1) A ceux qui prétendent que parmi les envahisseurs du Capitole figuraient des nazis pro-Trump, je leur rétorquerais que L’administration Trump a été la première de l’histoire des États-Unis à classer terroriste un groupe suprémaciste blanc néo-nazi : les médias boycottent l’information parce qu’ils ont dit que le néo-nazi, c’est Trump. c’est une information très importante. En pleine pandémie, l’administration Trump est maintenant la première administration américaine à qualifier un groupe de suprématie blanche d’organisation terroriste. Cette décision, note le New York Times – oui vous lisez bien, le New York Times :« pourrait couper court aux critiques selon lesquelles l’administration Trump a minimisé la menace de violence nationaliste blanche pour des raisons politiques ».Cette nouvelle coupe la chique aux menteurs, qui depuis 4 ans font croire aux gauchistes aux oreilles passablement atteintes d’anti-américanisme primaire, que Trump est un suprémaciste blanc, et ils se servent de ses déclarations – transformées par les médias – après l’attaque par un néo-nazi, qui a fait un mort lors d’une manifestation à Charlottesville le 12 août 2017. Alors que les critiques de M. Trump ont souvent dépeint le président comme « raciste » et « donnant du pouvoir » aux tenants de la suprématie blanche dans sa rhétorique, son administration a maintenant pris de multiples mesures décisives et historiques pour contrer la menace de la suprématie blanche, souligne encore le New York Times . La Maison-Blanche avait, sans qu’aucun média ne le rapporte, ajouté les groupes de suprématie blanche à la stratégie nationale de lutte contre le terrorisme du gouvernement fédéral en 2018 a). voir suite s/ https://www.dreuz.info/2020/04/11/trump-premier-president-de-lhistoire-a-classer-groupe-terroriste-un- mouvement-neo-nazi/ Évidemment, Trump ne peut que les dénoncer, mais il ne peut les empêcher de se réclamer "Pro-Trump".

    a) https://www.nytimes.com/2020/04/06/us/politics/terrorist-label-white-supremacy-Russian-Imperial-Movement.html

    PS 2) voir également : https://fr.sputniknews.com/amp/international/202011101044746837-biden-juge-corrompu-par-deux-ministres-estoniens-qui-assurent-que-lelection-aux-usa-a-ete-truquee/

    David Frenkel