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  • Une piqûre de rappel

    Le journal italien Il Foglio, sur le peuple juif

    Pourquoi Israël est ce qu’il y a de meilleur parmi les nations du monde et ce malgré toutes les accusations lancées contre ce pays. Il est utile de savoir et d’apprécier l’unité des israéliens et leur volonté d’être dans la famille des nations.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre qui, depuis sa fondation, il y a 72 ans, a dû sacrifier 25.000 soldats pour assurer sa survie.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre sans frontières reconnues.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre dont la population vit sous une tension émotionnelle perpétuelle depuis sa création.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre constamment menacée d’être rayée de la carte.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre menacée par les boycotts du nord au sud de la planète.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre gagnante de toutes les guerres qui lui sont imposées, n’obtenant pas d’armistice qui lui soit favorable.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre qui fournit à son ennemi de l’eau, de l’électricité, de la nourriture et des traitements médicaux.

    -Je ne connais pas une autre nation sur terre où lors de visites officielles, on prononce des paroles irrespectueuses et offensantes.

    (lire la  suite s/https://www.tribunejuive.info/2021/01/03/le-journal-italien-il-foglio-sur-le-peuple-juif/)

    Il est donc grand temps que les journaux ayant pignon sur rue cessent de diaboliser, de dénigrer, de diffamer, un petit pays guère plus grand que deux départements français. Oui, et je fais de l'esclandre aux deux agences de presse AFP et ATS qui avec régularité, et à la moindre occasion, donnent du grain à moudre à ceux pour qui Israël est ce juif des nations qui doit passer sous la loupe critique. J'en veux aussi à cette presse écrite et audiovisuelle qui rémunère des envoyés spéciaux pour déblatérer sur l’État hébreu. Ceux-là profitent de la liberté d'expression que ce pays leur accorde pour ternir son image. L'AFP a refusé de signer la lettre ouverte de solidarité avec "Charlie Hebdo" par la volonté de "ne pas en mettre [ses] équipes en danger dans des pays musulmans". Je pense aussi au blogueur Hank Vogel qui n'a rien trouvé de mieux que de s'offusquer dans son avant dernier billet, :" de cet étrange président états-unien qui, avec son incohérente logique concernant l'histoire a redonné Jérusalem au peuple hébreu..." Son propos dépasse l'entendement ! Que Jérusalem, la cité de David, soit la capitale d'Israël, le gêne autant  jusqu'à en faire part au public démontre à quel point les pays qui foulent aux pieds les droits de l'homme n'attirent aucunement son  attention.  A-t-il, par exemple, consacré un billet pour vitupérer contre le régime iranien qui a récemment pendu le lutteur Navid Afkari ? Puissent les  soit-disant bien-pensants oublier, et le plus souvent qu'à leur tour, cet Israël qui est un pays comme tous les pays du monde, avec ses défauts, mais aussi avec ses qualités. Point barre.

    David Frenkel

     

     

     

  • Nouvelles précisions sur les fraudes électorales américaines {XVIII}, DES FAITS RIEN QUE DES FAITS s/Dreuz Info

    L’analyse de 3 000 comtés révèle que Joe Biden a reçu 5,6 % plus de votes dans les comtés utilisant les machines de vote du Dominion.

    L’analyse, menée par DataScience et diffusée par BASEDmedia a permis de construire un modèle statistique pour prédire la performance relative de l’un ou l’autre candidat en se basant sur les données des comtés du recensement américain avec une précision de 90%.

    Cette analyse a révélé que les comtés qui ont utilisé les dispositifs et logiciels de comptage des votes Dominion and Hart InterCivic ont systématiquement donné un avantage de 5 % des votes au candidat Joe Biden par rapport au président Trump. Cet avantage a été observé quelle que soit l’affiliation politique majoritaire du comté ou la démographie des zones urbaines, suburbaines ou rurales.

    Par ailleurs, et toujours selon Dreuz info, les sondages Reuters/Ipsos montrent tragiquement que 39% des Américains pensent que « l’élection a été truquée ». Cette opinion est partagée par les Républicains (67 %), les Démocrates (17 %) et les Indépendants (31 %)

    David Frenkel

     

  • Un livre qui délivre des mensonges ou des mensonges par omissions

    Barack Husein Obama vient de sortir un livre intitulé A promised Land (Une terre promise). Dans cet ouvrage on peut y lire de flagrantes contrevérités. Arrêtons-nous sur les plus flagrantes.

    Obama y définit Israël comme une puissance occupante en Palestine. Qualifier un pays d'occupant sous-entend que le territoire occupé appartenait à quelqu'un. Or, la Palestine est une région qui a été occupée par maintes puissances. La dernière en date fut la Grande Bretagne. Mais jamais et au grand jamais, la Palestine fut occupée par une puissance portant le nom éponyme de ce peuple. Cela pour la bonne raison que le peuple Philistin dont le nom dérive du latin Palaestina et du grec παλαιστινη (Palaistínē), eux-mêmes de l'hébreu pĕlesheth (פְּלֶשֶׁת), désignait un peuple, disparu depuis des lustres, qui était confiné sur une partie de la bande côtière centrée autour de l'actuelle bande de Gaza. Ce peuple n'a jamais occupé cette Palestine qui comprend aujourd'hui le territoire d'une région située entre la mer Méditerranée et le désert à l'est du Jourdain et au nord du Sinaï.  C'est l'empereur romain Hadrien qui désireux de punir les Juifs de leur révolte en 132-135 ap J.C. nomma toute cette région Palestine, du nom de leur ennemi juré.

    Obama nullement ne mentionne que c'était la Société de Nations qui, en 1918, donna mandat aux Britanniques d'encourager de plus en plus de juifs de venir s'installer sur leur terre ancestrale, d'où résulte la déclaration Balfour de 1920. Il est à noté que déjà depuis des temps immémoriaux, bien des juifs, victimes partout ailleurs d'outrages et de violences, trouvaient refuge sur cette terre peu peuplée.

    L'ancien président américain dans son livre met en avant le fait que « les Juifs entraînaient des forces armées hautement qualifiées pour défendre leurs   colonies » sans en mentionner les raisons. En 1919 un des chefs musulmans Amin al-Husseini – Grand Mufti de Jérusalem, admirateur et ami du Führer, adopte le processus hitlérien d'annihilation des juifs vivant en Palestine. Il organisa une série d'attaques dans toute la Palestine. Une des deux terribles épisodes fut le pogrom qui eut lieu à Jérusalem en 1920 durant la Pâque juive. En plus des -6- tués, des viols et des pillages de masse furent alors perpétrés. L'autre épisode eut encore lieu à Jérusalem en 1929 où des hordes arabes massacrèrent -133- juifs, la plupart dans leurs maisons, sans compter les nombreux blessés. Cette même année, ils occirent -67- juifs à Hébron, 20 autres à Safed, tout en s'en prenant aussi à leurs biens.

    La narration par Obama de la (re)naissance de l’État d'Israël manque singulièrement d'exactitude. Voici comment il la narre :  « Alors que la Grande-Bretagne se retirait, les deux parties entrèrent rapidement en guerre. Et avec la victoire revendiquée par les milices juives en 1948, l’Etat d’Israël naquit officiellement. » Or, ce n'était pas les deux parties qui rentrèrent en guerre, mais une seule qui étaient constituée par l’Egypte, la Syrie, l’Irak, la Transjordanie, le Liban et l’Arabie saoudite. Par ailleurs, qualifier les Forces de la Défense israélienne de "milices" possède une connotation sournoise, en référence sans doute aux milices d'extrême-droite, racistes, que la gauche US se figure assaillir le pays. Et quand l'illustre auteur prétend que «lors des trois prochaines décennies, Israël s’engagera dans une succession de conflits avec ses voisins arabes», il atteint le comble de l'affabulation. Jamais Israël n'a provoqué un quelconque conflit avec les pays arabes, c'est lui qui a toujours été attaqué !

    L'inimitié de l'ex-président envers Israël est si profonde qu'il va jusqu'à désigner le "Mont du Temple" comme étant « l’un des sites les plus sacrés de l’islam », tout en passant comme chat  sur braise sur la place que ce lieu occupe dans le judaïsme.

    Sus à un livre nauséabond.

    David Frenkel