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L’année, la peinture fébrile d’un vécu, s’étale le long d’un 31 décembre. L’homme observe le tableau coloré à l’aide de l’intenable pinceau. Mu par les étoiles, il a couvert la toile d’inconstantes couleurs chaudes, de paralysantes couleurs froides. Le portrait d'une année, le pan d'un destin individuel, s'affiche solennellement comme vedette.
Les douze coups de cloches ont emporté l’année de manière instantanée. Un nouveau maillon de la chaîne du temps a disparu dans les limbes de l’ineffable. Parfois, il éclaire le gouffre du passé d’une lueur dramatique, d'autres fois, il brille dans les annales pour solenniser l’année trépassée par de lumineuses rêveries.
Avant d'expirer, l’année défunte, une des filles du temps, a accouché à douze mois d'une cuvée d'espoirs, vidée de covid. La ferveur populaire berce le millésime nouveau-né.
Le futur naissant attire les flonflons ; au berceau de l’an nouveau la fête s’emballe ; les bons vœux pétaradent ; les liquides gonflent les flots de l’an nouveau et débordent sur d’ivres sentiments.
L’ivresse endormie ronfle sur l’an nouveau ; les corps sommeillent dans la flasque platitude d’une année nouvelle qui chicane un tel, d’une année nouvelle qui flatte une telle.
Les hommes se réveillent aux pleurs du nouveau-né; l’année a faim d’événements ; l’homme et la nature l’en gaveront sûrement.
Puisse l’année qui vient couronner non pas le virus microbien, mais le virus du bien.
N'en déplaise à ceux qui me censurent à chaque fois que j'aborde le coup d’état perpétré par les Démocrates aux États-Unis, au nom de la liberté d'expression, qui m'est obligeamment accordée ici, je continuerais à parler de cette fraude électorale dont le monde libre ne mesure pas encore les conséquences. Même en Suisse on n'est pas à l'abri des fraudes lorsque le peuple est appelé aux urnes, surtout s'agissant des votes par correspondance. Voir à ce propos, le billet que j'ai posté ici en date du 4 courant. Aïe, j'oubliais, le fait de se référer à Dreuz Info et à certains hommes dont les déclarations dérangent les "élites", me catalogue comme extrémiste ou comme complotiste. Mais je me sens le devoir d'essayer du moins d'apporter à l'intention de ceux qui sont avide de vérité des informations qu'ils ne liront ni ne verront ou n'entendront pas ailleurs. Au contraire, bien souvent les ailleurs portent le flambeau des fausses nouvelles ou de la désinformation, n'est-ce pas France Inter ?(voir https://www.lemondejuif.info/2020/12/france-inter-cherche-t-elle-a-faire-tuer-les-juifs-de-france-la-radio-publique-deja-mise-en-demeure-par-le-csa-diffuse-un-nouveau-mensonge-anti-israel/ et https://infoequitable.org/palestine-l-etat-introuvable-dans-les-coulisses-d-un-reportage-de-france-inter/ Et je viens d'apprendre que L’Ambassade d’Israël dénonce l’incitation à la haine et les mensonges de France inter, qui se déshonore en prétendant qu’Israël refuse de vacciner des prisonniers palestiniens.
Par ailleurs, l'AFP qui prétend à nouveau (voir leur article "Deux blessés légers dans des tirs de représailles israéliens" paru avant-hier) que Gaza est depuis une décennie sous blocus israélien, continue dans le mensonge. Comment Gaza peut-elle être sous blocus quand on lit ce qui est écrit sous le lien https://www.gov.il/en/departments/coordination-of-government-activities-in-the-territories.
David Frenkel
Et tout d'abord ceci Dreuz Info :
Mardi 29 décembre
22h53 : Un procès dans le comté de Fulton demande un audit judiciaire par un organisme indépendant des bulletins de vote comptés sans surveillance le soir des élections en Géorgie. L’audit pourra juger de l’authenticité des bulletins…
22h50 : Une analyse de la base de données des électeurs du New Jersey révèle des anomalies troublantes : plus d’électeurs que de citoyens éligibles, des électeurs centenaires, etc.
22h12 : Une nouvelle étude de Lott estime à 11 350 le nombre de faux votes par correspondance perdus pour Trump en Géorgie. Les estimations indiquent qu’il y a eu 70 000 à 79 000 votes « excédentaires » en Géorgie et en Pennsylvanie. En ajoutant l’Arizona, le Michigan, le Nevada et le Wisconsin, le total atteint 289 000 votes excédentaires.
19h59 : Les citoyens de Georgie lancent une pétition et demandent à un grand jury d’enquêter sur les irrégularités électorales.
Le député Gohmert a fait une déclaration (1) importante, lucide et réaliste dont il faudra se souvenir.
Gohmert évoque les procès engagés contre le vice-président Mike Pence destinés à l’empêcher de valider certains grands électeurs – pourtant confirmés par les autorités des Etats mais pas par les législatures – lors du dépouillement des votes le 6 janvier prochain.
Sa déclaration résume à la perfection les presque deux mois qui viennent de s’écouler sous nos yeux depuis le 3 novembre, qui s’articulent autour d’un mot, d’un concept : corruption. Corruption jusqu’à la corne. Corruption au-delà de l’imaginable, de toutes les instances de pouvoir. Oui, le pouvoir corrompt. Mais jamais la corruption n’a été exposée de façon si implacable.
Ce que nous avons observé dépasse les limites de la corruption du fait que les auteurs ont agi avec un cynique et une absence totale de scrupule. Sans honte, sang gêne. Pourquoi ? Puisque le pouvoir corrompt, la corruption n’est possible qu’avec le pouvoir. Mais ces termes sont relatifs, pas absolus. Il n’y a pas de pouvoir absolu, et il existe une infinité de degrés et de gravités de corruption.
« La vérité est qu’aucun tribunal n’a jusqu’à présent eu la moralité et le courage de permettre que des preuves de fraude soient introduites devant lui », écrit Gohmert.
La voilà, la corruption jusqu’à la corne. Ceux qui ont fraudé ont tellement de pouvoir qu’ils n’ont pas même cherché à dissimuler leurs malversations. Ils savaient qu’ils ne risquaient rien, et les faits leur ont donné raison.
Non seulement nous ne saurons peut-être jamais précisément, et de manière factuelle au-delà des accusations vagues d’une Sidney Powell délirante, de quelle ampleur a été la fraude – à moins que Donald Trump se ressaisisse et recrute le meilleur cabinet d’audit statistique au monde – mais les coupables ne seront jamais présentés devant un juge, et encore moins envoyés derrière les barreaux.
Louie Gohmert, représentant Républicain du Texas :
« L’élection présidentielle de 2020 est ce à quoi on s’attend dans une république bananière, pas aux États-Unis d’Amérique. En fait, la fraude et les actions anticonstitutionnelles qui ont eu lieu ont été si flagrantes que sept États contestés – Arizona, Géorgie, Michigan, Nouveau-Mexique, Nevada, Pennsylvanie et Wisconsin – ont tous envoyé des listes d’électeurs dissidentes au Congrès.
Cela place le vice-président Mike Pence dans une position où certains soutiennent qu’il doit choisir entre la morale et la loi. Ce n’est pas le cas.
Il est également essentiel de noter que de nombreux membres de ce qu’on appelait avant les « grands médias », aujourd’hui « l’Alt-left », continuent de dire que les tribunaux ont tous déclaré qu’il n’y avait aucune preuve de fraude. C’est fallacieux, trompeur et carrément malhonnête. La vérité est qu’aucun tribunal n’a jusqu’à présent eu la moralité et le courage de permettre que des preuves de fraude soient présentées devant lui.
Nous continuons à espérer qu’il y ait au moins un juge fédéral qui comprenne que la fraude qui a volé cette élection signifie la fin de notre république, et ce procès [contre Mike Pence] garantirait que le vice-président n’acceptera que des électeurs légitimement et légalement élus [Dreuz : les mots « légitimement » et « légalement » employés par Gohmert ici ne sont pas appropriés : les grands électeurs ont été légitimement et légalement désignés. Ce qui n’est pas légitime, c’est l’élection elle-même, entachée de très nombreuses fraudes]. Il faut qu’il existe une possibilité de passer devant un tribunal alors que la fraude a été aussi répandue.
Une procédure douteuse
« C’est pour cette raison que plusieurs plaignants et moi-même avons déposé une plainte pour obtenir une mesure déclaratoire accélérée, et une injonction d’urgence, afin de demander au tribunal de se prononcer sur l’autorité du vice-président lorsqu’il présidera le Sénat pendant la session conjointe du Congrès [le 6 janvier].
Nous demandons à la Cour de maintenir les pouvoirs énoncés dans la Constitution des États-Unis qui confèrent au vice-président l’autorité exclusive et la seule discrétion dans la détermination des votes électoraux à compter [Dreuz : sauf que cette procédure n’a été activée que trois fois, et à chaque fois, les listes dissidentes étaient validées par les Etats, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui]. Comme indiqué dans la requête, la loi sur le décompte des voix est inconstitutionnelle, car elle ordonne au vice-président Pence de légitimer les votes électoraux en violation de la clause électorale, et elle limite ou supprime son pouvoir garanti par le douzième amendement, de déterminer quelles listes électorales doivent être comptées et lesquelles, le cas échéant, ne peuvent pas l’être.
Ceci est fondamental, car aucune loi ne peut constitutionnellement fournir des règles dans la mesure où une telle loi viole la Constitution américaine. [Dreuz : voilà un cas légitime qui mérite un examen par la Cour suprême, si une loi est potentiellement anticonstitutionnelle. Mais, dira possiblement la Cour, cette demande est tardive et doit être rejetée. Ce n’est pas quand les Américains ont voté, et que les résultats du vote ne conviennent pas aux plaintifs parce qu’ils n’ont pas donné la victoire à leur candidat, qu’il faut déposer plainte contre une loi anticonstitutionnelle. Il fallait le faire bien plus tôt].
Grâce à des politiciens sans scrupules, à des fonctionnaires d’État corrompus et à un effort coordonné pour saper la volonté du peuple américain en faveur du maintien du statu quo dans le marais de Washington, nous nous trouvons maintenant dans une situation où une élection volée devient une erreur judiciaire de plus à laquelle cette ville refuse de remédier [Dreuz : Superbement résumé !]. Les élites de Washington veulent faire disparaître ces injustices électorales sous le tapis, comme elles l’ont fait pour d’innombrables autres scandales tels que le hoax sur la collusion avec la Russie, le chantage de Biden en l’Ukraine, et la mauvaise gestion d’informations classifiées par Hillary Clinton [son serveur d’email privé pour gérer les affaires de l’Etat], pour n’en citer que quelques-uns.
Pour l’avenir de notre République, le 6 janvier prochain, le vice-président Pence doit être autorisé à faire respecter les votes légaux de millions d’Américains et à préserver la grande expérience d’autonomie de notre nation ».
Conclusion
Je m’interroge.
Comment le vice-président peut-il disqualifier des grands électeurs légalement élus, pour en choisir d’autres, auto-déclarés – et que la propre législature Républicaine de leurs Etats n’a même pas voulu certifier, ce qui aurait donné force et légitimité à Mike Pence ?
Comment Pence peut-il légalement « respecter les votes légaux de millions d’Américains » puisque sans décision de justice, les accusations de fraude – quelles que soient la solidité des preuves écrasantes, incontestables, et multiples qui existent ; des preuves que nous avons vues, documentées, soigneusement rapportées et consignées – ne sont que des accusations.
Nous avons été les premiers à dénoncer l’amalgame que fait la gauche en refusant le droit à la présomption d’innocence, et décidant qu’une accusation vaut culpabilité et condamnation. Nous l’avons fait pour le mouvement #MeTwo, nous l’avons fait pour Brett Kavanaugh, nous l’avons fait pour les consignes scandaleuses imposées par Obama aux universités américaines concernant les accusations de harcèlement sexuel, qui interdisaient aux garçons accusés de se défendre. Nous l’avons fait et le ferons parce que la morale l’impose. Et nous l’abandonnerions pour la fraude parce que cela nous arrange ?
« Ce qui compte, ce n’est pas les gens qui votent, mais les gens qui comptent les votes ». La citation est attribuée à Staline. A supposer qu’elle soit réellement de Staline, elle est si incomplète qu’ont dirait une désinformation de BFM.
La réalité est la suivante : une fois que le comité central du parti communiste avait voté, et une fois que les votes avaient été comptés, Staline faisait brutalement exécuter ceux qui n’avaient pas voté comme il le voulait. Les votes suivants étaient conformes.
Note optimiste : malgré la meilleure volonté de l’ennemi du peuple – les médias – nous n’avons pas encore touché ce fond.
Joe Biden a encore fait des siennes. Ce type porte bien son second prénom : Robinette : ça fuite de tous les côtés.
Mardi, lorsqu’il a fait ses observations concernant la pandémie de coronavirus, depuis sa ville natale de Wilmington, dans le Delaware, Biden a qualifié sa vice-présidente Kamala Harris de « président-élu ».
« J’espère que le président encouragera clairement et sans ambiguïté tous les Américains à prendre le vaccin une fois qu’il sera disponible », a déclaré M. Biden.
« Je l’ai pris afin d’inspirer la confiance du public dans le vaccin. Le président élu Harris s’est fait vacciner aujourd’hui pour la même raison ».
1 Si Robinette veut nous faire croire qu’il voudrait diriger le pays, c’est mal barré : il a déjà oublié qu’il s’est présenté au poste de président des Etats-Unis, et que Kamala Harris lui a été choisie comme vice-présidente. Il a déjà fait cette erreur dans le passé.
2 Ce qui se passe dans sa tête est difficile à saisir. Même une information aussi simple que la date de disponibilité du vaccin le dépasse. Biden parle d’un futur où le vaccin sera disponible, alors que le vaccin est disponible depuis deux semaines !
Le vaccin a commencé à être administré le 14 décembre, et le 30 décembre, Robinette parle du jour où le vaccin sera disponible !
Les centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont rapporté le 23 décembre que le pays a dépassé le cap du million de vaccinations COVID-19 administrées. Le chiffre précis et officiel au matin du 24 décembre était de 1 008 025 (1).
Au 29 décembre, 2,32 millions de doses ont été administrées, selon un décompte État par État effectué par Bloomberg (2). Soit le plus grand nombre administré dans le monde.
3 Biden espère que les Américains voudront se faire vacciner. Il ne sait pas ce qui se passe dans son pays — bis : 70 % des Américains disent vouloir se faire vacciner. C’est un chiffre important. Probablement explicable du fait que les Américains se déplacent beaucoup, prennent l’avion comme vous le bus, en raison des grandes distances et de la mobilité des membres de la famille (les enfants font leurs études dans des universités lointaines, rencontrent leur futur et s’installent loin des parents).
Les chiffres sur le nombre de citoyens voulant se faire vacciner diffèrent grandement d’un pays à l’autre, avec cependant une constante entre les peuples : les gens de chaque pays pensent que c’est eux qui ont raison et les autres sont des crétins !
4 Comment cet idiot de Biden peut-il se demander si celui qui a mis sa formidable énergie au service de la mise sur le marché du vaccin en un temps record va encourager les Américains à le prendre ? Ca n’a pas de sens, c’est le raisonnement d’un simple d’esprit.
Le 15 mai dernier, Donald Trump déclarait, lors d’une conférence de presse de présentation de son « Operation Warp Speed » destinée à accélérer la mise au point d’un vaccin :
« Un autre pilier essentiel de notre stratégie pour maintenir l’Amérique ouverte est la mise au point de traitements et de vaccins efficaces le plus rapidement possible. Je veux tenter de développer très rapidement un vaccin »,
Quand je dis « rapidement », nous cherchons à obtenir un vaccin avant la fin de l’année. Peut-être même avant », a précisé le président.
5 Mais Biden vivait dans sa cave, coupée du monde pendant que le parti Démocrate préparait la fraude électorale du siècle, et que les médias répétaient en boucle que Trump est un menteur et qu’il est impossible de développer un vaccin en si peu de temps.
« Trump promet un vaccin contre le coronavirus d’ici la fin de l’année, mais ses propres experts tempèrent ses attentes, car jamais un vaccin n’a été développé aussi rapidement » – ABC News (3).
NBC News (4) : « Le vaccin contre le coronavirus pourrait être disponible cette année, selon Trump. Selon les experts, il faudrait un “miracle” pour qu’il ait raison. »
« Trump contredit les hauts responsables de la santé avec son calendrier de vaccination » — Politico (5)
FactCheck.org, qui décide ce qui est vrai et ce qui est fake News : « Trump exagère les progrès et les mérites du futur vaccin COVID-19 ». (6)
« M. Trump affirme sans preuve que le vaccin pourrait être prêt d’ici la fin de l’année » — NBC (7).
Et ainsi de suite, en boucle, sur toutes les chaînes, dans tous les médias, à toutes les heures, de la bouche de tous les journalistes, sur tous les tons, pendant trois jours… qui peut résister à un tel assaut ?
Oui, je devrais peut-être retirer ce que j’ai dit. C’est méchant et décalé de se moquer des infirmes. Je dois arrêter de me demander comment Biden peut souhaiter que celui qui a fait des efforts surhumains pour faire développer un vaccin aussi rapidement, encouragera les gens à le prendre. Mon chien Ixia aussi était très bête, tellement que ma femme le surnommait Einstein.
6 Donc Harris a pris le vaccin. C’est normal, cette femme corrompue disait en septembre avant les élections (et cela a pesé dans la balance électorale) qu’elle ne faisait pas confiance au vaccin Trump. Kamala Harris a déclaré à CNN qu’elle ne croirait pas le président Donald Trump sur la fiabilité de tout vaccin contre le coronavirus publié avant l’élection (8).
La prodigieuse évolution des modes de communication ne présage rien de bon. Aux mains d’une petite minorité de personnes, nous, les lambdas, sommes à la merci d’une bien-pensance dictée par les intérêts économiques ou politiques qui entourent les patrons de l’information digitale. Ceux-ci ne se gênent pas de censurer ce qui va à l’encontre de leurs idées, de ce qui leur convient. Quoi de plus criard que le bluff de l’élection de Joe Biden, l'homme corrompu et vraisemblablement sénile1)2). La fraude monstrueuse est cachée au citoyen américain aussi bien par les médias que par les réseaux sociaux. Si les premiers n’en parlent pas, les seconds la censurent. Et lorsque les chaînes de télévision américaines coupent la parole à un président en exercice, quand le patron de Twitter supprime la diffusion de très nombreux messages de Donald Trump et lorsque YouTube efface les vidéos démontrant qu’il y a eu fraude, le simple pékin se sent projeté dans les affres d’un cauchemar où les forces invisibles l’emporte dans un l’univers totalitaire imaginé par Georges Orwell. Il faut se pincer pour croire encore à une société de justice.
Comble de la bien-pensance absolutiste qui tend à gangrener nos pensées, l'Onu a adopté récemment la résolution anti-blasphème du Pakistan au nom du «dialogue interculturel». On se frotte les yeux : La soi-disant religion la plus dictatoriale, la plus criminelle, la plus exterminatrice, cet islam dont le but est la soumission universelle à ses lois, s'achète une honorabilité sous les auspices onusiennes. A propos de l'islam, on a appris hier qu'à Ramallah des hommes armés ont attaqué des chrétiens lors d'une soirée de Noël...3)
Puisse un messie, un sauveur de l'humanité reprogrammer les cerveaux mal orientés.
La soi-disante religion la plus meurtrière, la plus assassine, la plus génocidaire, la plus anti-démocratique qui soit, l’islam qui tue, asservi, soumet, domine, esclavagise se présente en victime