Les microbes lilliputiens, progénitures du diable, sucent nos existences de leurs instincts venimeux. S’en prenant à nos haleines, ils chauffent de leur sang nos souffles personnels, et brûlent de leur venin bien des respirations.

Les bactéries injectent cette angoisse infectieuse infectant les esprits sains. Obnubilés par le mal, nous suivons le troupeau broutant l’herbe médiatique devenant indigeste pour des corps pleins d’énergie qui vomissent leur dépression sur le malheur imaginé.

Le virus imperceptible dessine le destin morbide d’innocents individus. Les perversités du germe traduisent les aléas des coïncidences rencontrées sur les chemins de la destinée. A l’automne de l’âge, le diable infime éclot dans la chair labourée par le tracteur du temps,

Qui a donc enfanté les germes de l’anéantissement ? Qui a donc répandu les fruits du sombre machiavel ? Dans le manuscrit universel, les mystères s’y noircissent.

Je pense qu'au vu des deux déclarations ci-après, les plaintes pour fraudes hautement détaillées par les avocats de Donald Trump, qui seront portées prochainement devant différentes Cours suprêmes des États-Unis --- L’avocate Sidney Powell vient d'indiquer qu’avant la fin de la semaine, au moins trois plaintes pour fraude, devant passer devant trois Cours suprêmes, dans trois États, avec assez de votes pour inverser les résultats de ces États ---,  même si elles n'aboutissent pas pour des raisons de risque de guerre civile, jetteront à jamais un grave discrédit sur Joe Biden.

° Il y a la déclaration de Joe Biden, lui-même, publiée le 24 octobre dernier dans un podcast : "Nous avons mis en place, je pense, l'organisation de fraude électorale la plus étendue et la plus inclusive de l'histoire de la politique américaine" https://twitter.com/i/status /1320117044612943872.

°Celle du vice-président de Dominion qui à l'époque a affirmé "Ne vous inquiétez pas pour l’élection, Trump ne va pas gagner. Je m’en suis assuré! " https://www.thegatewaypundit.com/2020/11/report-anti-trump-dominion-voting-systems-security-chief-participating-antifa-calls-posted-antifa-manifesto-letter-trump-online

Il ne suffit pas de clamer à tous vents que Trump "multiplie les actions en justice pour tenter de voler l’élection et discréditer le processus électoral", encore faut-il avoir la probité d'énumérer les témoignages faits sous serment (aux États-Unis   le crime de parjure peut valoir une sentence allant jusqu'à cinq ans d'emprisonnement) ainsi que les votes manquants, les votations des électeurs non résidents, les anomalies statistiques, les bulletins de vote arrivant en retard et qui ont  malgré tout été comptés, et j'en passe, et les meilleurs.

Encore cette nouvelle qui vient de me parvenir :

"Conformément à la demande du juge à la Cour suprême Alito, saisi par le représentant au Congrès Mike Kelly, l’Etat de Pennsylvanie a répondu à sa demande. Il était prié d’expliquer sa décision d’autoriser le vote par correspondance, qui est contraire à la constitution de l’État."

Et voici ce qui a été expliqué :

"Les pétitionnaires [Kelly et autres] demandent à cette Cour d’entreprendre l’une des invocations les plus dramatiques et les plus perturbatrices du pouvoir judiciaire dans l’histoire de la République. Aucun tribunal n’a jamais rendu d’ordonnance annulant la certification des résultats de l’élection présidentielle par un gouverneur. Et pour cause : « Une fois la porte ouverte à l’invalidation judiciaire des résultats de l’élection présidentielle, il sera terriblement difficile de la refermer… La perte de confiance du public dans notre ordre constitutionnel résultant de l’exercice de ce type de pouvoir judiciaire serait incalculable."

C'est ce que l'on appelle non seulement botter en touche, mais aussi prendre les gens pour des crétins. Les juges de cette Cour croient que la majorité des américains goberont le fait que l'invalidation d'un vote par correspondance, qui est contraire à la constitution de l'Etat, aurait rogné la confiance de ceux-ci dans l'ordre constitutionnel. Or, de par leur inepte décision, c'est le contraire qui va se passer ! La Cour suprême des États-Unis aura le dernier mot.

David Frenkel

Joe Biden et son entourage ont fait part de leur volonté de rétablir les versements astronomiques dédiés au financement de l’UNRWA, (en français : Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient), et cela aux frais des contribuables américains. Notons au passage que la Suisse a versé à cet office en 2019 plus de 20 millions de nos francs, ce qui est considérable par rapport à son produit intérieur brut (PIB). L'UNRWA a vu le jour en 1949 pour venir spécifiquement en aide à ceux qui ont dû fuir en 1948 une guerre déclenchée par les armées arabes contre Israël.

Nikki Halley, l’ancienne ambassadrice des Etats-Unis à l’ONU s'est inquiétée du rétablissement de ces versements. Elle a donc pressé Donald Trump de rendre public le rapport confidentiel qui lui a été adressé, et qui concerne le nombre de « réfugiés palestiniens » pris en charge par l’UNRWA.  Ce rapport avait été classé confidentiel, tant leur nombre est incroyablement gigantesque. Seule la vérité a précisé l’ancienne ambassadrice peut faire avancer la paix dans la région. Pour cela, a-t-elle insisté, il faudrait absolument que l'actuel président en publiant ce rapport confidentiel fasse entendre l’esclandre que provoque les versements à des réfugiés qui le sont de père en fils, et dont aucun n’a encore été intégré dans un pays d’accueil. En affirmant cela, Nikki Halley s’est référée aux chiffres faramineux fournis par l’avocat Morris Hirsch qui œuvre pour palwatch.org : lorsque Barack Obama a été élu, a-t-il écrit, l’aide annuelle des États-Unis octroyée à l’UNRWA s’élevait à 187 millions de dollars. Puis durant les huit années de sa présidence, cette aide est allée en augmentant jusqu’à atteindre pour cette période 2,43 milliards. De part les naissances, a encore souligné l'avocat, la population vivant au crochet de l'agence onusienne a augmenté de 668’632 personnes.

Sur la base du sus-dit rapport confidentiel, le président Trump, avait réajusté le nombre des soit-disant réfugiés en faisant abstraction des nouvelles générations et des artifices ayant permis de gonfler les chiffres, comme par exemple les décès non déclarés. Ce faisant, il a drastiquement diminué la contribution américaine à l’UNRWA en la faisant passer de 359 millions, à la fin de l’ère Obama, à 65 millions de dollars après deux ans de sa présidence.

Nikki Halley pense donc qu’avant un changement possible de gouvernance états-uniennes, il conviendrait de mettre les Démocrates dans l'impossibilité de refinancer excessivement l'UNRWA, et pour cela, suggère-t-elle, il est également nécessaire de divulguer publiquement les sommes astronomiques qui ont été allouées de manière choquante à cet office, sous l'ère Obama.

Il convient de lui donner raison, car en plus, du statut fallacieux de réfugié qui touche des millions de personnes n’ayant jamais foulé le sol israélien --- à ce jour, seuls quelques milliers de gens font encore parties de ceux qui ont dû fuir Israël en 1948 ---, et que l'UNRWA s’efforce de perpétuer, cette  agence onusienne, à travers les programmes scolaires enseignés dans les écoles sous son autorité, sauvegarde l’antisémitisme, glorifie le terrorisme et entretien la promesse chimérique du droit de retour dans une Palestine « nettoyé de ses juifs ».

David Frenkel

source : https://www.tribunejuive.info/2020/11/27/nikki-haley-demande-de-lever-le-secret-sur-le-mythe-des-refugies/