Poser la question, c'est ne pas faire avancer le schmiblick...
Les médias suivants mettent à mal l'intégrité de l'information en martelant à satiété l'élection de Joe Biden.
Image tirés d'Europe-Israël news
Mais qu'ils cessent donc de vendre la peau de Trump à un Biden qui veut sa peau ! Aucun journaliste travaillant dans la masse uniforme qui est à la mode d'une pensée gauchisante n'ose dire, écrire, que le sort des élections américaines est loin d'être joué. Au moins 16 recours juridiques sont en cours dans plusieurs États, et que planté dans un décor de suspicions, la Chambre des représentants peut procéder à ce coup de théâtre qui remettrait derechef Donald Trump au devant de la scène. Alors pour quelles raisons aucun homme de presse de chez nous, censé observer avec probité professionnelle et intellectuelle le spectacle États-uniens, ne rende-il pas compte au public, qui est souvent le cochon de payant, de la représentation que donne présentement l'Oncle Sam ? Mesdames, Messieurs, je pense en toute humilité que poser la question, c'est ne pas faire avancer le schmilblick du vrai travail des journalistes qui se respectent.
David Frenkel
PS Voici une pierre de plus dans le jardin du monde des médias
Un lecteur inquiet, JC.Z. souhaite que Dreuz lève ses doutes et clarifie la situation présente.
Dreuz m’a demandé de lui répondre, ce que je vais tenter de faire de la manière la plus honnête et la plus neutre, sans parti pris, sans chercher à vous influencer ou à donner les réponses qui vous plairont.
Voici la question de JC. Z. :
Je suis votre site, et franchement, pour ne pas être dans les fake, il faut suivre uniquement Dreuz.
Comment se fait-il qu’avec toutes les preuves, les témoignages de fraudes, pas un seul Etat des six où il y a eu fraude, Trump n’a pu avoir gain de cause ?
Je n’ai aucun doute que Trump a gagné, mais je commence à me poser des questions sur ces preuves.
Mise au point
- Vous dites « commencer à vous poser des questions sur ces preuves » : c’est tout à votre honneur.
Rien n’est plus sain que se poser des questions et douter, rien n’est plus difficile aussi.
Il est relativement aisé d’acquérir une opinion, il est extrêmement difficile d’en changer ou de revenir dessus, car cela implique d’accepter qu’on se soit trompé, et c’est psychologiquement très difficile, contre-nature. Quel que soit le sujet, et encore plus en politique parce que cela remet en cause des choix de longue date. - Dans tout procès, l’issue est incertaine, et cette affaire de fraude va être décidée par les juges. Le président a déclaré cette semaine qu’il espère que cela sera tranché devant la Cour suprême, mais qu’il n’est pas certain qu’elle va accepter de prendre les dossiers.
Certes, c’est un propos tactique, mais il a une part de vrai. Les juges détestent devoir décider d’une élection, ils veulent que les électeurs le fassent. - Sur le fond, votre question est mal posée. Vous vous demandez pourquoi Trump n’a pas pu avoir gain de cause, mais votre question est prématurée. Il est trop tôt pour la poser, et trop tôt pour y répondre. La bonne formulation est : Trump aura-t-il gain de cause ?
Le contexte totalitaire
Tout a commencé le 4 novembre, lorsque des Etats clés, des Etats essentiels pour gagner l’élection, des Etats où Trump était largement en tête le 3 au soir, se sont retournés, et ont comme par magie effacé l’avance très importante du président sortant. De mémoire, aucun autre Etat n’a vu un tel retournement pendant la nuit. C’était louche.
De là, les soupçons sont très vite montés.
Il faut rappeler que le parti Démocrate et les médias ont montré depuis quatre ans qu’ils ne reculaient devant rien pour prendre le pouvoir : aucun mensonge, aucune opération de grande ampleur, aucune violence, pour détruire ses opposants politiques, Donald Trump en tête ne les arrêtaient. Même au prix de la destruction de l’Amérique.
- L’espionnage de la campagne Trump par Obama pour le compte d’Hilary Clinton est passé comme une lettre à la poste. La même affaire, quand le président était un Républicain, a créé un scandale de renommée mondiale, le Watergate. Ici, personne n’a été inquiété. Il y a eu des enquêtes, des dénonciations, des preuves incontestables, elles sont restées lettre morte.
- Puis la fausse collusion russe, qui ne reposait sur rien, a été fabriquée par Hillary Clinton. Elle a réussi à obtenir la nomination d’un enquêteur spécial. Trois ans d’enquête n’ont rien donné, ont exonéré le président, mais les médias et les politiciens démocrates parlent comme si l’enquête a été concluante. Personne n’est en prison, personne n’est même inquiété. L’enquête est enterrée, le rapport Durham qui devait faire toute la lumière sur les auteurs devait sortir en juillet dernier. Il ne sortira pas.
- Deux mesures d’impeachment ont été déclenchées. La première a échoué, la seconde, scandaleuse, a entendu mais ignoré les témoignages des témoins directs exonérant le président, pour ne retenir que des opinions de non-témoins.
- Des émeutes ont ravagé l’Amérique pendant 5 mois après la mort de George Floyd. Elles se sont arrêtées brusquement lorsque le New York Times a constaté que l’opinion publique les dénonçait et voulait que Trump ramène l’ordre. Le NYT a donné le mot d’ordre, tout le monde a suivi. Les émeutes ont cessé.
- Le coronavirus a tué et empoisonné, mais les médias ont jeté de l’huile sur le feu et accusé Donald Trump de tuer les Américains. 50 % des Américains ont cru ce mensonge. Le coronavirus a eu raison de la réélection de Trump.
- Les médias ont étouffé l’affaire du viol d’une assistante de Joe Biden quand il était sénateur.
- Le département de la Justice de l’honorable William Barr a étouffé le scandale de l’affaire de corruption de la famille Biden, révélé par le contenu de l’ordinateur de Hunter Biden, et confirmé par le témoignage de l’associé-dirigeant de la société de la famille Biden.
Le processus légal vers la victoire est en cours
Le 4 novembre, la fraude a sauté aux yeux des électeurs.
S’est alors enclenché un processus très rapide, et très cohérent :
- Constatez la fraude : fait.
- La dénoncer : fait.
- Réunir une équipe juridique de premier plan : fait.
- Recueillir les preuves, les vérifier : fait.
- Conserver celles qui ont un poids judiciaire : fait.
- Alerter l’opinion publique pour générer un courant d’opinion nationale favorable, fait : deux sondages montrent que près de la moitié de la population pense que l’élection a été truquée – c’est énorme, dans le contexte où les médias ont fait un black-out total. 70 % pensent que Trump doit faire recompter les Etats où l’écart n’est que d’un pour cent.
- Motiver les sénateurs des Etats concernés pour qu’ils fassent pression sur les gouverneurs, décertifient les résultats, nomment des grands électeurs : fait ou en cours.
- Déposez plainte : fait. Subir des revers : fait. Faire appel : fait.
- Engager des procès au fond : fait.
C’est là que nous sommes au moment d’écrire ces lignes.
Et maintenant
- Les procès ont été lancés, avec des témoignages sous serment des fraudes constatées, par des témoins qui risquent la prison s’ils mentent. Des experts data ont exposé les aberrations statistiques, les votes illégaux, les votes de gens morts. Les preuves sont nombreuses, solides.
- Les procès vont avoir lieu. Nous ne savons pas comment les tribunaux vont réagir : vont-ils accepter d’entendre les affaires ou vont-ils les rejeter ? Vont-ils accepter d’examiner les preuves ?
Aucun tribunal n’a encore examiné l’affaire au fond.
Cela montera jusqu’à la Cour suprême.
C’est un processus. Il avance de façon cohérente, et nous ne sommes pas au bout. Loin de là.
Trump avance aussi. Il se fait plus discret que d’habitude.
Je pense qu’il aura gain de cause dans au moins un Etat, la Pennsylvanie, parce que la décision qui a été prise par l’Etat est inconstitutionnelle, contraire à sa propre loi. Trump aura peut-être gain de cause dans plusieurs autres Etats.
La vraie question est de savoir s’il en gagnera assez pour remporter l’élection : je disais il y a 15 jours qu’il avait besoin de retourner 3 Etats pour gagner. C’est toujours vrai aujourd’hui.
Nous ne sommes pas encore dans la dernière ligne droite
Nous y serons lorsque le premier jugement au fond sera rendu.
Surtout, ne perdez pas courage. Les chances sont faibles, mais réelles. Les preuves sont solides. Les avocats redoutables. Les équipes et les partisans, remontés à bloc. Les médias, en pleine propagande pour vous décourager.
Vous, lecteurs de Dreuz, êtes les seuls informés. Dans tout le monde francophone, vous êtes les seuls à connaître les preuves, les témoignages. A ma connaissance, aucun média, ni en Suisse, ni en Belgique, ni au Québec ni bien entendu en France, le pire de tous pour l’information, n’en a parlé, car les journalistes refusent de faire leur métier d’information. Ils ont décidé en bloc qu’il n’existe aucune preuve.
Devant l’opinion, Trump a gagné lui aussi : si Biden est nommé président, il ne sera jamais reconnu par la majorité des Américains comme le président légitime. Quant aux autres, aux Démocrates, aux non-informés, aux gens qui croient les médias, Trump y travaille et je peux affirmer qu’il va gagner le procès devant l’opinion publique.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Et voici encore un autre article du même journaliste :
221 000 votes contestés dans le Wisconsin, une victoire pour Trump à la clé ?
Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 décembre 2020
Les sérieux procès de l’équipe des avocats de Trump commencent. Ils attaquent maintenant 221,323 votes illégaux dans le Wisconsin et demandent l’annulation de la certification des résultats tant que ces votes ne soient pas exclus.
Mardi, le président Donald Trump a déposé une plainte explosive affirmant que les fonctionnaires du Wisconsin ont inclus 221 323 votes illégaux dans le recomptage de l’élection présidentielle et demandant à la Cour suprême du Wisconsin d’ordonner au gouvernement Tony Evers (un Démocrate) d’annuler la certification des résultats de l’élection de l’État jusqu’à ce que tout vote illégal puisse être exclu du comptage.
580 242 votes par procuration ont été exprimés à Madison et Milwaukee. 221 000 ont été jugés non valables Cela représente 38 %. Biden n’a que 20 000 voix d’avance.
Petite mise au point
Les procès soi-disant « perdus » par Trump sont un mythe, un mensonge. Un procès n’est perdu que lorsque tous les recours sont épuisés. Aucun des procès engagés par les équipes de Trump n’ont épuisé leurs possibilités de recours à la date d’aujourd’hui. Les médias le savent, bien entendu, mais ils ne s’embarrassent pas avec la vérité : ils veulent faire croire que le président est désespéré, qu’il attaque à l’aveugle, tous azimuts, parce qu’il perd pied. Alors ils disent qu’il perd ses procès. Ah j’oubliais. Ils disent aussi qu’il n’a aucune preuve de fraude. Il faut dire qu’ils ont été gentils avec lui, pendant 4 ans, il n’y a pas de raison que cela cesse.
Au tour du Wisconsin
La campagne du président Donald Trump a donc intenté un procès dans le Wisconsin ce mardi, au motif que la procédure de vote par correspondance a été abusée et qu’elle a été illégale.
Le procès vise à disqualifier plus de 221 000 bulletins de vote dans les deux comtés les plus Démocrates de l’État.
Le procès a été engagé après que l’État ait terminé son recomptage partiel, et que le gouverneur du Wisconsin, Tony Evers, ait officiellement certifié lundi soir que Joe Biden était le vainqueur de l’État.
La plainte en détail
La campagne Trump affirme que les fonctionnaires de la Commission électorale du Wisconsin et les greffiers municipaux de Milwaukee et Madison « ont délibérément ignoré la loi, et l’ont contournée ». Cela a entraîné des dizaines de milliers de votes « bien en dehors des limites de la loi du Wisconsin », affirme la campagne.
- Les fonctionnaires électoraux ont accepté des bulletins de vote par procuration venant de personnes qui n’ont pas demandé à voter par procuration, comme la loi de l’État l’exige. Ces bulletins illégaux doivent être « remis en question”, dit la campagne.
- La campagne mentionne que les employés électoraux ont violé la loi électorale qui exige que les bulletins de vote soient retournés aux électeurs pour être corrigés et soumis à nouveau s’ils sont mal remplis, s’il manque des informations ou s’ils sont endommagés. Au lieu de ça, les employés municipaux ont modifié eux-mêmes, donc illégalement, les documents.
- Les électeurs ont été autorisés à contourner la loi qui demande qu’un électeur présente une pièce d’identité, en se revendiquant d’un statut particulier réservé aux handicapés : « indéfiniment confinées ».
En mars dernier, les responsables électoraux Démocrates avaient dit aux électeurs qu’ils pouvaient réclamer ce statut en raison de la pandémie de coronavirus, ce qui a été invalidé par la Cour suprême du Wisconsin.
Par ce stratagème illégal, le nombre de personnes se disant « confinées indéfiniment » (et ce n’est pas provisoire) a augmenté comme par hasard dans deux comtés clés très Démocrates : 600 % dans le comté de Dane et 500 % dans le comté de Milwaukee. Pas dans le reste de l’Etat.
Récapitulons : il y a quatre violations de la loi électorale
- Des employés ont modifié illégalement les bulletins de vote pour ajouter des informations manquantes. Il s’agit d’une violation de la loi, même si la gauche et les médias affirment que cela se produit depuis plusieurs élections. Ce n’est pas parce qu’ils s’en sont tirés avant que c’est légal.
- Les demandes de votes par procuration ont été distribuées sans qu’une demande écrite soit formulée. Les Démocrates, les médias, affirment que l’enveloppe qui accompagne le bulletin de vote est une demande. En réalité, cela viole la loi de l’État, qui est bien précise.
- Les exigences en matière de pièces d’identité des électeurs ont été contournées en disant aux gens de dire qu’ils étaient « indéfiniment confinés », c’est-à-dire handicapés, parce que les « indéfiniment confinés » n’ont pas à fournir une pièce d’identité.
- Madison a organisé des votes dans des parcs, ce qui constitue une violation de l’obligation de se rendre uniquement dans les bureaux de vote approuvés par la réglementation électorale pour garantir le contrôle et la légalité des votes.
La difficulté est qu’un tribunal peut décider que puisque le délit a été commis par des agents électoraux et non par des électeurs, les votes ne doivent pas être invalidés. Si c’est le cas, les avocats s’adresseront à la Cour suprême des Etats-Unis. Là, il s’agit de la Cour suprême de l’Etat. Les recours ne sont pas épuisés.
Le procès fait suite aux mêmes revendications que celles utilisées par la campagne pour justifier le recomptage. En cas de succès, toute personne ayant voté par correspondance dans les comtés de Dane ou de Milwaukee risque de perdre son vote lors de cette élection.
L’avocat de la ville de Madison, qui a validé l’événement Democracy in the Park de deux semaines, où les bulletins de vote étaient acceptés, est convaincu que les avocats de Trump ont tort et vont perdre.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Vous en voulez encore ?
https://www.dreuz.info/2020/12/03/crise-de-conscience-des-employes-des-postes-temoignent-de-fraudes-electorales-a-grande-echelle/
Trois dénonciateurs qui ont eu des remords, ont déclaré sous serment à une NGO de protections des droits civiques, que plus d’un million de bulletins de vote sont potentiellement frauduleux.
Des bulletins déjà remplis expédiés d’un État à l’autre, des courriers antidatés par la Poste pour qu’ils soient comptés dans les délais, et des fonctionnaires qui manipulent les systèmes de Dominion pour empêcher un audit. Voilà ce que le projet Amistad, qui vise à préserver les libertés civiles, et a été créé par la Thomas More Society, un cabinet juridique national d’intérêt public à but non lucratif, a découvert.
Plus de 300 000 bulletins de vote en Arizona, 548 000 dans le Michigan, 204 000 en Géorgie et plus de 121 000 en Pennsylvanie sont concernés par les déclarations des lanceurs d’alerte recueillies par the Amistad Project.
Jess Morgan, chauffeur de camion de l’USPS
« Le 21 octobre, je suis arrivé à Bethpage où j’ai vu 24 gaylords (grands conteneurs en carton utilisés par l’USPS), et j’ai appris qu’ils contenaient des votes par correspondance.
Les gaylords contenaient des bacs de courrier en vrac remplis d’enveloppes de taille identique empilées en croix, qui contenaient probablement entre 144 000 et 288 000 bulletins de vote, ou plus.
J’ai pu voir des adresses de retour manuscrites et l’une d’entre elles portait même la mention « courrier recommandé ».
M. Morgan est arrivé à Harrisburg à 9 h 15, les bulletins étaient dans des remorques, mais il a été obligé de rester assis dans la cour de l’USPS jusqu’à 15 h. Lorsqu’il est entré pour parler à quelqu’un parce que ses heures étaient sur le point d’expirer, un superviseur de transport a demandé à Jesse de conduire tout le chargement à Lancaster, sans décharger la partie destinée à Harrisburg.
« Le superviseur ne m’a pas fourni de bordereau écrit, et m’a dit que je devais décharger à Harrisburg pour recevoir un bordereau.
Morgan s’est rendu à Lancaster sur ordre du superviseur des postes de Harrisburg, a décroché la remorque à l’endroit habituel, a garé son camion à l’endroit habituel, et est rentré chez lui.
Le lendemain, sa remorque, la seule qu’il ait jamais utilisée sur son itinéraire de Bethpage, avait disparu.
« Ce qui s’est passé le 21 octobre est une série d’événements inhabituels qui ne peuvent pas être une coïncidence. Je sais que j’ai vu des bulletins de vote avec des adresses de retour remplies, des milliers d’entre eux, chargés dans ma remorque à New York en direction de la Pennsylvanie. »
Un deuxième employé de l’USPS originaire du Wisconsin, Nathan Pease
Autre dénonciateur, Nathan Pease, à qui deux employés de la poste ont dit à deux reprises que l’USPS du Wisconsin a antidaté plus de 100 000 bulletins de vote pour s’assurer qu’ils seraient comptés à temps, même s’ils arrivaient après la date limite légale.
Nathan Pease n’a voté ni pour Trump ni pour Biden, mais pour un petit candidat d’un tiers parti. Il a déclaré que le 4 et le 5 novembre, deux postiers distincts lui ont dit qu’ils collectaient des dizaines de milliers de bulletins de vote et qu’ils les antidataient.
Pease a également décrit l’étrange situation où il n’a trouvé que quelques bulletins dans des boîtes de dépôt les 2 et 3 novembre, puis s’est fait dire plus tard par un employé supérieur de l’USPS qu’il manquait 100 000 bulletins et que d’autres employés des postes seraient envoyés pour les trouver.
Des employés des postes de Traverse City (Michigan), Coraopolis (Pennsylvanie), Erie (Pennsylvanie) et Elkins Park (Pennsylvanie) ont également parlé des mêmes malversations du service postal, des bulletins de vote antidatés.
L’organisation dit disposer en outre d’autres preuves, notamment des employés de la poste de Pennsylvanie qui ont reçu l’ordre de placer le courrier émanant de la campagne Trump – y compris la documentation de la campagne – dans des bacs non distribuables, et s’assurer que le courrier de la campagne Biden soit distribué en temps voulu.
Le projet Amistad engage six procès
Dans un communiqué de presse, le projet Amistad de la société Thomas More, a annoncé le 30 novembre qu’il engage des poursuites judiciaires au niveau fédéral et au niveau des États pour contester les résultats des élections présidentielles dans le Wisconsin, la Pennsylvanie, le Michigan, le Nevada, la Géorgie et l’Arizona.
La campagne Trump va s’associer au projet Amistad pour ces poursuites au cas par cas, a déclaré Rudy Giuliani.
Le projet Amistad a déclaré que le FBI lui avait demandé de transmettre ses conclusions à son bureau de Los Angeles. Probablement parce que la terre y étant plus sableuse, le dossier sera plus facile à enterrer.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://got-freedom.org/2020/12/01/press-release-amistad-project-announces-major-new-election-whistleblowers/
- https://got-freedom.org/2020/12/01/press-conference-election-whistleblowers-come-forward
QUOI, J'AI PAS ENTENDU : AH OUI, VOUS EN VOULEZ ENCORE ?