dfrenkel

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Poser la question, c'est ne pas faire avancer le schmiblick...

    Les médias suivants mettent à mal l'intégrité de l'information en martelant à satiété l'élection de Joe Biden.

    Quand tous les médias « pourfendeurs » de fake news diffusent en boucle la plus grosse Fake News 2020: Non, Joe Biden est encore loin d’être élu !

    Image tirés d'Europe-Israël news

    Mais qu'ils cessent donc de vendre la peau de Trump à un Biden qui veut sa peau ! Aucun journaliste travaillant dans la masse uniforme qui est à la mode d'une pensée gauchisante n'ose dire, écrire, que le sort des élections américaines est loin d'être joué. Au moins 16 recours juridiques sont en cours dans plusieurs États, et que planté dans un décor de suspicions,  la Chambre des représentants peut procéder à ce coup de théâtre qui remettrait derechef Donald Trump au devant de la scène. Alors pour quelles raisons aucun homme de presse de chez nous, censé observer avec probité professionnelle et intellectuelle le spectacle États-uniens, ne rende-il pas compte au public, qui est souvent le cochon de payant, de la représentation que donne présentement l'Oncle Sam ? Mesdames, Messieurs, je pense en toute humilité que poser la question, c'est ne pas faire avancer le schmilblick du vrai travail des journalistes qui se respectent.

    David Frenkel

    PS Voici une pierre de plus dans le jardin du monde des médias

    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 décembre 2020

    Un lecteur inquiet, JC.Z. souhaite que Dreuz lève ses doutes et clarifie la situation présente.

    Dreuz m’a demandé de lui répondre, ce que je vais tenter de faire de la manière la plus honnête et la plus neutre, sans parti pris, sans chercher à vous influencer ou à donner les réponses qui vous plairont.

    Voici la question de JC. Z. :

    Je suis votre site, et franchement, pour ne pas être dans les fake, il faut suivre uniquement Dreuz.

    Comment se fait-il qu’avec toutes les preuves, les témoignages de fraudes, pas un seul Etat des six où il y a eu fraude, Trump n’a pu avoir gain de cause ?

    Je n’ai aucun doute que Trump a gagné, mais je commence à me poser des questions sur ces preuves.

    Mise au point

    • Vous dites « commencer à vous poser des questions sur ces preuves » : c’est tout à votre honneur.

      Rien n’est plus sain que se poser des questions et douter, rien n’est plus difficile aussi.

      Il est relativement aisé d’acquérir une opinion, il est extrêmement difficile d’en changer ou de revenir dessus, car cela implique d’accepter qu’on se soit trompé, et c’est psychologiquement très difficile, contre-nature. Quel que soit le sujet, et encore plus en politique parce que cela remet en cause des choix de longue date.
    • Dans tout procès, l’issue est incertaine, et cette affaire de fraude va être décidée par les juges. Le président a déclaré cette semaine qu’il espère que cela sera tranché devant la Cour suprême, mais qu’il n’est pas certain qu’elle va accepter de prendre les dossiers.

      Certes, c’est un propos tactique, mais il a une part de vrai. Les juges détestent devoir décider d’une élection, ils veulent que les électeurs le fassent.
    • Sur le fond, votre question est mal posée. Vous vous demandez pourquoi Trump n’a pas pu avoir gain de cause, mais votre question est prématurée. Il est trop tôt pour la poser, et trop tôt pour y répondre. La bonne formulation est : Trump aura-t-il gain de cause ?

    Le contexte totalitaire

    Tout a commencé le 4 novembre, lorsque des Etats clés, des Etats essentiels pour gagner l’élection, des Etats où Trump était largement en tête le 3 au soir, se sont retournés, et ont comme par magie effacé l’avance très importante du président sortant. De mémoire, aucun autre Etat n’a vu un tel retournement pendant la nuit. C’était louche.

    De là, les soupçons sont très vite montés.

    Il faut rappeler que le parti Démocrate et les médias ont montré depuis quatre ans qu’ils ne reculaient devant rien pour prendre le pouvoir : aucun mensonge, aucune opération de grande ampleur, aucune violence, pour détruire ses opposants politiques, Donald Trump en tête ne les arrêtaient. Même au prix de la destruction de l’Amérique.

    • L’espionnage de la campagne Trump par Obama pour le compte d’Hilary Clinton est passé comme une lettre à la poste. La même affaire, quand le président était un Républicain, a créé un scandale de renommée mondiale, le Watergate. Ici, personne n’a été inquiété. Il y a eu des enquêtes, des dénonciations, des preuves incontestables, elles sont restées lettre morte.
    • Puis la fausse collusion russe, qui ne reposait sur rien, a été fabriquée par Hillary Clinton. Elle a réussi à obtenir la nomination d’un enquêteur spécial. Trois ans d’enquête n’ont rien donné, ont exonéré le président, mais les médias et les politiciens démocrates parlent comme si l’enquête a été concluante. Personne n’est en prison, personne n’est même inquiété. L’enquête est enterrée, le rapport Durham qui devait faire toute la lumière sur les auteurs devait sortir en juillet dernier. Il ne sortira pas.
    • Deux mesures d’impeachment ont été déclenchées. La première a échoué, la seconde, scandaleuse, a entendu mais ignoré les témoignages des témoins directs exonérant le président, pour ne retenir que des opinions de non-témoins.
    • Des émeutes ont ravagé l’Amérique pendant 5 mois après la mort de George Floyd. Elles se sont arrêtées brusquement lorsque le New York Times a constaté que l’opinion publique les dénonçait et voulait que Trump ramène l’ordre. Le NYT a donné le mot d’ordre, tout le monde a suivi. Les émeutes ont cessé.
    • Le coronavirus a tué et empoisonné, mais les médias ont jeté de l’huile sur le feu et accusé Donald Trump de tuer les Américains. 50 % des Américains ont cru ce mensonge. Le coronavirus a eu raison de la réélection de Trump.
    • Les médias ont étouffé l’affaire du viol d’une assistante de Joe Biden quand il était sénateur.
    • Le département de la Justice de l’honorable William Barr a étouffé le scandale de l’affaire de corruption de la famille Biden, révélé par le contenu de l’ordinateur de Hunter Biden, et confirmé par le témoignage de l’associé-dirigeant de la société de la famille Biden.

    Le processus légal vers la victoire est en cours

    Le 4 novembre, la fraude a sauté aux yeux des électeurs.

    S’est alors enclenché un processus très rapide, et très cohérent :

    • Constatez la fraude : fait.
    • La dénoncer : fait.
    • Réunir une équipe juridique de premier plan : fait.
    • Recueillir les preuves, les vérifier : fait.
    • Conserver celles qui ont un poids judiciaire : fait.
    • Alerter l’opinion publique pour générer un courant d’opinion nationale favorable, fait : deux sondages montrent que près de la moitié de la population pense que l’élection a été truquée – c’est énorme, dans le contexte où les médias ont fait un black-out total. 70 % pensent que Trump doit faire recompter les Etats où l’écart n’est que d’un pour cent.
    • Motiver les sénateurs des Etats concernés pour qu’ils fassent pression sur les gouverneurs, décertifient les résultats, nomment des grands électeurs : fait ou en cours.
    • Déposez plainte : fait. Subir des revers : fait. Faire appel : fait.
    • Engager des procès au fond : fait.

    C’est là que nous sommes au moment d’écrire ces lignes.

    Et maintenant

    • Les procès ont été lancés, avec des témoignages sous serment des fraudes constatées, par des témoins qui risquent la prison s’ils mentent. Des experts data ont exposé les aberrations statistiques, les votes illégaux, les votes de gens morts. Les preuves sont nombreuses, solides.
    • Les procès vont avoir lieu. Nous ne savons pas comment les tribunaux vont réagir : vont-ils accepter d’entendre les affaires ou vont-ils les rejeter ? Vont-ils accepter d’examiner les preuves ?

    Aucun tribunal n’a encore examiné l’affaire au fond.

    Cela montera jusqu’à la Cour suprême.

    C’est un processus. Il avance de façon cohérente, et nous ne sommes pas au bout. Loin de là.

    Trump avance aussi. Il se fait plus discret que d’habitude.

    Je pense qu’il aura gain de cause dans au moins un Etat, la Pennsylvanie, parce que la décision qui a été prise par l’Etat est inconstitutionnelle, contraire à sa propre loi. Trump aura peut-être gain de cause dans plusieurs autres Etats.

    La vraie question est de savoir s’il en gagnera assez pour remporter l’élection : je disais il y a 15 jours qu’il avait besoin de retourner 3 Etats pour gagner. C’est toujours vrai aujourd’hui.

    Nous ne sommes pas encore dans la dernière ligne droite

    Nous y serons lorsque le premier jugement au fond sera rendu.

    Surtout, ne perdez pas courage. Les chances sont faibles, mais réelles. Les preuves sont solides. Les avocats redoutables. Les équipes et les partisans, remontés à bloc. Les médias, en pleine propagande pour vous décourager.

    Vous, lecteurs de Dreuz, êtes les seuls informés. Dans tout le monde francophone, vous êtes les seuls à connaître les preuves, les témoignages. A ma connaissance, aucun média, ni en Suisse, ni en Belgique, ni au Québec ni bien entendu en France, le pire de tous pour l’information, n’en a parlé, car les journalistes refusent de faire leur métier d’information. Ils ont décidé en bloc qu’il n’existe aucune preuve.

    Devant l’opinion, Trump a gagné lui aussi : si Biden est nommé président, il ne sera jamais reconnu par la majorité des Américains comme le président légitime. Quant aux autres, aux Démocrates, aux non-informés, aux gens qui croient les médias, Trump y travaille et je peux affirmer qu’il va gagner le procès devant l’opinion publique.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    Et voici encore un autre article du même journaliste :

    221 000 votes contestés dans le Wisconsin, une victoire pour Trump à la clé ?

    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 décembre 2020

    Les sérieux procès de l’équipe des avocats de Trump commencent. Ils attaquent maintenant 221,323 votes illégaux dans le Wisconsin et demandent l’annulation de la certification des résultats tant que ces votes ne soient pas exclus.

    Mardi, le président Donald Trump a déposé une plainte explosive affirmant que les fonctionnaires du Wisconsin ont inclus 221 323 votes illégaux dans le recomptage de l’élection présidentielle et demandant à la Cour suprême du Wisconsin d’ordonner au gouvernement Tony Evers (un Démocrate) d’annuler la certification des résultats de l’élection de l’État jusqu’à ce que tout vote illégal puisse être exclu du comptage.

    580 242 votes par procuration ont été exprimés à Madison et Milwaukee. 221 000 ont été jugés non valables Cela représente 38 %. Biden n’a que 20 000 voix d’avance.

    Petite mise au point

    Les procès soi-disant « perdus » par Trump sont un mythe, un mensonge. Un procès n’est perdu que lorsque tous les recours sont épuisés. Aucun des procès engagés par les équipes de Trump n’ont épuisé leurs possibilités de recours à la date d’aujourd’hui. Les médias le savent, bien entendu, mais ils ne s’embarrassent pas avec la vérité : ils veulent faire croire que le président est désespéré, qu’il attaque à l’aveugle, tous azimuts, parce qu’il perd pied. Alors ils disent qu’il perd ses procès. Ah j’oubliais. Ils disent aussi qu’il n’a aucune preuve de fraude. Il faut dire qu’ils ont été gentils avec lui, pendant 4 ans, il n’y a pas de raison que cela cesse.

    Au tour du Wisconsin

    La campagne du président Donald Trump a donc intenté un procès dans le Wisconsin ce mardi, au motif que la procédure de vote par correspondance a été abusée et qu’elle a été illégale.

    Le procès vise à disqualifier plus de 221 000 bulletins de vote dans les deux comtés les plus Démocrates de l’État.

    Le procès a été engagé après que l’État ait terminé son recomptage partiel, et que le gouverneur du Wisconsin, Tony Evers, ait officiellement certifié lundi soir que Joe Biden était le vainqueur de l’État.

    La plainte en détail

    La campagne Trump affirme que les fonctionnaires de la Commission électorale du Wisconsin et les greffiers municipaux de Milwaukee et Madison « ont délibérément ignoré la loi, et l’ont contournée ». Cela a entraîné des dizaines de milliers de votes « bien en dehors des limites de la loi du Wisconsin », affirme la campagne.

    • Les fonctionnaires électoraux ont accepté des bulletins de vote par procuration venant de personnes qui n’ont pas demandé à voter par procuration, comme la loi de l’État l’exige. Ces bulletins illégaux doivent être « remis en question”, dit la campagne.
    • La campagne mentionne que les employés électoraux ont violé la loi électorale qui exige que les bulletins de vote soient retournés aux électeurs pour être corrigés et soumis à nouveau s’ils sont mal remplis, s’il manque des informations ou s’ils sont endommagés. Au lieu de ça, les employés municipaux ont modifié eux-mêmes, donc illégalement, les documents.
    • Les électeurs ont été autorisés à contourner la loi qui demande qu’un électeur présente une pièce d’identité, en se revendiquant d’un statut particulier réservé aux handicapés : « indéfiniment confinées ».

      En mars dernier, les responsables électoraux Démocrates avaient dit aux électeurs qu’ils pouvaient réclamer ce statut en raison de la pandémie de coronavirus, ce qui a été invalidé par la Cour suprême du Wisconsin.

      Par ce stratagème illégal, le nombre de personnes se disant « confinées indéfiniment » (et ce n’est pas provisoire) a augmenté comme par hasard dans deux comtés clés très Démocrates : 600 % dans le comté de Dane et 500 % dans le comté de Milwaukee. Pas dans le reste de l’Etat.

    Récapitulons : il y a quatre violations de la loi électorale

    1. Des employés ont modifié illégalement les bulletins de vote pour ajouter des informations manquantes. Il s’agit d’une violation de la loi, même si la gauche et les médias affirment que cela se produit depuis plusieurs élections. Ce n’est pas parce qu’ils s’en sont tirés avant que c’est légal.
    2. Les demandes de votes par procuration ont été distribuées sans qu’une demande écrite soit formulée. Les Démocrates, les médias, affirment que l’enveloppe qui accompagne le bulletin de vote est une demande. En réalité, cela viole la loi de l’État, qui est bien précise.
    3. Les exigences en matière de pièces d’identité des électeurs ont été contournées en disant aux gens de dire qu’ils étaient « indéfiniment confinés », c’est-à-dire handicapés, parce que les « indéfiniment confinés » n’ont pas à fournir une pièce d’identité.
    4. Madison a organisé des votes dans des parcs, ce qui constitue une violation de l’obligation de se rendre uniquement dans les bureaux de vote approuvés par la réglementation électorale pour garantir le contrôle et la légalité des votes.

    La difficulté est qu’un tribunal peut décider que puisque le délit a été commis par des agents électoraux et non par des électeurs, les votes ne doivent pas être invalidés. Si c’est le cas, les avocats s’adresseront à la Cour suprême des Etats-Unis. Là, il s’agit de la Cour suprême de l’Etat. Les recours ne sont pas épuisés.

    Le procès fait suite aux mêmes revendications que celles utilisées par la campagne pour justifier le recomptage. En cas de succès, toute personne ayant voté par correspondance dans les comtés de Dane ou de Milwaukee risque de perdre son vote lors de cette élection.

    L’avocat de la ville de Madison, qui a validé l’événement Democracy in the Park de deux semaines, où les bulletins de vote étaient acceptés, est convaincu que les avocats de Trump ont tort et vont perdre.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    Vous en voulez encore ?

    https://www.dreuz.info/2020/12/03/crise-de-conscience-des-employes-des-postes-temoignent-de-fraudes-electorales-a-grande-echelle/

    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 3 décembre 2020

    Trois dénonciateurs qui ont eu des remords, ont déclaré sous serment à une NGO de protections des droits civiques, que plus d’un million de bulletins de vote sont potentiellement frauduleux.

    Des bulletins déjà remplis expédiés d’un État à l’autre, des courriers antidatés par la Poste pour qu’ils soient comptés dans les délais, et des fonctionnaires qui manipulent les systèmes de Dominion pour empêcher un audit. Voilà ce que le projet Amistad, qui vise à préserver les libertés civiles, et a été créé par la Thomas More Society, un cabinet juridique national d’intérêt public à but non lucratif, a découvert.

    Plus de 300 000 bulletins de vote en Arizona, 548 000 dans le Michigan, 204 000 en Géorgie et plus de 121 000 en Pennsylvanie sont concernés par les déclarations des lanceurs d’alerte recueillies par the Amistad Project.

    Jess Morgan, chauffeur de camion de l’USPS

    « Je transportais des bulletins de vote préremplis de New York en Pennsylvanie. Je ne savais pas, alors j’ai décidé de parler »

    « Le 21 octobre, je suis arrivé à Bethpage où j’ai vu 24 gaylords (grands conteneurs en carton utilisés par l’USPS), et j’ai appris qu’ils contenaient des votes par correspondance.

    Les gaylords contenaient des bacs de courrier en vrac remplis d’enveloppes de taille identique empilées en croix, qui contenaient probablement entre 144 000 et 288 000 bulletins de vote, ou plus.

    J’ai pu voir des adresses de retour manuscrites et l’une d’entre elles portait même la mention « courrier recommandé ».

    M. Morgan est arrivé à Harrisburg à 9 h 15, les bulletins étaient dans des remorques, mais il a été obligé de rester assis dans la cour de l’USPS jusqu’à 15 h. Lorsqu’il est entré pour parler à quelqu’un parce que ses heures étaient sur le point d’expirer, un superviseur de transport a demandé à Jesse de conduire tout le chargement à Lancaster, sans décharger la partie destinée à Harrisburg.

    « Le superviseur ne m’a pas fourni de bordereau écrit, et m’a dit que je devais décharger à Harrisburg pour recevoir un bordereau.

    Morgan s’est rendu à Lancaster sur ordre du superviseur des postes de Harrisburg, a décroché la remorque à l’endroit habituel, a garé son camion à l’endroit habituel, et est rentré chez lui.

    Le lendemain, sa remorque, la seule qu’il ait jamais utilisée sur son itinéraire de Bethpage, avait disparu.

    « Ce qui s’est passé le 21 octobre est une série d’événements inhabituels qui ne peuvent pas être une coïncidence. Je sais que j’ai vu des bulletins de vote avec des adresses de retour remplies, des milliers d’entre eux, chargés dans ma remorque à New York en direction de la Pennsylvanie. »

    Un deuxième employé de l’USPS originaire du Wisconsin, Nathan Pease

    Autre dénonciateur, Nathan Pease, à qui deux employés de la poste ont dit à deux reprises que l’USPS du Wisconsin a antidaté plus de 100 000 bulletins de vote pour s’assurer qu’ils seraient comptés à temps, même s’ils arrivaient après la date limite légale.

    Nathan Pease n’a voté ni pour Trump ni pour Biden, mais pour un petit candidat d’un tiers parti. Il a déclaré que le 4 et le 5 novembre, deux postiers distincts lui ont dit qu’ils collectaient des dizaines de milliers de bulletins de vote et qu’ils les antidataient.

    Pease a également décrit l’étrange situation où il n’a trouvé que quelques bulletins dans des boîtes de dépôt les 2 et 3 novembre, puis s’est fait dire plus tard par un employé supérieur de l’USPS qu’il manquait 100 000 bulletins et que d’autres employés des postes seraient envoyés pour les trouver.

    Des employés des postes de Traverse City (Michigan), Coraopolis (Pennsylvanie), Erie (Pennsylvanie) et Elkins Park (Pennsylvanie) ont également parlé des mêmes malversations du service postal, des bulletins de vote antidatés.

    L’organisation dit disposer en outre d’autres preuves, notamment des employés de la poste de Pennsylvanie qui ont reçu l’ordre de placer le courrier émanant de la campagne Trump – y compris la documentation de la campagne – dans des bacs non distribuables, et s’assurer que le courrier de la campagne Biden soit distribué en temps voulu.

    Le projet Amistad engage six procès

    Dans un communiqué de presse, le projet Amistad de la société Thomas More, a annoncé le 30 novembre qu’il engage des poursuites judiciaires au niveau fédéral et au niveau des États pour contester les résultats des élections présidentielles dans le Wisconsin, la Pennsylvanie, le Michigan, le Nevada, la Géorgie et l’Arizona.

    La campagne Trump va s’associer au projet Amistad pour ces poursuites au cas par cas, a déclaré Rudy Giuliani.

    Le projet Amistad a déclaré que le FBI lui avait demandé de transmettre ses conclusions à son bureau de Los Angeles. Probablement parce que la terre y étant plus sableuse, le dossier sera plus facile à enterrer.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    • https://got-freedom.org/2020/12/01/press-release-amistad-project-announces-major-new-election-whistleblowers/
    • https://got-freedom.org/2020/12/01/press-conference-election-whistleblowers-come-forward

    QUOI, J'AI PAS ENTENDU : AH OUI, VOUS EN VOULEZ ENCORE ?

    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 18 novembre 2020
    Page d’Eric Coomer, une célébration de la haine de Trump, depuis supprimée

    Dans une interview, Joe Oltmann, le fondateur de FEC, une association conservatrice qui défend le mode de vie traditionnel de l’Amérique, explique avoir infiltré les Antifa.

    C’est là qu’il a découvert par hasard – cela se passait en septembre dernier, qu’une des personnes présentes dans une conversation entre membres du groupe extrémiste était Eric Coomer, le fondateur et vice-président de Dominion Voting Systems, qui est utilisé dans de nombreux Etats américains et d’Amérique latine pour compter les élections.

    Et au cours de la conversation, alors qu’à l’époque Joe Oltmann n’avait jamais entendu parler de Dominion (nous non plus d’ailleurs, ne connaissions pas leur nom avec l’élection) Coomer a déclaré « Ne vous inquiétez pas pour l’élection, Trump ne va pas gagner. Je m’en suis assuré ! »

    Oltmann a ensuite fouillé sur internet, il a retrouvé le profil Facebook de Coomer, et a découvert qu’il est un respectable cadre d’entreprise le jour, et un antifa haineux le soir – ce n’est pas un cas unique, une avocate de New York a été arrêtée en mai pendant une émeute des Antifa et reconnue sur des photos.

    Depuis, Coomer a effacé de ses comptes dans les médias sociaux les éléments qui montrent son extrême haine de Trump.

    En appui de ce qui est peut-être un sale coup organisé par le dirigeant de Dominion, je suis allé plus loin, j’ai enquêté. Voici ce que j’ai trouvé :

    Carte où les machines Dominion sont installées (tirée de leur site internet)

     

    1 Le premier est qu’aucun journaliste n’a enquêté sur Dominion : ils ne veulent pas savoir, et c’est très suspect car c’est leur raison d’être. Ils défendent Dominion au lieu de douter de Dominion. Ils ne veulent pas faire leur métier, alors que c’est le seul métier qui soit mentionné dans la constitution des Etats-Unis, parce qu’il a un rôle important à jouer dans les équilibres du pouvoir : il est supposé être le contre-pouvoir. Les journalistes, en réalité, ne veulent pas risquer que Joe Biden ne soit pas déclaré élu, ou qu’il soit vu comme un président de république bananière. C’est un peu tard, et les apparences sont accablantes, multiples, étouffantes.

    2 L’une des avocates de Donald Trump, Sidney Powell, a publié un témoignage sous serment concernant la fraude électorale au moyen des systèmes informatiques de Smartmatic par Hugo Chavez au Venezuela, systèmes qui font fonctionner les machines de Dominion.

    3 Jack Nicas a démenti ces accusations dans le New York Times – car les journalistes dressent un mur de défense de Dominion alors qu’ils devraient enquêter pour connaître la vérité. Mais son démenti est plutôt l’aveu d’un refus de regarder sous le capot. Il dit en fait, « circulez, il n’y a rien à voir » :

    Le logiciel Dominion n’était utilisé que dans deux des cinq comtés qui avaient des problèmes dans le Michigan et en Géorgie, et dans chaque cas, il y avait une explication détaillée de ce qui s’était passé. Dans tous les cas, le logiciel n’a pas affecté le décompte des votes.

    https://www.nytimes.com/2020/11/11/technology/no-dominion-voting-machines-did-not-delete-trump-votes.html

    4 Le directeur de Smartmatic admettait en 2017 que leur système était capable de créer « au moins un million » de votes fantômes lors des élections au Venezuela. Voici la vidéo de sa déclaration :

    5 Sidney Powell a ouvertement accusé Dominion de fraude. Une semaine avant les élections, la chaîne PBS avait elle aussi enquêté sur Dominion, et découvert des choses troublantes. Voici les vidéos :

    6 Autre élément de réflexion : un enregistrement d’Eric Coomer, que nous devons à Sharon Meroni de l’organisation DefendTheVote.com. Coomer admet que Dominion ne met pas ses logiciels à jour pour les protéger contre la fraude.

    Eric Coomer

    Cela se passe vendredi 26 août 2016, au cours d’une réunion au Conseil des élections de l’État de l’Illinois.

    • Quelqu’un demande au vice-président de Dominion, Dr Eric Coomer, s’il est possible de contourner le logiciel des systèmes électoraux et d’accéder directement aux bases de données qui gèrent les systèmes gérant les élections en Illinois.
    • Sa réponse a été : « Oui, si quelqu’un a l’accès. »

    Le contournement des logiciels des systèmes électoraux signifie que quiconque y a accès peut manipuler le vote sans grand risque de détection.

    Nous avons donc demandé à Coomer qui a accès à ces bases de données. Voici sa réponse :

    « Les employés [de Dominion], les responsables des élections et les autres personnes qui doivent recevoir un accès ».

    C’est une révélation explosive. La déclaration de Coomer est une admission que divers employés, fonctionnaires électoraux et autres ont accès aux bases de données, ce qui permet de contourner la configuration du système d’exploitation.

    Cela commence à partir de 6:11

    Avant de travailler pour Dominion Voting, le Dr. Coomer était directeur des services d’information de Smartmatic Corporation – la société qui fournissait les machines de vote à Hugo Chavez.

    Les mêmes qui affirment qu’il n’y a pas de fraude, dénonçaient la fraude en décembre 2019

    7 Comme tout ceci n’est qu’une « vaste conspiration d’extrême droite », je dois rappeler que les sénatrices Elizabeth Warren et Amy Klobuchar ainsi que Ron Wyden ont déposé une plainte officielle le 6 décembre 2019 auprès de Dominion Voting Systems. Parmi les plaintes ? Allégations de « commutation de vote ». Voilà le document officiel :

    8 Autre témoignage qu’il sera difficile de mettre sur le dos de l’extrême droite, cette fois rapporté par Associated Press (1) en janvier 2020 suite à une audition du Congrès des trois principaux fabricants (Election Systems & Software, Dominion Voting Systems et Hart InterCivic) sur la sécurité des machines de vote.

    Extrait :

    Les dirigeants ont reconnu qu’il n’existe aucune méthode de vote qui soit sûre à 100 %.

    …/…

    Les trois entreprises ont également reconnu que certains de leurs équipements permettent de transmettre les décomptes des votes de nuit par modem, une vulnérabilité que les pirates informatiques pourraient exploiter, selon les experts en sécurité. Ils ont déclaré que certains bureaux électoraux locaux et d’État l’exigent, bien que certains États et juridictions interdisent cette pratique.

    « Il y a des risques supplémentaires qui sont posés lorsque vous avez la transmission des résultats à distance », a déclaré M. Poulos. « Nous travaillons pour les atténuer avec les fonctionnaires de l’Etat et des collectivités locales. »

    9 Associated Press, dans un rapport publié le 30 octobre 2018 (2) a révélé que les principales entreprises liées aux élections avaient longtemps lésiné sur la sécurité au profit de la commodité et opéraient sous le voile du secret financier et opérationnel malgré leur rôle critique dans les élections.

    Associated Press : De nombreux systèmes de vote utilisés aujourd’hui dans les plus de 10 000 juridictions électorales américaines sont sujets à des problèmes de sécurité. Les informaticiens universitaires ont commencé à les pirater avec facilité il y a plus de dix ans, et peu de choses ont changé. Les pirates ont pu introduire des logiciels qui font basculer les votes d’un candidat à l’autre

    Voici ce qu’il écrit – c’est très inquiétant :

    Un trio d’entreprises – ES&S d’Omaha, Nebraska ; Dominion Voting Systems de Denver et Hart InterCivic d’Austin, Texas – vend et entretient plus de 90 % des machines sur lesquelles les votes sont exprimés et les résultats compilés.

    Les experts affirment qu’ils ont longtemps lésiné sur la sécurité au profit de la commodité, rendant plus difficile la détection d’intrusions telles que celles survenues lors de l’ingérence dans les élections de 2016 en Russie.

    Les entreprises ne font pas non plus l’objet d’une surveillance fédérale importante et opèrent sous le sceau du secret financier et opérationnel, malgré leur rôle central dans la démocratie américaine.

    Dans une grande partie du pays, en particulier là où l’expertise technique et les budgets sont maigres, les entreprises organisent effectivement les élections, soit directement, soit par l’intermédiaire de sous-traitants.

    « Elles bricolent du mieux qu’elles peuvent », a déclaré Alexander Schwartzman, expert en technologie électorale de l’Université du Connecticut, à propos des leaders du secteur.

    « Construire des systèmes vraiment sécurisés les rendrait probablement non rentables », a-t-il dit.

    Les coûts d’une sécurité inadéquate peuvent être élevés. Il n’a pas été mentionné lors de l’audition de Chicago [où les noms, adresses dates de naissance et numéro de sécurité sociale d’environ 1,8 millions d’électeurs étaient exposés sur un serveur Amazon visible du public pendant des mois].

    Le cache de données exposé sur Amazon comprenait environ une douzaine de mots de passe cryptés pour les comptes des employés de l’ES&S. Dans le pire des cas, un attaquant sophistiqué aurait pu les utiliser pour infiltrer les systèmes de l’entreprise, a déclaré Chris Vickery de la société de sécurité Upgard, qui a découvert l’absence de données.

    Le responsable de la cybersécurité du ministère de l’Intérieur pendant l’administration Obama avait fait part de ses inquiétudes sur la fiabilité des machines de vote. « L’industrie continue à faire de l’obstruction », a déclaré Bruce McConnell.

    « Les responsables des fournisseurs de logiciels électoraux donnent régulièrement des assurances, mais n’encouragent pas les étrangers à inspecter leur code ou à offrir des « primes de bug » aux chercheurs pour qu’ils recherchent les défauts de leurs logiciels »

    https://apnews.com/article/f6876669cb6b4e4c9850844f8e015b4c

    Le sénateur Ron Wyden, un Démocrate de l’Oregon, a longtemps critiqué ce qu’il appelle le « grave sous-investissement de l’industrie dans la cybersécurité ».

    Lors d’une audience en juillet 2018 (2), il a accusé les entreprises de « se défiler et de botter en touche » sur une série de questions de sécurité basiques qu’il leur avait posées. Wyden avait peu après déposé plainte contre Dominion.

    En 2014, Jacob Stauffer de l’entreprise de sécurité Coherent Cyber, a découvert (3) dans la Democracy Suite de Dominion « de multiples vulnérabilités critiques » qui permettent à des pirates informatiques de compromettre le résultat d’une élection.

    « Ces systèmes sont essentiellement le monstre de Frankenstein », a déclaré M. Stauffer.

    https://www.chicagotribune.com/business/ct-biz-voting-machine-security-20181029-story.html

    Une faille gigantesque dans l’intégrité des élections américaines

    • Au niveau fédéral, aucune autorité n’accrédite les vendeurs de machines de vote ni ne les contrôle, eux ou leurs sous-traitants.
    • Aucune loi fédérale ne les oblige à signaler les tentatives de piratage, les compromissions de la sécurité de leurs machines, ni à effectuer des vérifications d’antécédents sur leurs employés ou leurs sous-traitants.
    • Les vendeurs de machines de comptage de vote ne doivent même pas être des entreprises américaines. Dominion était une entreprise canadienne jusqu’à ce qu’une entreprise de capital-investissement new-yorkaise a acquis une participation majoritaire en juillet 2018/
    • La surveillance fédérale se limite à la minuscule Commission d’assistance électorale, un organisme de 30 employés qui certifie le matériel de vote mais dont les recommandations sont strictement volontaires. Elle n’a aucun pouvoir de surveillance et ne peut pas sanctionner les fabricants en cas de défaillance.
    • Dominion est le petit dans cette sombre affaire digne des républiques bananières. ES&S est le géant du marché, avec près de 50 % des machines de vote installées, et des problèmes jusqu’à là. Le 28 octobre 2019, Jessica Huseman écrivait sur ProPublica (4) :

    « Le marché des machines de vote est brisé. Cette entreprise [ES&S] en a profité pour prospérer. De nombreux experts et responsables électoraux affirment que ce fabricant reste dominant parce qu’il y a peu de réglementation gouvernementale et presque aucune surveillance. »

    Cerise sur le gâteau, l’agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) du département de la Sécurité intérieure des Etats-Unis a publié la semaine dernière une déclaration défendant l’intégrité des élections de 2020.

    Petit problème, deux des principales sociétés de machines et logiciels électoraux qui sont mises en question dans cette élection – Dominion Voting Systems et Smartmatic – siègent dans cette agence gouvernementale.

    Conclusion

    Ce n’est pas bien compliqué de faire sérieusement son travail d’enquête journalistique. Il est regrettable que vous ne trouviez pas cela ailleurs que sur Dreuz.info.

    Ce que je viens de faire, c’est Le Monde, le New York Times, The Guardian et les journaux télévisés du soir qui devraient le faire. Ce n’est pas difficile, il suffit d’être honnête, curieux, vouloir connaître la vérité, et ne pas avoir peur de la dévoiler, quelle que soit l’issue.

    Toute cette histoire ressemblerait à un grossier récit conspirationniste de droite si les craintes des Démocrates n’y étaient pas intimement mêlées.

    Il existe une différence importante mais jamais expliquée, entre une théorie conspirationniste inventée par des complotistes traumatisés par les désordres du monde, et les vrais complots, qui existent.

    La différence ? Un complot commence toujours par des indices douteux. Un évènement se produit, un récit est proposé par les médias, les responsables officiels, le gouvernement. Mais des zones d’ombres, des incohérences ou des questions sans réponse logique apparaissent rapidement dans le récit. Elles demandent des recherches approfondies.

    Comme le fait que 600 000 votes pour Trump le 3 novembre au soir, disparaissent par magie le lendemain matin, et donnent la victoire à Biden, simultanément dans plusieurs Etats, particulièrement des Etats clés qui peuvent donner la victoire à Trump.

    C’est le travail des journalistes que d’enquêter – ils ne le font plus. Le journalisme est mort. Les rédactions se débarrassent des journalistes qui voudraient faire du zèle. Les autres refusent de faire leur travail dès l’instant où cela pourrait servir la cause de ce qu’ils appellent « l’extrême droite », qu’ils considèrent, sans doute en toute sincérité, comme le plus grand danger que court notre société, et contre lequel ils sont le dernier rempart.

    Une question reste en suspens, cependant : si les machines peuvent être compromises par des pirates, les bulletins papier devraient permettre de valider les élections. C’est là que les pratiques douteuses des Démocrates sont douloureuses : recouvrir les salles de dépouillement de panneaux pour qu’on ne voie pas ce qui se trame à l’intérieur, expulser les observateurs républicains lors des comptages, ou obtenir de la Cour que les observateurs soient à 30 mètres des tables de vérification – parce que la loi dit que les observateurs de tous les partis doivent être présents, mais ne fixe pas la distance à laquelle ils doivent se trouver, ne peut pas renforcer la confiance dans les élections, dans cette élection, et dans la démocratie américaine. Cette page a été tournée.

    Conclusion de ma conclusion

    Rien de tout ce qui précède ne prouve la fraude électorale. Je montre seulement qu’elle est possible, et qu’elle préoccupait bien avant cette élection, contrairement aux déclarations des médias qui agissent comme des chiens de garde.

    Je remercie Dreuz d’exister, et de me permettre de faire ce noble et indispensable travail d’information, honnêtement, à l’ancienne, sans me censurer ou me demander de m’auto-censurer. Cette enquête n’était pas difficile à conduire. N’importe quel journaliste pas trop fainéant aurait pu la faire. J’espère qu’une génération prendra la relève et que ce travail les inspirera.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    1. https://apnews.com/article/3e453e6ed960a64e7d5d7a89081e96c6
    2. https://apnews.com/f6876669cb6b4e4c9850844f8e015b4c
    3. https://www.chicagotribune.com/business/ct-biz-voting-machine-security-20181029-story.html
    4. https://www.propublica.org/article/the-market-for-voting-machines-is-broken-this-company-has-thrived-in-it
     

     

     

  • Serait-ce un voeu pieux ?

    Monsieur Jean-René Belliard, vous vous faites l'écho du mantra de l’Autorité palestinienne et de l’'ONU en écrivant, je cite : annexion de pans de la Cisjordanie, territoire occupé par l'armée israélienne depuis 19671).

    Je ne répéterais hélas jamais assez que la JUDÉE SAMARIE, nom à consonance juive, avait été illégalement annexée par la Jordanie de 1948 à 1967 (aucun pays à part la GB et l’Australie n'avait reconnu l'annexion). Israël l'a conquise, en 1967, après que la Jordanie lui ait déclarée la guerre. Du point de vue du droit international, tout territoire conquis à la suite d'une guerre DÉFENSIVE RESTE ACQUIS AU PAYS QUI A ÉTÉ AGRESSÉ, SI CELA OBÉIT A DES MESURES SÉCURITAIRES.  

    Aussi appelle-t-on "territoires occupés" ceux placés sous une souveraineté reconnue, conquis au cours d'une guerre. Or, ne se trouvant placés sous la souveraineté légitime et reconnue d'aucun État avant la guerre des Six jours, la Judée Samarie ne peut être considérée comme étant actuellement occupée par l’État hébreu. Cela d'autant plus qu'en 1988, la Jordanie a renoncé à toute prétention sur cette dernière. Je vous pose donc Monsieur Belliard cette question : à qui faudrait-il rendre la Judée Samarie ? À l’État de Palestine ? Non seulement celui-ci n'a pas encore vu le jour, mais aussi les gouvernements arabes ont-ils refusé en 1948 d'y créé un tel État. Israël ne peut donc matériellement occuper la JUDÉE SAMARIE, tout au plus peut-elle être REVENDIQUÉE par un futur État palestinien. Je vous rappelle humblement, Monsieur Belliard que selon la déclaration des Devoirs et droits du/de la journaliste, il est stipulé à l'article 5 :" Rectifier toute information publiée qui se révèle matériellement inexact.

    En outre, j’aurais attendu de quelqu’un imbu de déontologie qu'il mentionne au moins aussi :

    °que la Cisjordanie (était appelée avant l’occupation jordanienne : Judée Samarie).

    °De faire également prévaloir le point de vue du gouvernement israélien qui selon lui  la Cisjordanie/Judée Samarie n’est pas un territoire occupé ».

    Mais je crains que cela eût été un vœu pieux...

     

    David Frenkel

    1) https://jrbelliard.blog.tdg.ch/archive/2020/12/02/israel-transfere-plus-d-un-milliard-de-dollars-a-l-autorite-311134.html

  • Migrations d'automne... Le poétique virus ne nous fait pâlir, il nous fait jouir (XXXIX)

    La nature émigre à l'automne ;
    C'est la saison des migrations
    Vers des horizons plus cléments.
    Là-bas, l’hirondelle chantonne
    Le chant de la végétation
    Quand l'ardeur brille au firmament.

    Bien des plantes migrent aussi ;
    A l'automne, elles se confinent
    Dans la chaleur de leurs entrailles
    Lorsque le froid s'assied ici.
    L'hiver, l'artisan, les peaufine
    Pour ses joyeuses funérailles.

    Les abeilles se réfugient
    Dans la ruche chaude et grouillante
    Lorsque les plantes dépérissent.   
    Et leurs miels, comme par magie,
    Auprès d'une reine accueillante,
    Depuis l'automne les nourrissent.

    Nombre d'écureuils accaparent
    Les noix, les noisettes,les glands
    Sous les automnaux coloris.
    Les cavités, ils les préparent
    En prévision d'un hiver blanc
    Avec leurs objets favoris.

    La sarcelle d'hiver s'envole ;
    Elle déploie ses beaux miroirs
    Sous le firmament automnal
    Pour s'enfuir vers des lacs frivoles
    Quand le temps devient un mouroir ;
    Le soleil est son doux fanal.

    Quand l'automne fourre son nez
    Dans une civilisation,
    Tant de malheurs dans les cercueils
    Ne cessent de la laminer.
    L'homme qui fuit les exactions
    N'a pas toujours un bon accueil.

    David Frenkel