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Le traité de paix qui vient d'être signé entre Israël et les Émirats arabes unis relègue dans l'oubli ces palestiniens dont la cause se mesure à l'aune de l'anéantissement d'Israël. Car le mot paix équivalant pour eux à sa reconnaissance en tant qu’État, la signature de ce traité ressemble à cette main qui jette leur ambition d’éradication par la fenêtre. Le pragmatisme des EAU dans le souci d'avoir un allié contre un Iran hégémoniste ainsi que leur flair économique, ont balayé la réticence d'un lobby religieux devenant de plus en plus désuet dans le monde de l'économie.
Alors que cesse donc les larmes de crocodile de certains médias qui dégainent leurs plumes pour nous confectionner l'abandon d'un peuple créé pour anéantir un autre. Jamais, au grand jamais, leurs plumes n'ont-elles fustigé la perversité d'un dogme jusqu'au-boutiste. Et pourtant bien des journalistes médiatiques auraient pu s'offusquer devant les refus suivants:
En 2000, à Camp David, lorsque Bill Clinton a convaincu Ehud Barak d’accepter d’importantes concessions, le Premier ministre israélien avait alors validé le plan qui donnait un État aux Palestiniens, connu aux Etats-Unis sous le nom des Clinton Parameters. Non seulement le chef d'alors de l'OLP, Arafat, a refusé, mais encore a-t- il déclenché la seconde intifada.
En 2008, Israël, en la personne de son Premier ministre Ehud Olmert, a fait, une nouvelle fois, d’énormes concessions, jusqu’à accepter la division de Jérusalem. Israël ayant donc derechef, accepté la création d’un État palestinien jouxtant ses frontières, et avec le risque terroriste que cela comportait, celui qui est encore aujourd'hui à la tête de l'OLP, Mahmoud Abbas, a refusé.
A ce jour, les Arabes ne désirent toujours pas constituer un Etat palestinien. Rappelons qu'en 2009, Mahmoud Abbas a requit de Netanyahou un gel de 10 mois des constructions en Judée Samarie comme condition pour reprendre les négociations de paix. Netanyahu a obtempéré, mais Abbas n'a pas tenu sa promesse. Et celui-ci est allé jusqu'à refuser En 2015, une rencontre avec le premier ministre israélien, alors que les deux, étaient en même temps dans l’immeuble de l’ONU à New York ! C'est pourquoi, seul le plan Trump prévoyant la création d'un État palestinien démilitarisé sur 70% de la Judée Samarie qui serait relié à Gaza par un tunnel souterrain est à prendre ou à laisser. Vingt ans de refus doivent être assumés ! Par ailleurs, il est à relever le silence des redresseurs de torts médiatiques devant l'attitude répréhensible de l'Autorité palestinienne qui jette aux orties le plan de relance américain de 50 milliards de dollars contenu dans le plan de D.Trump, faisant peu cas d'une population paupérisée dont elle a la responsabilité.
Alors, sus aux lignes éditoriales vendeuses. Si un certain public de lecteurs se repaît sur l'herbe de la cause palestinienne qui pousse dans le jardin de ce juif que l'on peut décrier sans passer pour un antisémite, les médias qui en font leurs choux gras vendent leur âme au diable. Il n'est pas sûr qu'ils n'y perdent en honorabilité... en crédibilité. Ils n'échapperont pas au couperet d'une nouvelle histoire qui est en train de se dessiner grâce aux pays sunnites.
Par ignorance, ou par anti-israélisme systématique, une grande partie de l’opinion internationale a fait sienne l’argumentation palestinienne : Israël est ‘’une puissance occupante’’.
Ce qui voudrait dire qu’il a existé un Etat arabe qui s’appelait ‘’Palestine’’, qui un jour fut attaqué, vaincu, puis occupé par Israël. Or il n’en est rien ! C’est même quasiment l’inverse !
Mon ambition ici n’est pas de répéter ce que des sommités en Droit international ont déjà brillamment démontré, mais d’essayer de rendre le plus clair possible, et au plus grand nombre, comment cette question de la ‘’souveraineté’’ va évoluer avec le temps.
C’étaient 3 Willayet (provinces) : de Beyrout, d’Alep, de Syrie… Jérusalem (peuplée en majorité de Juifs, depuis 1857), dépendant directement de Constantinople…
Ces trois provinces et Jérusalem étaient regroupées sous le nom de ‘’Syria-Palestina’’ depuis l’Empire romain, lequel avait renommé en ‘’Palestine’’ le royaume hébreu biblique de Judée pour le punir de lui avoir furieusement résisté : d’abord contre Titus (fin des années 60), puis avec Bar Kokhba (132–135).
2 – Le mandat britannique ?
Durant la 1ere guerre mondiale (1914-18), pour affaiblir l’Empire ottoman qui s’est allié aux Allemands, l’Angleterre promet un grand Empire arabe à la famille des Hussein à qui est confiée depuis des générations la garde de la Mecque.
Hussein Ben Ali, le père, Chérif de la Mecque, devient Roi du Hedjaz (Arabie) de 1916 à 1924. Fayçal, l’un de ses fils, obtient La Syrie, mais la France réclame sa zone d’influence (Liban – Syrie, en vertu des Accords Sykes/Picot, Mai 1916) et l’en dépossède quelques mois après en 1920. Qu’à cela ne tienne, le Roi Fayçal ne perd rien au change : l’Irak lui est offerte.
Mais pour être quitte avec les Juifs qui, avec Herzl, aspirent à reconstituer leur nation, l’Angleterre a encore fait une autre promesse : leur octroyer un ‘’Foyer national juif’’. C’est la Déclaration Balfour (2 novembre 1917) : ‘’Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non-juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les Juifs jouissent dans tout autre pays. ‘’
La Société des Nations (l’ONU de l’époque) entérine en Avril 1920, à San Rémo, cette décision.
Entourée de 5 pays arabes (Arabie Saoudite, Egypte, Irak, Liban, Syrie), la Palestine revenait aux Juifs, et ce en raison de leurs liens historiques trimillénaires avec cet endroit du Moyen Orient.
Initialement, la Palestine mandataire (qui aurait dû devenir juive) devait ressembler à cela….
Mais comme il faut contenter la nombreuse famille des Hussein, on détache un gros morceau de la Palestine mandataire (77% ) et on l’octroie au 2ème fils de Hussein ben Ali : le Roi Abdallah 1er…!!!.
Ce nouveau ‘’pays’’ est appelé TransJordanie (à cause du fleuve Jourdain).
Le reste (23%) devrait revenir aux Juifs…. Devrait…
Depuis 4 siècles, la souveraineté sur la Palestine était détenue par l’Empire ottoman. Après la défaite de l’Allemagne dont il était l’allié, il est forcé d’y renoncer (Traité de Sèvres, Aout 1920).
La souveraineté sur la Palestine comme sur les autres régions du Moyen-Orient est confiée, temporairement, par la Société des Nations, à la France et à l’Angleterre.
Le Liban et la Syrie obtiennent de la France, leurs indépendances en 1943 et 1946. L’Iraq et la TransJordanie en 1943 et 1946 de la part de l’Angleterre.
Mais face aux protestations arabes, l’Angleterre ne tient pas sa promesse vis-à-vis des Juifs, et se refuse à appliquer le Traité de San Rémo octroyant la Palestine au peuple juif.
Notons qu’après 1945, les compétences de la Société des Nations en matière de territoires non autonomes sont transférées à l’ONU. En vertu de l’article 80 de sa Charte, les fondements des droits historiques et juridiques juifs établis à la Conférence de San Remo sont confirmés et préservés à jamais.
3 – Le plan de partage de novembre 1947
L’ONU vainc la résistance de l’Angleterre et propose un plan de partage entre ‘’un État arabe et un État juif’’, accepté par 33 pays contre 13 (Résolution 181)
La ‘’Palestine’’ qui devait revenir au peuple juif, déjà amputée de 77% (devenue Transjordanie), est à nouveau amputée de plus de la moitié des terres restantes (entre la Mer et le Jourdain) !!!
De plus, ce qui reviendrait aux Juifs (en marron) est sécuritairement intenable : une bande côtière de moins de 10km de large, une enclave en Galilée (+ le désert du Néguev… !).
Malgré cela, les Juifs acceptent le Plan de partage…
4 – Refus arabe (1947) et guerre d’indépendance des juifs (1948)
Tous les pays arabes refusent ce Plan de partage et persuadés de triompher, entament une guerre contre les Juifs. Lorsque s’achève le mandat britannique le 14 Mai 1948, les Juifs déclarent le jour même leur indépendance sur le territoire proposé par l’ONU qu’ils décident de nommer ‘’Israël’’ qui fut le nom d’un des deux Royaumes hébreux, l’autre étant ‘’Judée’’ (le nom ‘’Palestine’’ est envisagé dans le débat par certains dirigeants).
Mais du même coup, ils doivent affronter les armées régulières des 5 pays arabes environnants ainsi que les milices arabes de ‘’Palestine’’, dont le but est de ‘’les jeter à la mer’’.
5 – Défaite des arabes et traites d’armistice en 1949
Début 1949 Israël défait toutes les armées arabes et agrandit son territoire, initialement proposé par le plan de partage.
Israël propose aux pays arabes des Traités de Paix qui auraient mis fin au conflit en fixant des frontières définitives, mais se heurte à un refus.
Seuls seront signés des Traités d’armistices, les pays arabes prévoyant de repartir à l’attaque dès que possible, afin de ‘’jeter les Juifs à la mer’’, puisque tel est leur slogan.
Insistons sur le fait que :
Les Traités d’armistices fixent non pas ‘’des frontières’’ mais une ligne de démarcation au moment de l’arrêt des combats. C’est la fameuse ‘’ligne verte’’ qui restera inchangée jusqu’à la guerre de 6 Jours de 1967.
La bande de Gaza est occupée par l’Egypte.
La TransJordanie occupe un territoire à l’ouest du fleuve Jourdain, dont le nom originel est ‘’Judée-Samarie’’, mais qu’elle renomme ‘’CisJordanie’’ (en anglais : ’’West Bank’’)
La ville de Jérusalem est coupée en deux : Ouest, israélienne / Est, jordanienne.
Le 24 avril 1950, la TransJordanie annexe la CisJordanie, et l’ensemble devient ‘’Jordanie’’.
Récapitulons :
Après l’Empire ottoman (pour s’en tenir au dernier des empires), la souveraineté de ce que le monde appelle aujourd’hui ‘’CisJordanie’’ ou ‘’Palestine’’ (région à l’ouest du Jourdain) et qui fut la Judée-Samarie des Hébreux, a été détenue successivement par l’Angleterre mandataire, puis par la TransJordanie devenue Jordanie. Jamais par la ‘’Palestine’’.D’ailleurs durant la période du mandat anglais (1917 – 1948), seuls les Juifs se disent ‘’Palestiniens’’, les Arabes préférant se dire, ‘’Arabes’’ ou ‘’Syriens’’, ou ‘’Jordaniens’’…
Les Chefs des Grandes familles arabes de CisJordanie réunies en Congrès à deux reprises en 1949 appellent le Roi Abdallah à les inclure à la Transjordanie, et à les considérer comme des ‘’Jordaniens’’, ce qu’il fait en 1950. Annexion immédiatement reconnue par l’Angleterre et le Pakistan, puis par l’ONU le 14 décembre 1955 (Résolution 109).
Cette occupation par la TransJordanie n’a jamais été dénoncée par les instances internationales. Pas plus que celle de la Bande de Gaza par l’Egypte.
Jusque-là donc, il n’y a jamais eu de ‘’souveraineté arabe palestinienne ’’.Et à partir de là, plus aucun territoire ne portera même le nom de ‘’Palestine’’.
6 – La guerre de 6 jours : Juin 1967 ?
La Ligue arabe réunie à Rabat en 1965 entérine le désir de Nasser de déclencher une guerre contre Israël. En 1967, l’Egypte ferme le Détroit de Tiran à Israël, ce qui est déjà un casus belli. Puis exige de l’ONU le retrait des Casques Bleus du Sinaï, aussitôt remplacés par la mobilisation de l’armée égyptienne à la frontière israélienne. Ce à quoi s’ajoute dans l’ensemble du monde arabe, une guerre médiatique antijuive à laquelle contribue même la grande chanteuse Oum Keltoum…
Israël prévient l’attaque et en légitime défense détruit en quelques heures l’aviation égyptienne. Puis en une semaine défait les armées arabes d’Égypte, de Jordanie, et de Syrie.
En conséquence de quoi, Israël s’empare :
– du Sinaï, ce qui lui permet d’éloigner de ses frontières l’ennemi égyptien qui réarmé par l’URSS rumine sa vengeance.
– de la Bande de Gaza occupée depuis 1949 par l’Egypte.
– du Golan, plateau qui domine le Lac de Tibériade, et à partir duquel la Syrie tirait régulièrement sur les pêcheurs et les agriculteurs de la plaine…
– de la ‘’CisJordanie’’ (en fait la Judée-Samarie), de la partie Est de Jérusalem, ainsi que de la Vieille Ville où se trouve le le Kotel (dit ‘’Mur des Lamentations’’), dernier vestige juif du Mont du Temple, détruit par les Romains, puis réinvesti par les musulmans à partir du 7ème siècle.
– En 1980, la Knesset déclare Jérusalem réunifiée, ‘’Capitale une et indivisible d’Israël’’.
Israël propose à ses ennemis un Traité de Paix fixant définitivement les frontières. Réponse de la Ligue arabe réunie à Khartoum le 3 sept 1967 : ‘’Pas de paix avec Israël. Pas de reconnaissance d’Israël. Pas de négociations avec Israël’’. (Déclaration dite « des 3 NON »).
7 – La fameuse résolution n° 242…
Après 6 mois d’intenses luttes diplomatiques durant lesquelles l’URSS se fait le porte-parole de la cause arabe, l’ONU refuse malgré tout de forcer Israël à se retirer des territoires dont elle s’est emparée dans une guerre de légitime défense.
Adoptée le 22 novembre 1967, elle énonce précisément 2 chosespour Israël :
– « le droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues ».
– un retrait israélien de (certains) territoires (non précisés)
L’URSS et la France se battent pour la formule « from all the territories » (de tous les territoires), puis pour « from the territories » (des territoires) mais c’est finalement la formule « from territories »(de certains territoires) qui est adoptée.
Cette Résolution N° 242
ayant été l’objet de tant de tentatives de détournement,
il nous faut insister sur le fait que :
– c’est la version anglaise qui fait seule autorité : »withdraw from territories« .
– Proclamer le droit d’Israël à ‘’des frontières reconnues’’ signifient bien que de telles frontières n’existaient pas alors.
– les pays agresseurs dont Israël a conquis des territoires sont l’Egypte (Sinaï), la Syrie (Golan), et la Jordanie…. Et non la ‘’Palestine’’ ! Plus aucun territoire n’en porte même le nom depuis la fin du mandat britannique et l’annexion par la Jordanie de la ‘’Cisjordanie’’…
– Seuls ces 3 pays peuvent prétendre négocier un retrait israélien : c’est ce qui se passera avec l’Egypte. En dépit du fait que l’Egypte tente une nouvelle fois, en 1973, avec ses alliés arabes, de ‘’jeter les Juifs à la mer’’, Israël, en échange d’un Traité de Paix signé par Sadate en 1979 à Washington (Camp David) et qui fixe une frontière définitive, accepte de lui rétrocéder le Sinaï.
– Répétons-le, la Résolution 242 n’évoque que les pays belligérants (Egypte, Syrie, Jordanie et Israël). Les ‘’Palestiniens’’ n’y sont mentionnés nulle part.
(fin 1ère partie)
7 – Changement de la strategie arabe…
Apres les humiliantes défaites de 1967, puis de 1973 (guerre dite ‘’de Kippour’’, en raison de l’attaque-surprise des pays arabes environnants, le jour le plus sacré pour les Juifs) le monde arabe contraint de faire le deuil de son rêve de ‘’jeter les Juifs à la mer’’, opte pour une nouvelle stratégie élaborée à l’initiative de l’URSS : remplacer la cause arabe visant à faire disparaitre Israël, devenue illégitime, par‘’ la cause palestinienne’’, devenue ‘’mouvement de libération’’.
Créée par la Ligue arabe en 1964, l’OLP opte pour ‘’la lutte armée’’ et se donne pour but de reconquérir toute la ‘’Palestine historique’’, c’est-à-dire de faire… disparaitre Israël.
Sa stratégie terroriste, visant essentiellement les civils, devient aussi illégitime que le bellicisme du monde arabe par le passé… La Ligue arabe, toujours conseillée et soutenue par l’URSS, décide alors de déplacer le combat contre Israël, sur le front… diplomatique, sans toutefois mettre fin au harcèlement terroriste.
Option couronnée de succès au niveau de l’ONU, puisque le 22 novembre 1974 est reconnue « la nation palestinienne » (Résolution 3236), l’OLP en devenant ‘’membre observateur’’. .. et que ‘’la Palestine’’ y est admise comme ‘’Etat observateur’’ (résolution de l’AG ONU du 29 novembre 2012 sur le Statut de la Palestine (5A/RES/67/19). Mais sans affectation de territoires.
8 – Le grand tour de passe-passe Jordano-Palestinien !
A l’issue de la 1èreguerre arabe contre Israël de 1948 – 49, la TransJordanie accapare la Judée-Samarie qu’elle s’empresse de renommer ‘’West Bank’’ (‘’Cisjordanie’’ en français), ainsi que Jérusalem-Est et la Vieille ville. Il s’agit bien d’une ‘’occupation’’ mais elle est avalisée par l’ONU quelques années après.
A l’issue de la 2èmeguerre arabe contre Israël, en 1967, Israël reprend à la Jordanie ces 3 territoires, et a parfaitement le droit de les conserver : en vertu des lois de la guerre et de la légitime défense. Et plus encore, car ces 3 lieux représentent le centre historique du peuple juif. Pour Israël, il s’agit d’une libération.
Le 31 juillet 1988, la Jordanie renonce officiellement à sa souveraineté sur la CisJordanie.
Mais il s’agit là en fait d’une stratégie mis au point par la Ligue arabe devant permettre à l’OLP de se ‘’substituer’’ à la Jordanie. En déclarant le 15 novembre 1988 ‘’l’indépendance de la Palestine’’, l’OLP tente de s’approprier indûment les résolutions onusiennes qui concernaient les rapports entre la Jordanie et Israël : ce n’est plus la Jordanie, mais ‘’la Palestine’’ qui est ‘’occupée’’, et le tour est joué !
Sauf que depuis la fin du mandat britannique, il n y a plus eu de territoire qui se soit appelé ‘’Palestine’’… ! Et donc du point de vue du Droit international, Israël ne peut pas être accusée d’occupation… Selon le « Dictionnaire de droit international public » l’occupation vise « la présence de fait de forces militaires d’un État sur le territoire d’un autre État ». Or, la Jordanie a renoncé à sa souveraineté sur la CisJordanie, redevenue Judée-Samarie, suite à la défaite de l’agresseur jordanien.
Fort de ce droit, Israël autorise le retour de tous les Juifs qui avaient été expulsés de Jérusalem-Est et de la Vieille Ville, du Goush Etsion, et d’autres régions de Judée-Samarie.
Elle développe aussi des implantations (settlement, en anglais) qui jouent aussi le rôle d’avant-postes défensifs en cas de nouvelles attaques arabes, notamment dans l’endroit le plus stratégique de la Vallée du Jourdain, frontière naturelle entre la Jordanie et Israël.
9 – Les accord d’Oslo (1993 – 95)… et le refus palestinien
Depuis avant même la renaissance d’Israël en 1948, les dirigeants juifs se sont toujours prononcés pour des compromis territoriaux qui garantiraient la paix et des frontières définitives. C’est aussi avec cette intention qu’est entamé un processus qui à terme devrait mener à un Etat arabe palestinien.
Rejetés de tous les pays arabes qui les avaient accueillis, et où ils se comportaient en maîtres (Jordanie, Liban, Tunisie), craignant aussi que le mouvement populaire arabe en CisJordanie ne s’émancipe de leur tutelle et s’arrange directement avec Israël, les dirigeants de l’OLP acceptent de s’engager dans ce processus… certes toujours avec l’arrière-pensée de faire disparaitre à terme Israël… Processus nommé ‘’reconquête de toute la Palestine historique’’.
Dans un premier temps, Israël accorde à l’OLP de s’installer à Gaza et Jéricho et d’avoir une police. Les deux parties découpent la Judée-Samarie en 3 zones. Dans les zones A et B, sous contrôle palestinien se trouvent les villes, petites et grandes et l’essentiel de la population arabe. La zone C, densément peuplée de Juifs est sous contrôle israélien.
Les questions plus difficiles de Jérusalem, de frontières définitives, du retour des ‘’réfugiés’’ arabes, sont laissées à d’autres négociations qui auront lieu sous les auspices américains. Mais elles n’aboutiront jamais, Arafat puis Mahmoud Abbas refusant les propositions pourtant alléchantes des Premiers ministres israéliens Barak et Olmert. Sans parler de l’obligation pour eux de mettre fin au terrorisme, au trafic d’armes, et à la haine antijuive dans les Médias et dans l’Education…
10 – L’impasse
Alors qu’entre 1949 et 1967, l’Egypte et la Jordanie n’avaient jamais laissé les Arabes de Palestine s’administrer sur les territoires de Gaza et de ‘’CisJordanie’’, ce que contrairement à eux fit Israël à partir de 1995, ‘’le processus de paix’’ s’enraya, définitivement semble-t-il.
A l’irrédentisme des dirigeants de l’OLP, s’ajoutent un grand nombre d’autres facteurs :
– la puissance des Frères musulmans du Hamas, à Gaza mais aussi en CisJordanie, toujours hostiles à reconnaitre à Israël le droit d’exister, et qui de plus refusent la légitimité d’une ‘’Autorité palestinienne’’ qui effectivement faute d’élections, n’est plus légitime…
– la corruption généralisée de presque tous les dirigeants et des clans auxquels ils sont affiliés. Leur extrême division et l’inexistence d’une justice indépendante favorisant grandement la prédation… Mais expliquant aussi qu’aucun des clans ne veuille mettre fin à un système dont dépendent leurs richesses, ce système militaro-mafieux ne pouvant s’épanouir qu’avec la guerre…
– la faiblesse extrême d’une intelligentsia et d’un mouvement populaire qui seraient démocratiques et capables de s’opposer à la corruption et aux politiques aventurières fondées sur la promotion du terrorisme et d’une culture de la haine antijuive.
– face à une société civile quasi-inexistante, la toute-puissance des mouvements armés, en guerre civile larvée permanente, participe aussi de la prédation généralisée.
Ce sombre tableau qui certes ne distingue pas les Arabes de ‘’Palestine’’ du reste du monde arabe, à quoi s’ajoute l’éclatement de ‘’l’Autorité palestinienne’’, rend impossible la reprise du Processus d’Oslo, et même de tout autre type de négociations…
11 – Le plan Trump et ses opposants
Bien qu’il n’ait pas été vraiment rendu public, il semblerait d’après ce qu’il s’en dit, que tout en ayant la finalité de l’émergence d’un ‘’Etat palestinien’’, il ne ferait plus dépendre du bon non-vouloir des Arabes de Palestine la fixation d’une nouvelle souveraineté israélienne et de nouvelles frontières, lesquelles incluraient la Vallée du Jourdain, la zone C de CisJordanie en totalité ou en partie selon les négociations, Jérusalem une et indivisible. Les Arabes de CisJordanie (Zones A et B) et de Gaza pouvant se doter d’instances représentatives propres dès qu’ils y seront prêts.
Israël, n’étant guère prête à gérer l’existence des Arabes de CisJordanie et de Gaza, ceux-ci auraient à décider des formes de leurs existences (Etat, Cités-Etats, Emirats ?).
Mal connu encore du fait notamment du refus des Arabes de ‘’Palestine’’ d’en discuter avec son initiateur et plus encore avec Israël, le Plan Trump est déjà contesté par une Europe qui s’en tient au mantra habituel : tout ce qui va au-delà de la ligne verte, les frontières de 67, est territoire occupé par Israël !
Mantra partagé depuis deux décennies par l’ONU devenue, l’Organisation des Nations Non-Démocratiques, et la CPI (Cour Pénale Internationale).
Or comme nous le savons bien à présent :
– La ‘’ligne verte’’ était une ligne de l’arrêt des combats en 1949, et non une ‘’frontière’’ dont les Arabes jamais ne voulurent.
– Cette ligne de l’arrêt des combats en 1949 s’est modifiée en 1967 avec le résultat de la guerre voulue par l’Egypte, la Syrie et la Jordanie.
– Cette nouvelle ligne de 67, s’est à nouveau modifiée en 1979, avec la restitution du Sinaï à l’Egypte, puis en 1995 avec la mise en pratique de la 1ère étape des Accords d’Oslo entre Israël et l’OLP qui délimitent clairement 3 zones : A, B, et C.
– C’est cette nouvelle ‘’ligne’’ qui, faute de volonté arabe de négocier, deviendrait frontière dans le plan Trump, séparant définitivement Israéliens et Arabes de Palestine.
– En attendant, il n’y a de frontières acceptées qu’avec l’Egypte et la Jordanie, suite à des Traités de paix signés en 1979 et en 1994.
– Par conséquent, dire comme l’ONU le 6 mai 2004, que la Cisjordanie n’est autre que « les territoires palestiniens occupés depuis 1967 » (Résolution 59/292) est un pur mensonge historique ! Si la Jordanie n’avait pas renoncé à sa souveraineté sur la CisJordanie en 1988, tout au plus pourrait-on dire qu’Israël occupe (légalement) une partie de la Jordanie…
– Pareillement, lorsque le 30 avril 2020, la Procureure F.BENSOUDA de la CPI (Cour Pénale Internationale), qualifie Israël de « puissance occupante » et pour justifier cela affirme « que les lignes d’avant 67 ont fonctionné comme des frontières de facto », elle va à l’encontre de la réalité et du Droit international, ce qui est grave quand on occupe sa fonction.
12 – Israël et le droit international
Le ‘’Droit international’’ constamment invoqué par le parti pro-palestinien pour condamner Israël, est aujourd’hui piétiné par ceux-là mêmes qui sont censés l’appliquer.
Or à moins que l’on ne fasse dire au ‘’Droit international’’, par ignorance ou par malfaisance, le contraire de ce qu’il dit, Israël n’en déroge pas. Qu’on en juge :
La Déclaration sur les droits des peuples autochtones (adoptée par l’ONU le 13/09/2007). Elle donne droit aux terres habitées à tout peuple ‘’autochtone’’, ‘’premier’’ ou ‘’natif’’. Or le peuple juif avec ses 3500 ans d’histoire, attestée dans la Tora, qui est aussi une chronique nationale remise à jour quotidiennement par les découvertes archéologiques, est un des peuples les plus anciens de la terre, et certainement le plus ancien de cette région. A ce titre, comme l’énonce cette Déclaration, il ne saurait ‘’faire l’objet, dans l’exercice de ses droits, d’aucune forme de discrimination’’ (Art.2).
Déclaration Balfour (adoptée le 2/11/1917 par l’Angleterre, après avoir reçu l’aval des Français et des Américains) : « Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif… ». L’existence d’un peuple juif est attestée, et la Palestine est désignée comme son foyer, justement en vertu de ces 3500 ans d’histoire que les Anglais connaissaient parfaitement.
Conférence internationale de San Rémo (16-26/04/1920) – Réunie pour gérer la dislocation de l’Empire ottoman et préparer un Traité de Paix, elle attribue à la Grande-Bretagne le Mandat sur la Palestine, et la charge d’appliquer la Déclaration Balfour en reconnaissant les Juifs comme une nation méritant l’autodétermination dans sa patrie ancestrale.
· La Société des Nations (SdN, ancêtre de l’ONU) confirme la décision de San Rémo (24/07/1922) : Le Document du Mandat ratifié contient le texte intégral de la Déclaration Balfour. Pour la première fois, la communauté internationale reconnait « les liens historiques du peuple juif avec la Palestine et les raisons de la reconstitution de son foyer national en ce pays ».
Créée en 1945, l’ONU reprend à son compte les compétences de la Société des Nations concernant le « dossier de la Palestine » (Article 80 de sa charte), ce qui préserve les fondements des droits historiques et juridiques juifs établis à la Conférence de San Remo.
1949. Suite à sa victoire, Israël agrandit le territoire qui lui avait été proposé par le Plan de partage de l’ONU. Mais rien ne s’y oppose. Du fait que ce Plan ait été refusé par les Arabes, que ces derniers l’aient attaqué, et que de surcroit les territoires acquis n’aient été assujettis à aucune autre souveraineté.
1967. Suite à sa victoire contre 3 pays arabes qui visaient à la détruire, Israël conquiert plusieurs régions : le Sinaï et la Bande de Gaza, appartenant à l’Egypte, le Golan appartenant à la Syrie, et la ‘’CisJordanie’’ appartenant à la Jordanie. En état de légitime défense, Israël n’est pas tenu de rendre ces territoires, mais y consentira pour le Sinaï, en échange d’un Traité de Paix avec l’Egypte.
Toutes les résolutions de l’ONU sommant Israël de libérer ‘’des territoires occupés’’ deviennent caduques, à partir du moment où la Jordanie renonce (en 1998) à sa souveraineté sur la ‘’CisJordanie’’ et à fortiori quand elle signe avec Israël un Traité de Paix, en 1994.
Après les Accords d’Oslo signés par Israël et l’OLP, parler ‘’de territoires palestiniens occupés’’, est triplement malmener la vérité et le Droit international.
1) Il y a eu des ‘’territoires jordaniens occupés’’ par Israël (entre 1967 et 1988), mais jamais ‘’de territoires palestiniens occupés’’.
2) Contrairement aux pays arabes qui les avaient accaparés, c’est Israël qui a octroyé à l’OLP la Bande de Gaza et les zones les plus peuplées de CisJordanie (Zones A et B) : elles ne sont donc pas plus des ‘’territoires occupés’’ !
3) En vertu de ces mêmes Accords, Israël s’est vu accorder le contrôle d’une 3ème zone, dite ‘’C’’, aujourd’hui habitée essentiellement par des Juifs (Plus de 400 000 personnes). Mais où vivent et travaillent 70 000 Arabes, alors que les zones A et B, administrées par les Arabes sont interdites aux Juifs.
La Vallée du Jourdain, frontière naturelle avec la Jordanie, et la Zone C toutes deux peuplées essentiellement de Juifs, ne peuvent être ‘’annexées’’ puisqu’elles dépendent déjà des lois israéliennes. Tout au plus pourrait-on parler d’officialiser une extension de la souveraineté, comme le fit la Jordanie sur l’ensemble de la ‘’CisJordanie’’ en 1950, après s’en être emparée en 1949.
Etendre la souveraineté d’Israël ne serait en aucune façon violer le Droit international. Au contraire cette action le protègerait triplement. En effet :
– Par 3 fois, (1947-1949, 1967, 1973) les Juifs ont été attaqués par la Vallée du Jourdain. Contrôlée désormais par Israël, elle réalise le vœu exprimé par la Résolution 242 de l’ONU en 1967 d’avoir ‘’une frontière sûre’’. Et si l’on y ajoute l’autre ‘’ frontière sûre’’ du Sinaï avec l’Egypte, voilà que la Paix – objectif principal du Droit international – entre Arabes et Juifs, n’est plus tout à fait une chimère.
– A maintes reprises, Mahmoud Abbas a dit que dans tout nouvel Accord avec Israël, il refuserait qu’il y ait des Juifs en zone arabe, ce qui est déjà le cas des zones judenrein A et B, où les randonneurs juifs sont lynchés lorsqu’ils s’y égarent. Il est donc exclu qu’Israël lui livre cette zone C, essentiellement peuplée de Juifs. A vrai dire, les Arabes de la Zone C eux-mêmes, parfaitement au courant de la corruption et de la dictature régnant en Zones A et B, espèrent eux aussi ne jamais dépendre d’une administration ‘’palestinienne’’, même s’ils ne peuvent le clamer.
– Et pour ce qui est de Jérusalem, c’est à partir du moment où Israël l’a reconquise aux Jordaniens, que juifs, musulmans et chrétiens ont pu coexister, et que les lieux saints de chaque religion ont pu être respectés.
Israël à l’ONU…
L’ONU a été créée en 1945, après la victoire sur l’Allemagne nazie, et Israël en est devenu le 59ème membre, le 11 mai 1949. Chaque pays fait partie d’un groupe régional et seule cette appartenance lui donne le droit de pouvoir accéder au Conseil de Sécurité. Les pays arabes ont refusé d’admettre Israël dans ‘’le groupe asiatique’’.
L’ONU qui se voulait un rassemblement de nations démocratiques est vite devenue un Club largement dominé par des Nations non-démocratiques donnent leur vote automatiquement à toutes les Résolutions ‘’condamnant’’ Israël. Mais encore régie par une Charte adoptée au moment de sa création, l’ONU distingue Résolutions non-contraignantes et contraignantes.
Seules les résolutions prises en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies étant contraignantes pour tous les États membres de l’ONU, celles par exemple stipulant que le peuplement juif en Judée-Samarie est illégal, ne le sont pas.
Le Droit international ne se limite pas à exiger de chaque pays l’observance des Résolutions contraignantes de l’ONU. Il encourage aussi chaque pays à prendre toute initiative visant à renforcer des liens pacifiques avec ses voisins. De ce point de vue, Israël n’a rien aussi à se reprocher. Après chaque guerre, elle a été la seule à proposer des Traités de Paix. On a vu comment ils furent reçus. Malgré tout, sa persévérance a abouti, au moins avec l’Egypte et la Jordanie.
Il en a été de même vis-à-vis des Arabes de Palestine. Les Accords d’Oslo ont participé de cette volonté israélienne d’arriver à la Paix. Ils ont permis à l’OLP, dont tous les pays arabes ne voulaient plus sur leurs territoires, de s’installer dans la Bande Gaza, et sur une partie de la Judée-Samarie, avec l’espoir qu’en échange, ‘’l’Autorité palestinienne’’ ferait la preuve qu’elle veut tourner la page de la guerre aux Juifs.
Or force est de constater, que pour la très grande majorité des nombreuses organisations qui composent l’OLP, sans parler des dissidents, Hamas, et Djihad islamique, les Accords d’Oslo n’ont représenté qu’une bonne opportunité de faire entrer le loup dans la bergerie, qu’une étape vers le but ultime de ‘’reconquérir la Palestine historique’’ (on a vu que dans l’histoire, la Palestine n’a jamais existé en tant qu’Etat ou nation arabe), c’est-à-dire – toujours la même obsession – de ‘’jeter les Juifs à la mer’’.
Cette affirmation peut se vérifier en prenant connaissance du contenu (belliciste et haineux) des discours en arabe de dirigeants politiques et religieux, des livres scolaires (financés par des institutions internationales), et des médias ‘’palestiniens’’ (le travail colossal de traduction que réalise depuis 2 décennies le site PALWATCH en donne idée et nausée). Et plus encore, évidemment, par l’encouragement à la violence terroriste et au trafic d’armes.
Lorsque ‘’l’Autorité palestinienne’’ aura le désir et la force de mettre fin au bellicisme et au terrorisme, investira dans le rapprochement des sociétés civiles, et reconnaitra que le retour du peuple juif sur sa terre ancestrale n’était pas un caprice impérialiste, mais un droit, elle trouvera à n’en pas douter en Israël un partenaire disponible pour tous les types de coopération.
13 –L’hostilité mondiale à Israël
Alors qu’il y a plus d’une centaine de conflits territoriaux de par le monde, pourquoi le seul pays à être harcelé est Israël, pourtant légitimée tant par son histoire trimillénaire que par les Traités internationaux, notamment celui de San Remo, qu’il n’est donné à aucune instance de remettre en cause ?
Et au chapitre des ‘’occupations’’, pourquoi n’épingler qu’Israël, le seul pays non-coupable du point de vue du droit international, et non la Chine, la Russie, la Turquie, par exemple, qui eux en sont véritablement coupables (Tibet… Crimée… Chypre) ?
Si l’on peut comprendre la solidarité automatique des pays dont la nature antidémocratique de leurs régimes contredit la Charte de l’ONU et devrait en interdire la présence, comment expliquer que des nations démocratiques européennes, préfèrent se trouver plutôt du côté anti-israélien, c’est à dire du côté des dictatures ?
Comment expliquer cette politique de harcèlement qui ressemble étrangement à la guerre d’usure contre Israël, pratiquée durant 40 ans par le monde arabe, et poursuivie depuis par les Arabes de ‘’Palestine’’ ?
Comment se l’expliquer, sinon parce qu’Israël, depuis sa renaissance en 1948, est devenue le Juif / le Paria / des Nations, et que le monde n’en a pas fini encore avec ‘’ses penchants criminels’’, masqués lorsqu’il se veut ‘’démocratique’’…