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  • Propos extrêmement censés de Manuel Valls

    On savait que Manuel Valls prenait le contre-pied  du discours bien-pensant ayant trait au conflit israélo-palestinien. Mais de là à nous donner une leçon de réalpolitique, on ne s'y attendait pas. Se prononçant sur les événements récents au Moyen-Orient, l'ancien Premier ministre français a publié fin octobre une tribune inédite dans le Figaro, prônant notamment une totale révision de la politique étrangères française dans la région soumise au conflit. Voici ce qu'il y a déclaré en substance :

    "S’agissant du Moyen-Orient, la France doit adapter sa politique étrangère aux réalités nouvelles que chacun peut observer.

    (…) Le grand bénéficiaire de ces bouleversements est l’Iran qui a bâti un arc chiite et imposé des protectorats en Irak, en Syrie et au Liban. Les velléités nucléaires et la prolifération balistique du régime des mollahs s’imposent aujourd’hui comme la principale menace sécuritaire régionale, et au-delà. À ce titre, la levée de l’embargo sur les armes à destination de l’Iran doit tous nous inquiéter. Les lignes de front se multiplient et le conflit israélo-palestinien apparaît donc, malgré la guerre larvée entre Israël et le Hamas à Gaza, comme un contentieux local, de basse intensité.

    (…) Et la France, engagée courageusement dans la région contre l’État Islamique comme au Sahel, jouant de tout son poids politique au Liban pour aider le pays à sortir de la crise, démontrant la plus grande fermeté face à la Turquie, ne s’est pourtant pas défaite, sur la question israélo-palestinienne, d’une tradition diplomatique obsolète. Il est urgent d’en sortir. La formule visant « la création d’un État palestinien dans les frontières de 1967 avec Jérusalem comme capitale des deux États » est caduque. C’est une langue morte. Les accords d’Oslo et leurs conséquences, l’évolution des rapports de force, la nouvelle donne géopolitique rendent tout retour en arrière impossible. Par crainte d’une rupture avec le monde arabe et les Palestiniens, paralysée par les passions qu’agite ce conflit jusque dans notre pays, la diplomatie française s’est figée. Nous avons pourtant les atouts — la culture, l’histoire, la connaissance de la région, une relation de confiance établie avec les Palestiniens — pour proposer. Car la paix ne tient pas au succès d’un numéro d’équilibrisme, ce n’est pas non plus un arbitrage moral mais l’entrée consentie dans un nouveau paradigme.

    C’est pourquoi je crois que la France doit désormais reconnaître que Jérusalem est bien la capitale d’Israël. Depuis la déclaration de David Ben Gourion à la Knesset en 1949 jusqu’aux reconnaissances internationales aujourd’hui, ce mouvement est irréversible. La protection des lieux saints des trois grandes religions monothéistes doit bien entendu être garantie. Nous devons encourager la création d’un État palestinien. C’est aussi dans l’intérêt d’Israël et indispensable pour bâtir une paix durable. Mais encore faut-il dénoncer l’absence de processus démocratique et la corruption qui gangrènent l’Autorité palestinienne, mettre un terme à l’illusion du retour des réfugiés, exiger des dirigeants palestiniens la condamnation du terrorisme et de l’incitation à la haine, et leur conseiller de négocier avec les Israéliens sur de nouvelles bases territoriales. La diplomatie exige, aussi, du parler vrai.

    (…) Ce qui nous menace, ce contre quoi nous luttons, le terrorisme islamiste, n’a pas de frontières. Échappons à cet inconscient sans doute hérité de la colonisation qui nous conduit parfois au relativisme. Il nous faut de l’audace et de la clarté. Nous devons parler le même langage ici et là-bas. À Beyrouth, les Libanaises et les Libanais l’ont clamé dans la rue en prenant tous les risques. Sur la scène politique comme sur le terrain militaire, le Hezbollah, littéralement le « parti de Dieu », porteur d’une idéologie mortifère, antisémite, utilise la terreur comme seule arme. La France et l’Union européenne doivent désigner cet acteur pour ce qu’il est : une organisation terroriste."

    Puissent les propos extrêmement censés de Manuel Valls entrer dans les oreilles des dirigeants de l'Union Européenne.

    David Frenkel

    Extraits du discours choisis par : Shraga Blum,  Info LPH (https://lphinfo.com/manuel-valls-publie-un-article-choc-dans-le-figaro/)

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  • Un lapsus révélateur

     

    https://cdni.rt.com/french/images/2020.10/article/5f958d536f7ccc5b9c1a7891.jpg

    «Nous avons mis en place l’organisation de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l’histoire de la politique américaine», a lancé Joe Biden lors d'une interview. Cette phrase n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd, et pour cause. Dans une interview accordée le 24 octobre au média Crooked, voici ce que le candidat démocrate à l’élection présidentielle Joe Biden, la voix assurée, a dit textuellement : «Nous sommes dans une situation où nous avons mis en place – et vous l’avez fait pour notre administration, celle du président Obama, avant celle-ci – nous avons mis en place, je pense, l’organisation de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l’histoire de la politique. Voir l'adresse de la video : https://twitter.com/i/status/1320116661790380037

    A l'heure où la fraude électorale dans les États du Michigan, Pennsylvanie, Wisconsin, Nevada, Géorgie, États-clés pour l'élection présidentielle, est avérée, et contre lesquels Donald Trump vient d'entreprendre des poursuites, la phrase que Joe Biden a sûrement involontairement prononcée, vu sa sénilité, est donc hautement révélatrice. Par ailleurs, Judicial Watch a publié une étude comparative des statistiques démographiques du bureau des Statistiques et des données d’inscription des électeurs des États et a relevé des disparités notables dont je vous livre un large extrait1).

    Le groupe de surveillance met désormais en garde contre les fraudes potentielles et les listes électorales « sales ».

    L’étude a révélé que 352 comtés américains dans 29 États ont réussi à avoir 1,8 million d’électeurs inscrits de plus que les citoyens en âge de voter.

    « En d’autres termes, les taux d’inscription de ces comtés dépassaient 100 % des électeurs éligibles.

    L’étude a révélé que dans huit États, les taux d’inscription à l’échelle des États dépassaient 100 % : Alaska, Colorado, Maine, Maryland, Michigan, New Jersey, Rhode Island et Vermont », a rapporté Tom Fitton, président du groupe de surveillance de la vie gouvernementale.

    Et voici le dernier scoop : un lanceur d’alerte au sein de USPS (la Poste américaine) affirme que des dirigeants de la société sont impliqués dans la fraude électorale. Le bureau de l’Inspecteur Général pour l’USPS envisage une enquête sur ces affirmations relayées par le Projet Veritas2). MERCI DREUZ INFO.

    Aussi, vient de noter Dreuz info (aujourd'hui 6 novembre à 16h47), un des vrais scandales de cette élection que nous avons oublié de vous mentionner, dans le feu de l’action : la Pennsylvanie a décidé que les votes étaient valables pendant encore 14 jours après l’élection – et la Cour suprême de Pennsylvanie a déclaré que les tampons de la poste, voire les enveloppes sans tampons, ne seraient pas rejetés. C’est monté à la Cour suprême des États Unis, et toujours le même, le juge Roberts, a confirmé, donc 4 contre 4, et c’est reparti dans l’Etat. Cela n’est juridiquement pas terminé, mais pendant ce temps… les bulletins sont comptés. Officiellement, les bulletins postérieurs au 3 novembre sont séparés, mais comme ils ont interdit l’entrée aux observateurs Républicains, qui sait ce qu’ils vont vraiment faire ?

    David Frenkel

    1) https://gaceta.es/actualidad/la-denuncia-de-judicial-watch-sobre-el-fraude-en-eeuu-18-millones-de-votantes-fantasma-en-29-estados-20201105-1021/ (traduction française Dreuz Info)

    2) https://townhall.com/tipsheet/bethbaumann/2020/11/04/usps-whistleblower-in-michigan-claims-higher-ups-were-engaging-in-voter-fraud-n2579501

    «Nous avons mis en place l’organisation de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l’histoire de la politique américaine», a lancé Joe Biden lors d'une interview, suscitant nombre de réactions outrées, dont celle de Donald Trump.

    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/79999-gaffe-ou-lapsus-biden-fait-polemique-vantant-organiser-fraude-electorale
  • Et si l'on parlait des caricatures dessinées par les jusqu'au-boutistes musulmans...

    Parce que la France a osé caricaturer leur prophète, les islamistes radicalisés mettent actuellement l’Europe à feu et à sang. Mais eux, les musulmans de la branche dure, sont aussi en bonne posture. Nul d’entre eux n’est monté au créneau pour dénoncer les caricatures anti-juifs et le non respect des symboles de la religion juive :

    Voici la caricature qui a été distribuée par l’ONG Badil; cette organisation rejette l’existence d’Israël avec des mots et des images. En voici un échantillon :

    Le dessin qui suit exalte la judéophobie en caricaturant une menorah juive (mot hébreu désignant le chandelier à sept branches, objet du culte hébraïque) :

     

     

     

    Des fanatiques islamistes ont détruit avec fougue les synagogues que les juifs ont abandonné à Gaza  après le retrait d’Israël en 2005 :











     

    Pour les juifs, et selon la bible, le lieu le plus sacré sur terre est le mont où fut érigé par le roi Salomon le Temple. Des règles strictes et précises existent pour maintenir la sainteté du lieu. Les endroits que les gens sont autorisés à visiter, ce qu’ils sont autorisés à porter et ce qu’ils leur est permis de faire sont donc réglementés. Mais nombre de jeunes arabes y jouent au football, et cela sans soulever la moindre objection du Waqf, l’Autorité de Dotations Religieuses Islamiques.

     

    Pourtant, aucun rabbin dans aucune synagogue n'a incité quiconque à perpétrer des attentats contre des musulmans. Cherchez l'erreur...

    David Frenkel