Un lapsus révélateur
«Nous avons mis en place l’organisation de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l’histoire de la politique américaine», a lancé Joe Biden lors d'une interview. Cette phrase n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd, et pour cause. Dans une interview accordée le 24 octobre au média Crooked, voici ce que le candidat démocrate à l’élection présidentielle Joe Biden, la voix assurée, a dit textuellement : «Nous sommes dans une situation où nous avons mis en place – et vous l’avez fait pour notre administration, celle du président Obama, avant celle-ci – nous avons mis en place, je pense, l’organisation de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l’histoire de la politique. Voir l'adresse de la video : https://twitter.com/i/status/1320116661790380037
A l'heure où la fraude électorale dans les États du Michigan, Pennsylvanie, Wisconsin, Nevada, Géorgie, États-clés pour l'élection présidentielle, est avérée, et contre lesquels Donald Trump vient d'entreprendre des poursuites, la phrase que Joe Biden a sûrement involontairement prononcée, vu sa sénilité, est donc hautement révélatrice. Par ailleurs, Judicial Watch a publié une étude comparative des statistiques démographiques du bureau des Statistiques et des données d’inscription des électeurs des États et a relevé des disparités notables dont je vous livre un large extrait1).
Le groupe de surveillance met désormais en garde contre les fraudes potentielles et les listes électorales « sales ».
L’étude a révélé que 352 comtés américains dans 29 États ont réussi à avoir 1,8 million d’électeurs inscrits de plus que les citoyens en âge de voter.
« En d’autres termes, les taux d’inscription de ces comtés dépassaient 100 % des électeurs éligibles.
L’étude a révélé que dans huit États, les taux d’inscription à l’échelle des États dépassaient 100 % : Alaska, Colorado, Maine, Maryland, Michigan, New Jersey, Rhode Island et Vermont », a rapporté Tom Fitton, président du groupe de surveillance de la vie gouvernementale.
Et voici le dernier scoop : un lanceur d’alerte au sein de USPS (la Poste américaine) affirme que des dirigeants de la société sont impliqués dans la fraude électorale. Le bureau de l’Inspecteur Général pour l’USPS envisage une enquête sur ces affirmations relayées par le Projet Veritas2). MERCI DREUZ INFO.
Aussi, vient de noter Dreuz info (aujourd'hui 6 novembre à 16h47), un des vrais scandales de cette élection que nous avons oublié de vous mentionner, dans le feu de l’action : la Pennsylvanie a décidé que les votes étaient valables pendant encore 14 jours après l’élection – et la Cour suprême de Pennsylvanie a déclaré que les tampons de la poste, voire les enveloppes sans tampons, ne seraient pas rejetés. C’est monté à la Cour suprême des États Unis, et toujours le même, le juge Roberts, a confirmé, donc 4 contre 4, et c’est reparti dans l’Etat. Cela n’est juridiquement pas terminé, mais pendant ce temps… les bulletins sont comptés. Officiellement, les bulletins postérieurs au 3 novembre sont séparés, mais comme ils ont interdit l’entrée aux observateurs Républicains, qui sait ce qu’ils vont vraiment faire ?
David Frenkel
1) https://gaceta.es/actualidad/la-denuncia-de-judicial-watch-sobre-el-fraude-en-eeuu-18-millones-de-votantes-fantasma-en-29-estados-20201105-1021/ (traduction française Dreuz Info)
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/79999-gaffe-ou-lapsus-biden-fait-polemique-vantant-organiser-fraude-electorale