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UN PEU DE TOUT - Page 78

  • La gare, l'aéroport

    L’accolade foisonne

    Les doux baisers abondent

    Sur les quais d’une gare

    L’émotion s’abandonne

    Durant quelques secondes

    Aux fugitifs regards

     

    De la personne aimée

    Disparaissant très vite

    Dans un aéroport

    Dans ces lieux animés

    Les sentiments s’invitent

    Avant que s’évaporent

     

    L’allure d’un parent

    Le visage d’un ami

    Dans ces endroits aussi

    On fête les entrants

    Ceux revenant parmi

    Les habitants d’ici

     

    L’aéroport rassemble

    Toutes les retrouvailles

    Le hall des arrivées

    Forme le bel ensemble

    Des joies de toutes tailles

    Qui resteront gravées

     

    Dans l’air du bâtiment

    La gare réunit

    Les attentes comblées

    Les tendres sentiments

    Dans ces moments bénis

    Deviennent endiablés

     

    Les accolades vives

    Les baisers passionnés

    Sont les ferveurs intenses

    De ces endroits qui rivent

    Les tristes destinées

    Aux belles existences

    David Frenkel (publié aussi sur le site De Plume en Plume)

     

  • Au matin de la Saint-Valentin

    • Dans la plaine des peines solitaires,
    • L'amour plane au-dessus de mon cœur.
    •  
    • Les crins d'ébène de ta tête brillante
    • Chatouillent ma verve poétique,
    • Tant et tant de propos langoureux
    • S'agitent au fond de mon esprit malheureux.
    •  
    • Ton regard diamanté
    • Éclaire le tréfonds de mon insignifiance ;
    • Tant et tant de phrases vaines
    • Tourbillonnent autour de mon âme en peine.
    •  
    • Tes narines passionnées
    • Happent le parfum de ma triste mélopée ;
    • Tant et tant d'incantations suppliantes
    • Résonnent d'amours éperdus.
    •  
    • Tes lèvres de sang rosé
    • Se mordillent pour signifier ton refus ;
    • Tant et tant d'embrassades
    • S'égarent dans le mépris de ta moue.
    •  
    • Mais au matin de la Saint-Valentin
    • L'amante, la mâtine, me tend l'églantine.
    •  
    • Tes mamelons rose bonbon
    • Effleurent mon front ;
    • Tant et tant de pensées langoureuses
    • Se consolent sur ta poitrine fiévreuse.
    •  
    • Ta langue incarnadine
    • Caresse mon oreille ;
    • Tant et tant de mots vains
    • Te font crier d'amour enfin.
    •  
    • Sur ton nombril bouton de rose,
    • Ma bouche se pose ;
    • Tant et tant de prières
    • S'exhaussent d'un ventre adoré.
    •  
    • L'incarnat de l'amour
    • S'étend sur l'aube palote ;
    • Tant et tant de baisers
    • Se retrouvent sur tes lèvres.
    •  
    • David Frenkel
    • (publié aussi sur le site De Plume en Plume)

  • Jérusalem-Est, (partie de la cité du Roi David) serait palestinienne...

    ."Jérusalem-Est, partie palestinienne annexée par Israel", écrivez-vous, Monsieur Belliiard , journaliste, spécialiste du Moyen-Orient. Mais pouvez-vous me dire quand cette partie de la ville fut "Palestinienne" ?

    C'est la JORDANIE qui occupait cette partie de la ville de 1948 à 1967 après en avoir chassé tous les juifs et avoir brùlé  les synagogues qui s'y trouvaient !!!

    Israël a conquis cette partie de la ville après une guerre que la Jordanie lui a déclarée. l'Olp a été constituée qu'en 1962, alors que la Jordanie occupait encore Jérusalem-Est !!!

     Comment pouvez-vous Monsieur Belliard réécrire l'histoire d'un territoire situé  au Moyen-Orient ?
     
    Votre phrase "Jérusalem-Est, partie palestinienne annexée par Israël" est un cas d'école de fourvoiement journalistique et explique aussi le rejet  dimanche par le peuple suisse de  l'aide aux médias.
     
    David Frenkel

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