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  • Ce que certains ne nous disent pas

    Un des plus gros scandale est en train d'éclater. L'élection de Donald Trump lui aurait bien été volée. Puissent bon nombre de gens prendre conscience que nous vivons une époque sur laquelle les historiens se pencheront sans complaisance. Je lis déjà ce que bien des personnes se chargeront de me rétorquer : "Le site LesObservateurs.ch qui fait part de cette information est «complotiste»" Oui, en effet, c'est la doxa dont se servent ceux qui faute de pouvoir contredire un exposé factuel, contre-arguments à l'appui, naviguent dans le déni.

    David Frenkel

    Fraude électorale aux USA: la vérité perce

    Stéphane Montabert   Les Observateurs

    Stéphane Montabert

    Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens

     

    Article publié le 18.07.2021

    Cette semaine, Tucker Carlson a franchi le Rubicon.

    Le présentateur vedette de Fox News (première chaîne d'information aux États-Unis) a ainsi consacré dix minutes d'antennes lors de son émission de ce mercredi à la fraude électorale dans le comté de Fulton, en Géorgie, lors des élections présidentielles de 2020.

    La vidéo est aussi disponible sur Fox News, au cas où.

    L'étalage des faits est accablant:

    Dans le comté de Fulton, au moins 36 liasses de bulletins de vote par correspondance de l'élection de novembre ont été comptées à double. Cela représente plus de 4'000 votes. Le décompte final de ces bulletins que nous savons comptés à double se monte à plus de 3'300 votes pour Joe Biden et 865 pour Donald Trump.

    Mais là où le journaliste va plus loin, c'est qu'il montre - séquences vidéo à l'appui - que ces liasses de bulletins ont été comptées à double à la fois lors du décompte de l'élection et lors de l'audit qui a suivi. Le recomptage effectué à la main l'an dernier fut lui aussi "constellé d'erreurs de grande ampleur et de fraudes prouvables". Et il enfonce le clou:

    Nous ne parlons pas d'une paire de bulletins de vote égarés. Nous parlons de beaucoup de bulletins, au moins plusieurs centaines et potentiellement assez pour changer le résultat de l'élection présidentielle.

    Tucker Carlson reprend les informations fournies par une organisation apolitique et à but non lucratif, VotersGA, concentrée sur l'intégrité du vote. L'association a obtenu les vidéos de surveillance et les scans d'analyse de bulletins. L'accès à ces données n'a pas été de tout repos ; il a fallu recourir à l'injonction d'un tribunal pour que les autorités du comté se plient aux exigences de transparence formulées par les demandeurs.

    L'équipe de VotersGA trouva également que sept feuilles de décompte de résultats (pdf) furent falsifiées pour donner des totaux sans rapport avec les bulletins sous-jacents. Par exemple, une liasse contenant 59 bulletins Pour Biden et 42 pour le président sortant Trump fut décomptée comme 100 votes pour Biden et zéro pour Trump.

    Sur l'échantillon examiné, 923 des 1'539 bulletins de vote par correspondance, soit 60% du total, n'ont pas été attribués correctement dans les résultats officiels de l'élection 2020. De plus, on s'étonne de l'absence de marque de pliage sur un très grand nombre de bulletins par correspondance, qui sont de grand format aux États-Unis, et devraient normalement avoir été pliés pour être insérés dans l'enveloppe officielle de vote...

    Garland Favorito, cofondateur et président de l'association VotersGA depuis quinze ans, a affirmé dans une conférence de presse le 13 juillet que les responsables de l'élection du Comté de Fulton avaient connaissance de ces divergences "depuis bien, bien longtemps" et les accuse d'avoir "tout fait pour essayer de les camoufler."

    Joe Biden commenta le 13 juillet que les résultats dans le comté de Fulton "avaient été comptés trois fois", mais des recomptages qui perpétuent les manipulations effectuées lors du premier décompte ne servent à rien d'autre qu'à endormir l'opinion publique ; certainement pas à découvrir la vérité. Le terme "d'audit" abusivement employé par de mauvais journalistes est tout aussi mensonger. Un audit est tout à fait différent d'un simple recomptage, et pour cause. Un texte de BlackBoxVoting de 2016, loin de la polémique actuelle, permet de réaliser toute la différence entre un véritable audit et un faux qui ne sert au mieux qu'à donner le change, et au pire à couvrir des manipulations.

    Un audit est holistique, c'est-à-dire qu'il implique des vérifications croisées de l'information depuis plusieurs sources de documents.

    Des divergences détectées déclenchent une expansion sans restriction de l'audit.

    L'entité auditée n'a pas les moyens de contraindre l'audit. Il n'est pas possible par exemple de le restreindre à seulement une quantité ou un type de bulletins, ou de définir des limites que l'audit ne peut pas atteindre si les recherches l'amènent dans cette direction.

    Un audit correctement réalisé implique une sélection basée sur des indices, des signaux d'alertes mais aussi des échantillons sélectionnés de façon aléatoire.

    Un véritable audit, comme ci-dessus, est en cours en Arizona dans le Comté de Maricopa. Il dure depuis des mois et ses conclusions sont proches ; j'aborderai évidemment le sujet ici même.

    Rien de tout ceci n'étonnera les lecteurs de ce blog ; mais la nouveauté est dans la diffusion de l'information dans la sphère publique. Si quelques séquences de Fox News avaient donné la parole à des avocats évoquant des fraudes dans les mois de novembre et décembre 2020, il s'agissait d'une information de second ordre dans les actualités du matin, par exemple. Ici, l'émission vedette de Tucker Carlson est le phare de la chaîne - elle est vue en moyenne par trois millions de foyers américains.

    Nul doute que ce reportage avec extraits vidéo à l'appui pourra faire bouger quelques lignes, et peut-être fracturer la muraille du narrative d'une "élection présidentielle 2020 parfaitement intègre" érigée depuis des mois par les médias de masse, appuyés par la censure de Google, Facebook et Twitter.

    Quiconque prétend respecter la démocratie doit reconnaître qu'il se passe des choses anormales rien que dans le Comté de Fulton en Géorgie, et chercher à connaître la vérité.

    À la fin de sa séquence, Tucker conclut:

    "Pourquoi sommes-nous d'accord avec [toutes ces fraudes]? Nous le sommes parce qu'on nous a raconté que nous devions l'être. Sinon, nous serions en train de "miner la démocratie" avec nos questions sur ce qui s'est passé lors des élections de 2020. Et bien entendu c'est une parfaite inversion de la vérité.
    Sans réponses à ces questions légitimes, comme à celles que nous avons sous les yeux, la démocratie meurt. Les gens commencent à comprendre que le système dans lequel on leur a demandé d'avoir confiance est en fait biaisé. Et quand ils le comprennent, Dieu sait ce qu'il peut advenir.
    Alors, cherchons à comprendre ce qui s'est passé. Cherchons immédiatement et cherchons sans honte aucune. C'est notre droit de savoir, et notre responsabilité."

    Des mots auxquels penseront beaucoup de citoyens dans tous les états gagnés par Joe Biden avec une marge très faible - l'Arizona, la Géorgie, le Michigan, le Nevada, la Pennsylvanie et le Wisconsin - et après une surprenante suspension du décompte pendant parfois plusieurs jours. Un arrêt coordonné et toujours inexpliqué à cette date.

    Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 17 juillet 2021

     

  • Le manque de courage de Guy Parmelin

    Des experts et commentateurs iraniens des droits de l’homme ont exprimé le 5 juillet dernier, leur indignation face à Guy Parmelin, Président de la Confédération  suisse, pour avoir adressé un message de félicitations au président nouvellement élu de la République islamique d’Iran, Ebrahim Raisi, un religieux révolutionnaire accusé de meurtre de masse. Mariam Memarsadeghi, irano-américaine et chercheuse principale à l’Institut Macdonald-Laurier, a déclaré au journal Le poste de Jérusalem que « féliciter Raisi le boucher d’avoir "gagné" une fausse élection boycottée par le peuple iranien est non seulement une insulte aux millions de personnes qui ont été touchées par sa cruelle torture et ses exécutions, mais aussi une insulte aux valeurs les plus fondamentales de tous pays démocratique », tout en précisant que la tradition de neutralité politique de la Suisse ne devrait pas signifier qu’elle succombe à la légitimation des dirigeants malfaisants d’un régime maléfique.

    L’ancien envoyé spécial des États-Unis pour la surveillance et la lutte contre l’antisémitisme, Elan Carr, a déclaré que l’Iran est « le premier marchand d’antisémitisme au monde » et que l’antisémitisme n’est pas accessoire à l’idéologie de la République islamique d’Iran, mais est un élément fondamental et central de l’idéologie de ce régime, et nous devons être clairs à ce sujet, et devons l’affronter et l’appeler pour ce qu’il est.

    Le directeur général de la Ligue anti-diffamation, Jonathan Greenblatt,a écrit dans Newsweek fin juin que Raisi a joué un rôle actif dans la promotion des Protocoles des Sages de Sion dans le cadre d’une campagne soutenue pour diaboliser et délégitimer le peuple juif.  Rappelons que ce texte était un faux diffusé au 19ème siècle par les services de renseignement russes… conçu pour faire des Juifs les boucs émissaires des difficultés de l’empire.

    Un des journalistes travaillant pour Le Post, site français d'actualité, a demandé à Markus Spoerndli, porte-parole de Guy Parmelin, de transmettre à celui-ci les questions sur la négation de l’Holocauste, l’antisémitisme et le terrorisme du régime iranien. Ce dernier refusa de répondre. Le chancelier autrichien Sebastian Kurz, lui, a eu le courage et l’intégrité de dénoncer directement et personnellement la négation de l’Holocauste par ledit régime lors d’une conférence presse conjointe avec le président iranien Hassan Rouhani tenue à Vienne.

    La mollesse du Président Guy Parmelin marquera pour longtemps la vie diplomatique suisse.

    David Frenkel
    Source :  I24News et CQVC.online

     

  • Un emplâtre sur une jambe de bois

    Alors que la Commission Européenne a dévoilé les mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, je m’étonne que ladite Commission n’ait pris aucune mesure pour lutter contre la pollution du numérique. Annuellement, celle-ci contribue pour 4 % aux émissions de gaz à effet de serre, soit une fois et demi de plus que l’aviation civile, voir le récent livre de Inès Leonarduzzi , intitulé "Réparer le futur". Par ailleurs, l’auteure nous apprend encore que  des centaines de milliers de litres d'eau abreuvent chaque années les centres informatiques. A ce rythme, le monde ne va pas tarder à être confronter à la crise de l’eau !

    Aussi, une étude publiée dans le journal of Cleaner Production estime que les télécommunications représenteront 14% des rejets mondiaux de gaz à effet de serre en 2040.

    En outre, non seulement la fabrication d’un smartphone contribue largement à l’épuisement des ressources en matières premières, mais elle multiplie également les rejets toxiques ainsi que les émissions à effet de serre 1).

    Je terminerais en signalant que si le courriel est une façon rapide de communiquer, et est de plus en plus démocratisé, son utilisation n’est pas sans conséquence pour l’environnement. S’il est accompagné d’une pièce jointe d’1 Mo, un mail émet 19 g de Co2. Cet impact pris individuellement est faible mais quand on sait que 34 millions courriels sont envoyés toutes les heures sans compter les spams, les conséquences deviennent importantes 2). Cela correspondrait à l’équivalent de 14 tonnes de pétrole. Envoyer 20 courriels par jour pollue autant que que parcourir 100 km en voiture.

    En conséquence, se donner bonne conscience comme le fait la Commission Européenne en prenant des dispositions qui ne sont en définitive qu'un emplâtre sur une jambe de bois, dénote la malhonnêteté de chacun d’entre nous. Faute d’être prêt à sacrifier tant soit peu sont bien être pour le bien de l’humanité, nous faisons l’autruche devant la pollution numérique qui risque d’engloutir la vie des futures générations. A quand, par exemple, un jour de repos hebdomadaire pour les utilisateurs d’internet ?

    David Frenkel

    1) (voir https://www.mtaterre.fr/dossiers/le-smartphone-pas-si-smart-pour-lenvironnement/quels-sont-les-impacts-dun-smartphone)

    2) https://cleanfox.io/blog/foxyactus-fr/chiffres-effrayants-pollution-digitale