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  • Il arrive un jour où il faut assumer le refus d'offres généreuses

    Tout homme étant au courant de l'Histoire se rend compte que depuis la naissance d’Israël, tous les pourparlers de paix avec les arabes, mis à par l’Egypte et la Jordanie, ont abouti à l’échec. Et cela, non pas à cause de territoires disputés, mais à cause du refus d'avoir un État juif à  leurs côtés. C'est aussi dans cette ligne de pensées que s'inscrit le rejet par sept fois de la constitution d’un état palestinien sur des territoires bien définis.

    - En 1917, la Déclaration Balfour a non seulement créé une patrie juive, mais a également exigé que rien ne soit fait pour porter préjudice ou perturber les communautés arabes sortantes. Mais en réponse, elles ont déclenché l’émeute de Nebi Musa en avril 1920. Des arabes palestiniens des villes aux alentours ont ensuite afflué en masse et ont fomenté un pogrom contre les Juifs de Jérusalem.

    - En 1937, la Commission Peel, sous la direction de Chaim Weizmann, a fait pression en faveur d’une solution à deux États. Les Juifs se sont vus offrir un petit territoire sur la côte, de Tel-Aviv au nord, représentant environ un cinquième d'un territoire sous mandat britannique. Les Arabes palestiniens, eux, ont reçu la proposition, de constituer leur propre État sur les quatre cinquièmes restants. Au lieu de saisir cette occasion, ils se sont alors livrés à un massacre sur les juifs.

    - En mai 1948, l’ONU a recommandé un plan de partage à l’Assemblée générale et la création de deux États : un pour les juifs, un pour les Arabes. Contrairement à ces derniers, les dirigeants de l’Agence juive ont accepté le plan onusien. Peu après la création de l’État d’Israël, cinq armées arabes ont attaqué celui-ci aux cris de : « Jetons les juifs à la mer ».

    - En 1993 lors des Accords d’Oslo, Arafat reconnaissant le droit à Israël d’exister, celui-ci s’est vu offrir tout ce qu’il désirait. Toutefois, au dernier moment, Arafat a refusé de signer.

    - En 2000 à Camp David, Ehud Barak était d'accord qu’un État palestinien s’établisse en Judée Samarie et à Gaza avec Jérusalem-Est comme capitale palestinienne. Mais Arafat a refusé un accord qui ne comprenait pas le droit au retour de près de plus de quatre millions de réfugiés palestiniens (dont la définition de réfugié couvre également les descendants des arabes palestiniens qui le sont devenus en 1948) qui aurait signifié la fin de l’État juif.

    - En 2005, Ariel Sharon a pris la décision de quitter unilatéralement Gaza. Tous les juifs qui y résidaient ont été évacués de force par Tsahal. Deux ans plus tard, le Hamas y a pris le pouvoir. Au lieu d’y établir un État Palestinien, et obnubilé par une charte qui prône l’annihilation d’Israël, le Hamas profite pour y creuser des tunnels d'attaque et y tirer des roquettes, visant l’État hébreu.

    - En septembre 2008, Ehud Olmert a offert grosso modo au président Abou Mazen un État palestinien sur les frontieres d’avant 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale, mais ce dernier n’a jamais répondu officiellement à cette proposition.

    On ne voit guère dans l’Histoire que ceux qui ont été battus aient l’impertinence de dicter leur volonté à ceux qui sont sortis vainqueur d’une guerre qu'ils ont initiée. De plus, Israël doit faire face à deux groupements bien distincts qui ne s’entendent guère entre eux. L’un, le Hamas qui désire régner sur toute l’ancienne Palestine de religion hébraïque, et l’autre, l’Autorité palestinienne qui malgré l’engagement formel d’abroger tous les articles de la Charte palestinienne qui nient à l’État d’Israël le droit d’exister, ne les a toujours pas abrogés1).

    Alors, pourquoi dans ces conditions, l’ONU ne soutiendrait-elle pas le plan pour le règlement d'un conflit, qui dure depuis des lustres, que le président américain Donald Trump présentera prochainement. Et pour quelles raisons les pays férus de paix ne l’imposeraient-ils pas en menaçant en cas de refus par l’Autorité palestinienne dudit plan de lui couper l’aide financière généreusement octroyée, et en menaçant de sanctions économiques les régimes qui continueraient de soutenir financièrement le Hamas contrôlant Gaza, car il s'évertue à vouloir éradiquer Israël, et cela au détriment du bien-être de la population gazaouie.

    Il arrive un jour où l’on doit assumer le refus d’offres généreuses qui ont été faites, surtout quand on fait partie du clan des perdants.

    1)(https://av3.agoravox.net/actualites/international/articale/la-charte-palestinienne-est-7217

  • Que les imams modérés se fassent entendre !

    Qu’est-ce le radicalisme ? Selon une des définitions du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL), c’est une attitude qui refuse tout compromis en allant jusqu'au bout de la logique de ses convictions. Le radicalisme appliqué à l’islam se définit donc par la volonté de vouloir imposer sa religion à autrui. Certes, et comme dans toutes les religions, l’islam est sujet à interprétations et à critiques. Il y a ceux qui prennent à la lettre le Coran, et il y en d’autres qui ne puisent de ce Livre que les prescriptions ayant trait à l’individu lui-même, mais non aux prescriptions qui empiètent sur le bien-être et sur la liberté d’autrui. Nombre de pays musulmans font partie de cette dernière. Malheureusement, certains imams, et certain régimes moyen-orientaux ont une lecture radicale des textes coraniques, et représentent un danger notoire. Les attentats de par le monde sont encouragés par eux. Une femme à la tenue légère, un juif ou un chrétien portant des signes religieux ostentatoires s'aventurant  dans certains quartiers des villes européennes s’y feraient agresser . Et si l’Iran, encourageant le terrorisme1), arrivait par malheur à mettre les pays occidentaux à ses pieds, nous serions sous le joug de la charia. On ne peut que regretter que les musulmans qui ont une lecture modéré du Coran ne prennent guère la parole dans les médias et en public pour condamner haut et fort les attentats perpétré au nom d'un islam radical ; comme on peut regretter que les pays islamiques non théocratiques ne dénoncent officiellement les Etats ayant une vision intolérante de l'islam.

    1) https://www.ouest-france.fr/terrorisme/un-projet-d-attentat-londres-soutenu-par-l-iran-aurait-ete-garde-secret-par-le-gouvernement-6390645 et https://www.lexpress.fr/actualite/monde/le-danemark-dejoue-un-attentat-et-accuse-l-iran_2045465.html

  • La France occupée

    Le magazine en ligne Valeurs Actuelles nous a rapporté dimanche passé qu’à la demande de Christophe Castaner, exprimée après l’attentat de Villejuif. un rapport de la Direction générale de la Sécurité Intérieure DGSI, service spécialisé de renseignements français, vient d’être établi. Le rapport classé secret-défense, donne une représentation détaillée des territoires situées en France métropolitaine qui sont sous dominance musulmane. A ce propos, je cite Ivan Rioufol qui dans son dernier livre « Les Traîtres » paru aux éditions Pierre-Guillaume de Roux, affirme que « A la source du malheur français, il y a des traîtres français qui portent des prénoms français ». Et dans une interview donné à Breizh-info.com il se fait l’auteur de ces affirmations chocs : Les traîtres sont ceux qui, depuis quarante ans et plus, ont abandonné la France aux minorités, aux communautés et à l’islam conquérant, tout en prétendant servir et défendre le pays. Si j’avais voulu donner des noms, il m’aurait fallu un épais annuaire ! Quand Jacques Chirac se confie en avouant : «  Je n’ai jamais été de droite ! », certains pouvaient s’en douter. Il n’empêche qu’il assume sa trahison auprès de ceux qui s’étaient convaincus de ses convictions de droite.

    Emmanuel Macron en proclamant après l’attentat de la préfecture de police d’octobre dernier que la lutte contre le communautarisme était essentiel,  n’a pourtant à ce jour encore concrètement rien entrepris pour lutter contre ce fléau. Pourtant ses influences ne cessent de se multiplier dans l’éducation, le sport ou la santé. Le Président français est dangereusement pris en tenaille entre le « vivre ensemble » prôné à tout va, et l’islamisme dans la France d’en bas.