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UN PEU DE TOUT - Page 266

  • La vanité et l'irresponsabilité du régime iranien

    Alors que le porte-parole du ministère de la Santé iranien annonce: qu’il y a dans le pays un mort toutes les 10 minutes et que 50 Iraniens sont infectés toutes les heures, voilà que le ministre de la Défense iranien, le général de brigade Amir Khatami, déclare que la mise au point de technologies militaires avancées et modernes est au premier rang des préoccupations de la prochaine année iranienne. Par ailleurs, S’exprimant en février dernier le chef de la révolution, l’ayatollah Ali Khamenei, a souligné la nécessité de renforcer la puissance militaire du pays pour empêcher la guerre et les menaces contre celui-ci. Or, Nul n'a proféré des menaces contre le pays, alors que l'Iran, lui, non seulement n'a de cesse de le faire (contre Israël notamment), mais s'implante à travers des milices pro-iraniennes dans certains pays moyen orientaux, comme la Syrie, le Liban et le Yémen.

    Je laisse donc le soin à quiconque de juger de la criminalité d’un régime gouverné par les mollahs. Selon le CNRI (le Conseil national de la résistance iranienne basé à Paris), l’Iran est en train de devenir le foyer planétaire du coronavirus. Et permettez-moi d'ajouter que l’envergure de l'expansion dudit virus y provoque un taux létal encore jamais atteint. Si aucune mesure drastique n’est prise par le régime, des centaines de milliers d’iraniens seront sacrifiés sur l’autel de l’incompétence des fous islamiques, minés par la corruption et par la volonté de domination régionale.

    Si le régime communiste chinois doit être montré du doigt pour sa responsabilité dans la propagation du coronavirus, comment qualifier les criminels despotiques d’un régime sournois ? Et dire que bien des pays occidentaux lui font encore des yeux doux...

    David Frenkel

     

     

     

     

  • Que certaines et certains s'en souviennent

  • Être gouverné par les élus du peuple dans la nuit éternelle ?

    Le Conseil d’État a annoncé avant-hier matin que le second tour des élections municipales aura bien lieu le 5 avril. Et cela malgré les mesures de semi-confinement liées à l’épidémie de coronavirus, il faudra aller voter.

    On ne peut qu’être outré par une telle mesure. En effet, alors que les écoles ferment, que les commerces, à l’exception de l’alimentation, sont bouclés, que les bistrots doivent cesser leurs activités, etc, etc, voilà que le Conseil d’État enfreint les règles sanitaires les plus strictes au motif, dixit Céline Amaudruz, présidente de l’UDC Genève, que l’on ne sait pas combien de temps cela va durer. Alors que doivent dire ceux dont l’interdiction de fournir leurs services à la population occasionne des manques à gagner considérables ? Savent-ils, eux, combien de temps cela va durer ?  Là où l’on interdit tout rassemblement de personnes afin d’annihiler les risques de contamination, on autorise contre toute logique que des personnes infectées puissent par hasard transmettre un virus dans un local de vote ! C’est comme si on leur disait "Ne faites pas défection à cause du risque d’infection, allez voter, même si votre vie devait vous être ôtée" Pourtant, je ne pense pas, que ceux qui mourraient avaient l’intention d’être gouverné par les élus du peuple dans la nuit éternelle !