Le refus de la presse et de nombreux groupement de défense des droits de l’homme de vouloir reconnaître les contributions d’Israël dans les domaines de l’innovation scientifique, de la technologie médicale et des sciences en général, dénote une ligne directrice : ne pas informer le public de tout ce qui pourrait renforcer auprès de lui le prestige d’Israël.

En revanche, que d’allégations diffamatoires n’a-t-on pas lu ou entendu sur la soi-disant précaution israélienne de vouloir vacciner les citoyens arabes israéliens. Or, non seulement Israël les a vacciné dés l’obtention des vaccins, mais encore a-t-il mobilisé nombre de personnes afin de vaincre les réticences à la vaccination de la communauté arabe. En signe d'encouragement, le Premier ministre Netanyahu s'est lui-même déplacé dans deux villages arabes.

Il convient de savoir que selon les accords d’Oslo, accords qui ont donné naissance à l’Autorité palestinienne, le secteur de la santé est du ressort de celle-ci. Pourtant, et alors que 150 membres reconnaissent officiellement l’État de Palestine, les médias, eux, et les associations des droits humains ne le reconnaissent pas, et pourfendent Israël pour son racisme à ne pas vouloir vacciner ceux qui sont sous la gouvernance de l'Autorité palestinienne (voir https://infoequitable.org/vaccination-anti-covid-19-vaste-campagne-mediatique-contre-israel/).

Lorsqu'une calamité se produit quelque part dans le monde, l’État hébreu est l'un des premiers à porter secours aux sinistrés. Ces 15 dernières années, des missions de secours de Tsahal ont été déployées en Albanie, au Brésil, au Mexique, au Népal, aux Philippines, au Ghana, en Bulgarie, en Turquie, au Japon, en Colombie, en Haïti, au Kenya, aux États-Unis, au Sri Lanka et en Égypte - et dans bien d'autres pays encore, les années précédentes. De 2016 à 2018, dans le cadre de l'opération "Bon voisin", Tsahal a monté des hôpitaux de campagne à la frontière syrienne pour soigner les victimes civiles de la guerre et envoyer des fournitures vitales en Syrie, une nation pourtant en guerre avec Israël. Et pas plus tard que le mois dernier, les forces de défenses israéliennes ont envoyé une équipe au Honduras peu après que ce pays eut été dévasté par un ouragan. Une telle action produite par d'autres pays serait médiatiquement mise en avant. Mais La haine médiatique envers l’État juif est si flagrante que cette action a été passée sous silence par les médias mainstream.

De plus, cette nouvelle video de Nicky Blackburn, directrice et rédactrice en chef d'Israël 21, un magazine américain en ligne, présente Adam et Rinad résidents gazaouis recevant comme des centaines d'autres personnes une chirurgie vitale gratuite des médecins de "Save a child Heart" du centre médical israélien Wolfson (https://youtu.be/zx-jUUYFkf4) 1)

Seule la presse mentionne-t-elle Israël quand elle a l'occasion de ressortir le poncif éculé sur la soit-disant occupation israélienne de territoires acquis lors de guerres défensives contre les armées jordaniennes et syriennes ou quand Israël construit en zone C de la Judée Samarie, une région, qui selon les accords d'Oslo sont sous son administration. C'est comme pour la politique américaine. Les accomplissements de Trump2), les fraudes électorales US3) et l'assaut des Antifas contre le Capitole 4), bref, tout ce qui pourrait servir à prendre connaissance d'une réalité, allant à contre courant des clichés douteux véhiculés, est occulté dans un but tendancieux et à connotation haineuse. Pour terminer, j'ajouterais : tristes gens, pour qui la factualité est synonyme d’extrémisme.

David Frenkel

1) Article original sur RakBeIsrael : https://rakbeisrael.buzz/malgre-lepidemie-de-covid-israel-continue-de-sauver-la-vie-des-enfants-de-gaza/

2) https://www.dreuz.info/2021/01/17/le-bilan-exceptionnel-du-premier-mandat-du-president-trump/

3)https://www.theepochtimes.com/texas-woman-who-bragged-about-ballot-harvesting-arrested-for-fraud_3655395.html?utm_source=morningbrief&utm_medium=email&utm_campaign=mb-2021-01-13

4) Pendant que les démocrates tentent une nouvelle destitution, les preuves irréfutables que Trump n’a pas incité à la violence au Capitole sont dévoilées. L’un des leaders des Antifa et BLM arrêté pour avoir incité à l’émeute https://www.europe-israel.org/2021/01/pendant-que-les-democrates-tentent-une-nouvelle-destitution-les-preuves-irrefutables-que-trump-na-pas-incite-a-la-violence-au-capitole-sont-devoilees-lun-des-leaders-des-antifa-et-blm-arr/ et https://youtu.be/0rWtevr6_so

Je lis dans l’article de l’AFP intitulé « Proche-Orient Premières élections en Palestine depuis 2005 » et publié hier dans maints journaux : ...Il n’était pas clair dans l’immédiat si Israël, qui occupe et a annexé Jérusalem-Est, secteur palestinien de la ville, autorisera les habitants de ce secteur à voter à ces élections…

l’AFP plonge en plein dans le délire fantasmatique. La première évocation de Jérusalem remonte à 1900 ans avant notre ère dans des textes égyptiens. La ville a été tour à tour sous domination égyptienne, israélite, judaïque, babylonienne, perse, hellénistique, lagide, hasmonéenne, romaine, byzantine, arabe, ottomane et britannique. En 1948, et durant dix-neuf ans,  Jérusalem-Est est sous la domination jordanienne, puis à partir de 1967, à la suite de l’agression de la Jordanie, la partie Est de la ville sainte passe sous la tutelle israélienne.

Alors, je demande aux rédacteurs de l’AFP, quand est-ce que le secteur de Jérusalem-Est était-il palestinien ? Et rappelons-leur que la Palestine n’avait alors jamais existé en tant qu’État, mais uniquement en tant que lieu géographique dont le nom "Palestine" fut donné par l'empereur romain Hadrien qui, désireux de punir les Juifs de leur révolte en 132-135 ap J.C. nomma toute cette région Palestine, du nom de leur ennemi juré, les Philistins, et dont dérive le mot « palestinien. Actuellement, l’État de Palestine qui a été reconnu officiellement par l'ONU que le 15 décembre 1988, n'a pas de frontières encore définies, car les négociations avec Israël concernant les territoires revendiqués, par l'Autorité palestinienne, et qui ne peuvent être matériellement occupés, n'ont pas encore abouti.

Écrire, comme le fait l'AFP, qu’Israël occupe et a annexé Jérusalem-Est secteur palestinien de la ville, revient à sous entendre que la Jordanie qui occupait ce secteur jusqu’en 1967 était déjà un État palestinien. Le simple quidam pourrait alors se demander : pourquoi vouloir en créer encore un ?

Journalistes, sachez que vous êtes responsables des maux que peuvent engendrer vos mots !

David Frenkel