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  • L'attentat écologique perpétré par le régime des mollahs

    Non content de soutenir les groupes terroristes tout autour du monde, l'Iran s’en prend maintenant à l’écologie israélienne. Mi-février, des vents puissants et des vagues inhabituellement hautes avaient secoué les côtes israéliennes entraînant le déversement de tonnes de goudron sur les plages, depuis la région de Rosh Hanikra, dans le nord d’Israël, près du Liban, jusqu’à Ashkelon, dans le Sud, à la limite de  Gaza. Selon le ministère de l’Environnement, des «dizaines à des centaines de tonnes» de bitume ont été déversées, ce qui a constitué l’une des plus importantes marées noires sur le littoral méditerranéen israélien. L’Iran a intentionnellement pollué la mer Méditerranée et les côtes israéliennes dans un acte de terrorisme écologique, provoquant la plus grande catastrophe environnementale de l’histoire d’Israël, a déclaré mercredi la ministre de la protection de l’environnement, Gila Gamliel. Mme Gamliel a expliqué que, suite à une enquête de deux semaines, le ministère de la protection de l’environnement a découvert que le navire qui a fui le pétrole brut, appelé l’Emeraude, appartenait à une société libyenne et naviguait de l’Iran vers la Syrie. Il a quitté l’Iran, éteignant son système d’identification automatique (AIS) – qui transmet sa position aux autres navires dans la région. Il a allumé l’AIS lors de son passage dans le canal de Suez, puis l’a éteint à nouveau à l’approche des côtes israéliennes. Le navire est resté à des dizaines de kilomètres des côtes israéliennes, dans les eaux économiques d’Israël, pendant près d’une journée entière, déversant de grandes quantités de pétrole les 1er et 2 février, son AIS étant éteint. Il a ensuite poursuivi sa route vers la Syrie, où il a allumé son émetteur, et il est retourné en Iran, en éteignant son AIS alors qu’il passait devant Israël. Il se trouve actuellement en Iran. l’Iran ne terrorise pas seulement Israël avec des armes nucléaires et en se retranchant dans notre région, mais aussi en nuisant à l’environnement» a encore soutenu la ministre, précisant qu’environ 35 navires avaient fait l’objet d’une enquête avant d’aboutir à cette conclusion. (sources diverses)

    Il est inadmissible que les instances internationales et les pays donneurs de leçons qui hurlent d'indignation à la moindre construction israélienne en zone C de la Judée Samarie, sous administration juive selon les accords d'Oslo, se taisent comme des moutons de Panurge devant l'attentat écologique perpétré par le régime des mollahs.

    David Frenkel

     

  • Retour sur une des lois qui fut adoptée par la Knesset

    Pour bien saisir le sens de la loi Israël, État-nation du peuple juif, adoptée le par la Knesset, projetons-nous à la fin du XIXe siècle : la France, sur fonds de haine envers l’Allemagne après son annexion de l’Alsace-Lorraine, est secouée par une affaire d’espionnage au profit de cette dernière. Le Capitaine Alfred Dreyfus, officier patriote, juif assimilé, est accusé à tort d’être l’auteur du bordereau adressé à un attaché militaire allemand qui contenait des renseignements sur l’armement français. Sans entrer dans les détails sur les tenants et les aboutissants de cette affaire qui secoua la France à l'époque, rappelons que ce procès servit d’exutoire à un effroyable antisémitisme. La mise en accusation du capitaine Dreyfus se déroula sous les cris de « Morts aux juifs ». Théodor Herzl qui fut alors correspondant à Paris d’un journal Viennois et qui était toujours hanté par l'antisémitisme millénaire vit dans ce déchaînement du peuple envers un homme ayant pourtant tout fait pour s’assimiler à la société française, l’échec de de l’assimilation. Les juifs, où qu’ils se trouvent, seront toujours considérés comme des parias qui serviront à la moindre occasion de victimes expiatoires, se disait Herzl. Lui qui était jusqu’alors peu tenté par le sionisme, retourna sa veste et en vint à la conclusion que les juifs ne seront considérés comme citoyens à part entière que dans un État bien à eux. Et c’est ainsi qu’il créa le Congrès sioniste dont le premier eu lieu en 1897. Lors de ce congrès, écrivit-il plus tard dans son journal, « j’ai établi les fondements d’un État juif.

    La loi adoptée par la Knesset ne prétend nullement comme j'ai lu ailleurs que seuls les Israéliens de religion juive sont les « vrais » citoyens d’Israël.  Tous hommes, toutes femmes, ayant le passeport israélien répond à l’idée que l’on se fait d’un citoyen d’État, et quoi de meilleur preuve pour le démontrer que Tsahal qui enrôle toutes ethnies confondues. La loi veut juste sous-entendre qu’Israël, comme le garantissait Herzl, appartient à tous juifs s’identifiant à lui lorsque l’antisémitisme ou l’atavisme générationnel le leur rappelle. Par ailleurs, un peuple se définit non pas par sa religion, mais par sa communauté sociale ou culturel ou encore par l’ensemble des citoyens d’un État (le peuple français). Les termes de la loi, tels que promulgués par la Knesset, n'excluent donc nullement ceux qui par citoyenneté se considérerait comme Israélien.

    David Frenkel

     

  • Haro sur la Cour internationale de justice

    La Cour internationale de justice qui a son siège à La Haye vient d’annoncer de façon officielle qu'elle allait enquêter pénalement sur les "crimes de guerre" commis par Tsahal et l'Etat d'Israël  à Gaza, en Cisjordanie Judée-Samarie et à Jérusaslem-Est.

    En faisant l'impasse sur les agresseurs, les terroristes, qui harcèlent Israël, mais en s'en prenant uniquement à un pays qui lutte pour sa survie depuis qu'il a vu le jour, ladite Cour évoque sa face peu reluisante.

    "Jetons au rebut du droit de se défendre les tirs de roquettes visant aveuglement les civils, qu'ils soient juifs ou arabes ou tout ce que l'on pourrait imaginer", "Versons dans les limbes de l'injustice les attentats contre les quidams qui avaient tort d'habiter dans le pays de leurs ancêtres," "Mettons aux ban de l'humanité ceux qui ont décidé de construire dans la cité du roi David", telles semblent être les devises d'une Cour qui n'a de justice que son nom.

    Pour les juges de cette prétendue Cour de justice faisons résonner les paroles du colonel Richard Kemp  qui était le commandant des forces britanniques en Afghanistan, et qui a séjourné en Israël pendant la guerre que l’État hébreu a mené contre le Hamas en 2014, je le cite :

    Il y a deux points de vue de l’armée israélienne – ce que vous entendez dans la plupart des médias, et la vérité. Je vais vous dire la vérité. J’étais le commandant des forces britanniques en Afghanistan. J’ai combattu dans des zones de combat autour du monde, notamment en Irlande du Nord, en Bosnie, en Macédoine et en Irak. J’étais également présent tout au long du conflit de Gaza en 2014. D’après mon expérience et mes observations:

    L’armée israélienne fait plus pour sauvegarder les droits des civils dans une zone de combat que toute autre armée dans l’histoire de la guerre.

    Pourquoi est-ce ainsi?
    Premièrement, Israël est un pays décent avec des valeurs occidentales, qui fonctionne selon des principes démocratiques. Israël n’a pas plus d’intérêt à faire la guerre que la Belgique. En fait, Israël n’a jamais commencé une guerre. La seule raison pour laquelle il va à la guerre est de se défendre. Et il doit se défendre parce que, contrairement à la Belgique, il est entouré de pays et de groupes armés qui veulent le détruire.

    Deuxièmement, le judaïsme, avec ses normes morales inégalées, reste une influence majeure sur les citoyens d’Israël. Je dis cela en tant que non-Juif.

    Troisièmement, l’armée est composée majoritairement de soldats citoyens. Israël est un petit pays avec une petite armée professionnelle. Pour mener une guerre, cela dépend de ses conscrits et de ses réservistes. Ce sont des citoyens ordinaires, des professeurs aux plombiers, appelés à défendre leurs maisons. Ils ne veulent pas se battre et ne veulent pas nuire aux autres. Nulle part la moralité et la décence essentielles de Tsahal n’ont été plus évidentes que lors de la guerre de Gaza en 2014. S’il y a eu une guerre purement défensive, c’est bien celle là. La guerre a été déclenchée par le Hamas, l’organisation terroriste désignée comme telle par le Département d’Etat américain, qui gère la bande de Gaza.

    Au cours des six premiers mois de 2014, le Hamas a lancé des centaines de roquettes sur des civils israéliens. Après des avertissements répétés d’Israël, l’armée de l’air israélienne a finalement mené des frappes de précision pour stopper les tirs de roquettes. Et les forces de Tsahal sont entrées dans Gaza pour détruire un réseau de tunnels terroristes que le Hamas avait construit pour attaquer les communautés israéliennes près de la frontière de Gaza. Tsahal a pris des mesures extraordinaires pour informer les civils de Gaza des zones ciblées, larguer des millions de tracts, diffuser des messages radio, envoyer des messages et effectuer des dizaines de milliers d’appels téléphoniques. Laissez-moi répéter cela. Les Israéliens ont appelé les habitants de Gaza sur leur téléphone portable et leur ont dit de quitter leur résidence et de se mettre en sécurité. Jamais dans l’histoire de la guerre, une armée n’a téléphoné à son ennemi et lui a dit où ils allaient larguer leurs bombes. De nombreuses missions des FDI qui auraient pu retirer les capacités militaires du Hamas ont été abandonnées pour éviter les pertes civiles, augmentant ainsi le risque pour les citoyens et les soldats israéliens. Malgré tout cela, bien sûr, des civils innocents ont été tués.

    Chaque guerre est chaotique et confuse, et les erreurs sont fréquentes. Mais les erreurs ne sont pas des crimes de guerre. D’autre part, le Hamas a commis des crimes de guerre en tant que politique officielle du gouvernement. Le Hamas a délibérément placé ses actifs militaires parmi la population civile, cachant des armes dans les écoles et les hôpitaux, et plaçant des lance-roquettes le long des immeubles d’appartements, puis a forcé ces civils à rester dans des zones qu’ils savaient être attaquées. Ils ont également demandé à leur peuple de rapporter le mensonge que chaque Gazaoui tué était un civil, même s’ils étaient en réalité des combattants. 

    Pour le script complet, visitez   https://www.prageru.com/videos/israel…

    Haro donc sur une Cour dont la majorité des États membres sont les suppôts de cette haine qui n'ose dire son nom.

     

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