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  • Il faut que le CICR les prenne en charge !

    l'Office de secours et de travaux pour les Palestiniens (UNRWA) prolonge le conflit israélo- palestinien a affirmé Gilad Erdan, l’ambassadeur d’Israël auprès des Nations-Unies, lors d’un entretien qu’il a eu hier avec Philippe Lazzarini, le Commissaire général dudit Office. "Il a déjà été prouvé que l'UNRWA utilisait les manuels scolaires édités par l'Autorité palestinienne pour enseigner la haine contre Israël. L'Office n'essaie absolument pas d'intégrer les réfugiés palestiniens au sein de l'AP ou dans les pays arabes, il perpétue le conflit", a ajouté le diplomate israélien. Aussi a-t-il prestement invité son interlocuteur a faire d’urgence le nécessaire pour que cesse la diffusion de ces manuels scolaires qui promeuvent la haine du juif et qui contestent ainsi les fondements de paix sur lesquels se base l’ONU. Par ailleurs, a-t-il encore allégué "L'UNRWA a ses propres règles pour définir qui est censé être un soi-disant 'réfugié palestinien', et ce au mépris total du droit international" s'offusquant aussi que l’UNRWA "gonflait les chiffres". Il faut également savoir a souligné monsieur Erdan que les groupes palestiniens, tels que le Hamas, utilisent les infrastructures de l'Office à des fins terroristes.

    Dans sa réponse monsieur Lazzarini se retranche  derrières des formules vagues, à savoir que l'UNRWA s'emploierait à développer prochainement un programme scolaire dont le contenu serait examiné, et que les conclusions seraient communiquées aux plus hauts responsables de l’Office. On ne peut qu’être effaré devant la langue de bois de ce commissaire. De nombreuses thèses, d’innombrables témoignages et de reportages en caméras cachés ont démontré la responsabilité de l’UNWRA. Les équipes d’enseignants s'y composent d’une majorité de membres du Hamas dont la charte prône l’annihilation l’État Hébreu. Se fendre de la formule passe-partout « Vouloir étudier la question » n’est qu’un bottage en touche, car le Hamas n’acceptera aucunement d’être privé de l’instrument de bourrage de crâne que présente pour lui le contenu haineux des manuels scolaires. Et l’on voit mal monsieur Lazzarini congédier la majorité des instituteurs et institutrices de cet Office. Dissoudre cet UNWRA, qui se sert des plus de 5 mio de réfugiés dans l’espoir qu'ils puissent un jour envahir Israël, au profit du CICR (Comité international de la Croix-Rouge et les organisations pour les réfugiés, créé en 1863) est donc la seule solution pour que la jeune génération palestinienne accepte à l'avenir de vivre aux côtés d'un État juif. Et dire qu’avec les deniers des contribuables la Suisse participe à hauteur de 20 millions de francs (chiffres 2019) à la perpétuation du conflit israélo-palestinien !

     

  • les CFF roulent pour certaines gens

    En lisant le journal 20Minutes, j’apprends que les contrôleurs CFF s’abstiennent à verbaliser certains resquilleurs. Il suffit d’être rom pour avoir le droit de voyager aux frais de la princesse. Les gens du voyage qui prennent le train à plusieurs ne manquent pas d’air et vont même jusqu’à considérer les contrôleurs CFF comme des amis. Voici le genre de propos que certains observateurs et lecteurs du journal peuvent entendre lorsqu’un contrôleur demande à un rom de présenter le billet alors que deux de ses compères sont allongés sur les places assises et que le train ne désemplit pas : « Comment ça va chef ? Ça faisait longtemps, hein ?" Au grand étonnement des observateurs, le contrôleur, bon prince, imprime alors trois billets surtaxés et les leur tend, et cela, sans recevoir aucun paiement, oui, vous avez bien lu ! Interrogé par le journaliste sur la raison du tutoiement, le contrôleur a répondu avec le plus grand sérieux : « A force de les croiser à bord plusieurs fois par semaine et de les contrôler sans titre, ça crée un lien. » Il faut se pincer pour se demander si l’on a bien lu. Je suis également sidéré d’apprendre que questionné au sujet des statistiques sur les resquilles des passager étrangers non domiciliés en Suisse et du manque à gagner que cela représente annuellement pour les CFF, le porte-parole, Jean-Philippe Schmidt, a non seulement noyé le poisson en répondant qu'il n'avait pas de statistiques à sa disposition et qu’il ne pouvait lui fournir les chiffres sur les amendes et leur encaissement, mais a aussi assuré avec un aplomb déconcertant lutter contre la resquille sans distinction, grâce à la loi fédérale sur les transports. Or, cette dernière pourtant stipule que tout resquilleur n’obtempérant pas au paiement doit descendre du train. Les CFF étant à 100% aux mains de la Confédération suisse, et à la lumière de ce qui précède, le contribuable que je suis est outré du peu de cas que les responsables de la gestion des CFF font des resquilles endémiques d'une catégorie d'individus.

    David Frenkel

  • Macron, demandez d'abord à la police et à la justice d'appliquer la loi sans distinction et de manière sérieuse

    Suite au discours de lutte contre le séparatisme qui a été tenu par le président français Emmanuel Macron le 2 octobre, il n’est pas inutile de revenir sur les faits suivants :

    le 4 avril 2017, Kobili Traoré, un islamiste qui a passé des mois à menacer sa voisine, Sarah Halimi, médecin, juive, s'introduit dans son appartement, la roue de coups durant de longues minutes tout en récitant les sourates du Coran avant de la défenestrer du troisième étage au cri "d'Allahou Akbar. Les policiers appelés sur le lieu, et  bien qu'ayant entendu les cris de détresse de la dame, ne sont pas intervenus. Le juge qui a instruit cette affaire a refusé la reconstitution de la scène du meurtre, et finalement un non-lieu a été prononcé au motif que l’assassin avait fait usage de stupéfiants au moment où il avait commis le crime atroce. De plus, aucun des policiers présents n’a été poursuivis pour non-assistance à une personne en danger.

    Le 1er octobre 2017 deux jeunes femmes ont été sauvagement poignardées sur l'esplanade de la gare Saint-Charles à Marseille. L’assassin, détenteur d’un passeport tunisien, qui peu après a été abattu par les forces de l'ordre, était en situation irrégulière et était connu des services de police italien et français pour des faits de délinquance. Il aurait donc dû être placé dans un centre de rétention. Mais pour des raisons de dysfonctionnements administratifs, il n’y a pas été placé. Aucune action en justice n'a été intentée contre les responsables de ces manquements gravissimes.

    Au mois de juin de cette année, deux bandes rivales l'une tchétchène et l'autre maghrébine se sont affrontées dans des quartiers de Dijon durant deux journées entières. Les scènes de guerre ont terrorisé les habitants. La police républicaine n'étant pas intervenue, on peut supposer que ce sont les imams d'une mosquée qui ont rétabli l'ordre.

    Depuis l’attaque au hachoir, vendredi 25 septembre passé, près des anciens locaux de Charlie Hebdo, rue Nicolas-Appert, à Paris, la question des mineurs isolés et de leur prise en charge fait à nouveau polémique. Apprenant que l’auteur présumé des faits, se présentant comme Hassan A., né au Pakistan, avait été pris en charge à partir d’août 2018 comme mineur isolé étranger par l’aide sociale à l’enfance du Val-d’Oise, plusieurs responsables politiques sont montés au créneau. D’autant que, selon la photo d’une pièce d’identité récupérée par les enquêteurs, Hassan A. s’appellerait en réalité Zaheer Hassan Mehmood et aurait 25 ans. Relevons donc le manque de sérieux de la part des dirigeants du Bureau de l'aide sociale à l'enfance (ASE) qui pendant plus de deux ans ne se sont pas assurés de la vraie identité de l'individu. Il incombait aussi aux instances policières de vérifier le bien-fondé des mineurs immigrés faisant appel aux subventions de l’État. Cela d'autant plus que le syndicat d’officiers de police SCSI a jugé sur Twitter que « le système de la prise en charge des mineurs isolés, souvent en fait des majeurs, doit être revu ».

    Ces quatre événements ne sont qu'un échantillon de l'insécurité qui règne en France à la suite de l'abdication de la justice à poursuivre les auteurs de délits issus d'une population immigrée et principalement musulmane, du renoncement par la police à maintenir l'ordre dans les quartiers qui sont aux mains de ladite population ainsi que de l'incurie policière.

    Alors, Monsieur Macron, vouloir prendre des mesures pour lutter contre le séparatisme islamiste, c'est bien, mais demander d'abord à la police et à la justice d'appliquer la loi sans distinction et de manière sérieuse, c'est encore mieux.

    David Frenkel