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  • Mais ils sont où ?

    La conférence de presse du président Joe Biden qui n’avait de conférence que le nom allait encore plus loin dans le semblant que ce que les médias ont rapporté, du moins ceux qui on eu l’honnêteté de rapporter le simulacre de cette conférence de presse. En effet, selon des images prises sur le vif, il s’avère que le nouveau président des USA avait à sa disposition des aides-mémoire. Il y figurait les noms des journalistes, illustrés d’une photo, et muni d’un no d’ordre d’intervention ainsi que les réponses aux questions qu’ils devaient lui poser.

    Ceux qui n’ont eu de cesse de critiquer Donald Trump où sont-ils donc pour crier au scandale ? Oui, où sont-ils ces journalistes, qui se sont laissés embrigader durant quatre ans dans la propagande anti-Trump, pour ameuter le public, les lecteurs, contre le Parti démocrate américain qui a fait élire un homme, dont les dirigeants du Parti savaient qu’il n’était pas en possession de toutes ses facultés mentales, à la tête d’un pays, leader du monde libre. Agissant de manière subreptice, et sachant qu’atteint de sénilité, Joe Biden serait incapable de tenir régulièrement des meetings électoraux, les meneurs de la campagne Joe Biden, sous prétexte du coronavirus, l’ont enterré au sous-sol de sa résidence. Rappelons que les rares fois où celui-ci était sorti de son sous-sol pour s'adresser au public, il avait été l'auteur d'un couac mémorable en déclarant à un animateur qui l'interviewait : Nous sommes dans une situation où nous avons mis en place – et vous l’avez fait pour notre administration, celle du président Obama, avant celle-ci – nous avons mis en place, je pense, l’organisation de fraude électorale la plus étendue et la plus inclusive de l’histoire de la politique américaine.  C’est pourquoi, soit dit en passant, toute personne n’ayant pas d’à priori, pourrait se demander, et alors que Donald Trump enchaînait les réunions électorales, comment un Joe Biden se terrant dans son coin pouvait-il avoir eu les faveurs du corps électoral. De plus, pourrait-on se demander si la vérité ne sors pas de la bouche des séniles...

    Pour conclure, je dirais que ce n’est pas parce que leur bête noire a été écartée que bien des journalistes doivent se faire complice par le silence de politiciens ayant dupé des myriades d’électeurs.

    David Frenkel

     

  • Les États-Unis sont-ils actuellement dirigés ?

    Le Dr. Ronnie Jackson, Texan, élu à la chambre des représentant sous les couleurs républicaines, et qui fut médecin de Barack Obama et de Donald Trump alerte le public sur la santé de Joe Biden. Après la conférence de presse tenue par ce dernier, après plus de deux mois d’exercice du pouvoir, Ronnie Jackson a publié ce qui suit : « J’ai servi comme médecin de la Maison-Blanche sous trois présidents. J’ai pu voir qu’il faut des forces physiques autant que mentales pour accomplir cette mission, et je peux vous dire que la manière dont Joe Biden est caché du public constitue un drapeau rouge majeur. Quelque chose ne fonctionne pas ! » Il est également persuadé que les questions posées par des journalistes subordonnés et les réponses données lors de cette conférence de presse par Joe Biden étaient préparées d’avance afin que ce dernier ne soit pas pris de court. Le médecin et élu politique  s'est encore inquiété : « Si le président américain n’est pas capable par lui-même de répondre aux questions des journalistes, comme imaginer qu’il puisse parler aux dirigeants étrangers! Il faut mettre la politique de côté et chaque Américain soucieux de savoir si son président est apte à exercer sa fonction devrait être inquiet ! »

    Malgré toutes les précautions prises pour veiller que Joe Biden ne commette pas de gaffes lors de la conférence de presse, celui qui exerce la plus haute fonction de l’État, a derechef divagué en disant « Les États-Unis devraient revenir au filibuster1) qui existait lorsque je suis arrivé au Sénat, il y a 120 ans. »

    Par ailleurs, et alors qu'une crise majeure vient d'éclater à la frontière mexicaine où nombre de migrants tentent de la traverser illégalement, on apprend que Joe Biden a pris l’avion ce week-end pour rentrer chez lui à Delaware.

    La bourse de Wall Street s'est inquiétée de celui qui versant dans la sénilité est loin des préoccupations citoyennes : le marché a baissé de quelques milliards de dollars.

    L’homme gâteux --- il a trébuché trois fois en montant dans son Air Force One --- et je-m’en-foutiste pousse à la question suivante : "Les États-Unis sont-ils actuellement dirigés ?"

    David Frenkel

    1) une technique parlementaire visant à retarder le plus possible l'adoption d'une loi à l'aide des moyens réglementaires de la chambre. Cette tactique dilatoire peut consister à prononcer délibérément d'interminables discours pour faire obstruction à un débat.



  • Une tempête dans un verre d'eau

    Voici le préambule à la constitution suisse :

    Au nom de Dieu Tout-Puissant! Le peuple et les cantons suisses, conscients de leur responsabilité envers la Création, résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde, déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l’autre et l’équité, conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures, sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres, arrêtent la Constitution que voici…

    Il se trouve que le conseiller national Fabien Molina trouve à redire sur la mention divine dans un texte officiel. Aussi a-t-il déposé récemment une motion visant à supprimer la référence à dieu, car prétend-il, «le peuple ayant interdit par votation le port de la burqa, cette référence au Tout-Puissant et à la création chrétienne contredit le principe de neutralité de l’État en matière de religion » et ajoute-t-il, la référence à Dieu exclut les personnes de confession non-chrétienne et les non-croyants ce qui va l’encontre de la liberté de la foi et de conscience garanti par le texte fondateur » Puis, enfonce-t-il le clou, « Nous ne voulons pas d’une théocratie... ».

    Je lui rétorque ceci :

    °L’interdiction de la Burqa n’interdit en aucune façon le déisme, comme le théisme, dont certains s'en prévalent aujourd'hui encore. On peut très bien croire en l’existence de Dieu sans pour autant pratiquer une quelconque religion.

    °la Création se définit comme l'Univers entier, considéré comme une création divine. Par conséquent, en appeler à Dieu n'entraîne aucunement le qualificatif "chrétien". Les juifs et les musulmans en appelle également au Tout-Puissant.

    °La référence à Dieu n’exclut donc d’aucune manière les personnes de confession non-chrétienne et les non-croyants, car primo le préambule à la constitution n’a pas force de loi, et n’engage donc que celui ou ceux qui l’ont rédigé. Secundo, il n’est écrit nulle part dans la constitution suisse que la religion officielle du pays est chrétienne.

    Je dirais donc plutôt que la constitution s’alliant aux valeurs qui y sont citées est religieusement humaine et universelle. Liberté, démocratie, indépendance, paix, solidarité, et tout ce qui y est encore mentionné, et pouvant améliorer ce bas-monde sont les qualités nécessaires au bonheur des citoyens.

    Dommage que Fabien Molina s’en soit pris à un texte écrit en préambule à la constitution suisse tout en acceptant le ridicule de interdiction constitutionnelle de la tenue vestimentaire musulmane, C’est ce qui s’appelle une tempête dans un verre d’eau.

    David Frenkel