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  • Rideau !!!

    Les tissures séparent bien des mondes.

     

    La vergogne se drape d’une étoffe.

    Entrez donc chairs flasques, corps difformes,

    Le regard stoppe à la frontière d’un tissu ;

    L’œil ne se pose pas sur votre bande intime ;

    La nudité est plus belle ou moins cruelle

    Quand le vêtement étoffe l’imagination.

     

    Rideau, derrière toi on ourdit une intrigue ;

    Mais devant toi on applaudit un drame.

    Sous un manteau d’arlequin,

    La fiction est le fil conducteur.

    Confiné dans les hauteurs,

    Il laisse le champ libre à un auteur.

    La comédie et la tragédie

    S’abandonnent aux trames d’une pièce,

    S’enfilent à travers les chaînes

    Formant la texture d’un monde sur mesure ;

    Le théâtre tisse les habits des hommes ;

    La magie des mots élève un rideau.

     

    La courtine sépare deux classes

    Dans les carcasses vrombissant

    vers maintes destinations aériennes ;

    Mais piégées par les turbulences,

    Prises dans la nasse de la catastrophe,

    La camarde fusionne les deux classes.

     

    Le voile embrume les cieux féminins ;

    Il tamise la beauté d’une vénus

    Lorsque le voilage ondule sous le dogme,

    Il se détache et enveloppe la chair

    D’un ordinaire sans forme ;

    Sous la burqa, seuls des yeux jaillit la flamme

    Des âmes efféminées

    Pointant derrière les rideaux bonne femme

    Retenus par les liens hiératiques.

     

    Parfois la vilenie abaisse.

    Construit sur un sol où pousse la vanité,

    Élaboré par la suffisance,

    Un tissu de mensonges sépare certains;

    Enfoncés dans l’erreur ils se durcissent.

    Les cœurs de pierre jouent sur du velours

    Lorsque les peurs emprisonnent la raison,

    Quand les idéaux asservissent le bon sens.

    Crions alors tous: "Rideau".

     

  • Réponse à un courrier des lecteurs

    En réponse à un courrier des lecteurs paru ce jour dans la TDG (voir ci-après)  

    Non, cher Monsieur : les juifs n'ont jamais réclamé un droit de retour mais le droit de vivre en toute sécurité dans un État qui les protégerait de l'antisémitisme. Dois-je vous rappeler, cher Monsieur, que Herzl, en 1895 était d'accord de fonder cet État en Argentine ou en en Afrique Orientale1). C'est la Déclaration Balfour 1920 qui a attribué aux juifs la terre de leurs ancêtres. En 1948, lors du plan de partage de l’ONU cette terre fut amputée de la Judée Samarie, et devait revenir à un État arabe nouvellement fondé et qui aurait pu s’appeler « Palestinien ». Les gouvernements arabes ayant refusé ce plan, ce fut la Jordanie qui s’en empara à l'encontre de toute volonté internationale. Ni ce que vous appelez «les Etat-Uniens blanc », «les  Etats-Uniens noirs », ni les Brésiliens, ni les Argentins, ni les Canadiens, n’ont été persécutés à ce point d’exiger un droit de retour, respectivement, en Europe, en Afrique, Au Portugal, en Espagne, etc. En outre, falsifier un nom biblique pour ne pas verser dans le ridicule — allez donc écrire que Israël colonise la Judée Samarie !!! — relève de la perversion historique de ceux qui, s’abritant derrière la cause palestinienne, éructent en toute bonne conscience un "anti-israélisme" qui s’assimile de près ou de loin à un antisémitisme. Et parlons-en de cette cause palestinienne pour démontrer que le départ des arabes palestiniens (avant guerre, les juifs étaient aussi nommés palestiniens) résultait des dommages collatéraux dus à une guerre que cinq armées arabes avait déclenchée en 1948 contre Israël sous le slogan « Jetons les juifs à la mer ». Si certains furent chassés, un grand nombre avait fui sous les injonctions de leurs chefs et de leurs élites2)

    1) https://www.lesclesdumoyenorient.com/Theodor-Herzl-pere-du-sionisme.html

    2) http://www.nuitdorient.com/n1512.htm

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  • Complots - A... 1942 :

    Le complot le plus ignoble de tous les temps, c’est celui qui se fermenta lors de la conférence de Wannsee le 20 janvier 1942. Quinze dignitaires nazis y prirent part pour décider de la « solution finale ». Celle-ci était l’expression symbolique de la mise à mort organisée, d’une manière froidement méthodique, de six millions de juifs européens. C’est le « Moustachu » qui en eut l’idée en 1941. Cette conférence avait pour but de garantir l’exécution de se sinistre plan. Si la plupart des participants avaient déjà été mis au parfum des déportations et des massacres antisémites qui avaient eu lieu un peu partout en Europe, la conférence susnommée servait à peaufiner les sinistres desseins, à savoir :

    - l’extension du génocide aux juifs résidant au Royaume-Uni et dans les nations neutres (Suisse, Irlande, Suède, Espagne, Portugal et la partie européenne de la Turquie)

    - Pour les Juifs résidant dans le Reich grand-allemand les lois de Nuremberg, qui stipulaient entre autres que les juifs métissés (personnes ayant un ou deux grands-parents juifs), serviraient de base pour déterminer qui était juif. Il s’ensuivit que maintes gens se considérant comme allemands furent broyés par l’idéologie nazie

    - Les juifs devaient être divisés en deux catégories : a) les aptes au travail, et subdivisés selon le sexe (les jeunes en bonne forme physique devant être affectés aux nécessités de l’Allemagne) ; b) les inaptes au travail (les enfants, les vieux, les handicapés devant être gazés).