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UN PEU DE TOUT - Page 280

  • Que les imams modérés se fassent entendre !

    Qu’est-ce le radicalisme ? Selon une des définitions du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL), c’est une attitude qui refuse tout compromis en allant jusqu'au bout de la logique de ses convictions. Le radicalisme appliqué à l’islam se définit donc par la volonté de vouloir imposer sa religion à autrui. Certes, et comme dans toutes les religions, l’islam est sujet à interprétations et à critiques. Il y a ceux qui prennent à la lettre le Coran, et il y en d’autres qui ne puisent de ce Livre que les prescriptions ayant trait à l’individu lui-même, mais non aux prescriptions qui empiètent sur le bien-être et sur la liberté d’autrui. Nombre de pays musulmans font partie de cette dernière. Malheureusement, certains imams, et certain régimes moyen-orientaux ont une lecture radicale des textes coraniques, et représentent un danger notoire. Les attentats de par le monde sont encouragés par eux. Une femme à la tenue légère, un juif ou un chrétien portant des signes religieux ostentatoires s'aventurant  dans certains quartiers des villes européennes s’y feraient agresser . Et si l’Iran, encourageant le terrorisme1), arrivait par malheur à mettre les pays occidentaux à ses pieds, nous serions sous le joug de la charia. On ne peut que regretter que les musulmans qui ont une lecture modéré du Coran ne prennent guère la parole dans les médias et en public pour condamner haut et fort les attentats perpétré au nom d'un islam radical ; comme on peut regretter que les pays islamiques non théocratiques ne dénoncent officiellement les Etats ayant une vision intolérante de l'islam.

    1) https://www.ouest-france.fr/terrorisme/un-projet-d-attentat-londres-soutenu-par-l-iran-aurait-ete-garde-secret-par-le-gouvernement-6390645 et https://www.lexpress.fr/actualite/monde/le-danemark-dejoue-un-attentat-et-accuse-l-iran_2045465.html

  • La France occupée

    Le magazine en ligne Valeurs Actuelles nous a rapporté dimanche passé qu’à la demande de Christophe Castaner, exprimée après l’attentat de Villejuif. un rapport de la Direction générale de la Sécurité Intérieure DGSI, service spécialisé de renseignements français, vient d’être établi. Le rapport classé secret-défense, donne une représentation détaillée des territoires situées en France métropolitaine qui sont sous dominance musulmane. A ce propos, je cite Ivan Rioufol qui dans son dernier livre « Les Traîtres » paru aux éditions Pierre-Guillaume de Roux, affirme que « A la source du malheur français, il y a des traîtres français qui portent des prénoms français ». Et dans une interview donné à Breizh-info.com il se fait l’auteur de ces affirmations chocs : Les traîtres sont ceux qui, depuis quarante ans et plus, ont abandonné la France aux minorités, aux communautés et à l’islam conquérant, tout en prétendant servir et défendre le pays. Si j’avais voulu donner des noms, il m’aurait fallu un épais annuaire ! Quand Jacques Chirac se confie en avouant : «  Je n’ai jamais été de droite ! », certains pouvaient s’en douter. Il n’empêche qu’il assume sa trahison auprès de ceux qui s’étaient convaincus de ses convictions de droite.

    Emmanuel Macron en proclamant après l’attentat de la préfecture de police d’octobre dernier que la lutte contre le communautarisme était essentiel,  n’a pourtant à ce jour encore concrètement rien entrepris pour lutter contre ce fléau. Pourtant ses influences ne cessent de se multiplier dans l’éducation, le sport ou la santé. Le Président français est dangereusement pris en tenaille entre le « vivre ensemble » prôné à tout va, et l’islamisme dans la France d’en bas.

  • Tiré du documentaire Kinshasa Symphonie

    Le cagnard darde à plomb ses myriades de doigts brûlants sur les visages émaciés. Les bouches criant famine avalent du soleil avant l’éternel sommeil. L’astre désastre de l’Afrique buvote l’océan, et le crache sur d’autres continents. Le soleil peint les figures faméliques d’un hâle recouvrant leur pâleur, mais la lune lare au visage pâle les suspend au noir firmament. Dans la nuit elles scintillent, et éclairent la petite vertu. Dans la précarité africaine, sur la poussière oubliée, des hommes aux mines fatalistes, des femmes aux allures accablées, sous la férule d’un chef d’orchestre forment une chaîne pendue aux cieux. Une cinquantaine d’anneaux humains s’imbriquent. Fatigués, mais élevés aux hautes ferveurs, bien des yeux entourés de cernes rappelant l’auréole des martyres s’accrochent à la lamentation mélodieuse. Des mains tailladées par un dur labeur se donnent aux instruments de leur crû. Entraînées par la magique cadence, elles se vêtent d’élégance. Des lèvres asséchées par la soif boivent les notes de Beethoven; conçues dans la surdité, elles résonnent de félicité. Dans cette Afrique cadavérique, l’homme repu est éperdu : les damnés chantent «Nous sommes frères». Une gerbe d’harmonie s’élève; elle prend la forme d’une contrition. Le fortuné se joint au miséreux; et des larmes de sang au couard arrière-goût, et des larmes de cœur au bienveillant avant-goût, se fondent dans l’hymne à la joie.