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  • Le vote de la Suisse à l'ONU, bis repetita

    Ainsi la Suisse après avoir voté le 1er décembre dernier l’infâme résolution onusienne désavouant les liens juifs avec le mont du Temple et décidant de désigner le site uniquement par son nom musulman « Al-Haram al-Sharif » remet sur le métier son obsession israélienne.

    Hier, notre chère Helvétie a voté1) en faveur d’une résolution instituant une enquête illimitée dans le temps sur les actions d'Israël contre les Palestiniens lors du dernier conflit armé avec le Hamas en mai de cette année. Aucune enquête de ce type n’a jamais été entreprise contre d’autres États membre de l’ONU, comme l'Iran, la Chine, la Syrie, l'Afghanistan, et j'en passe, et les meilleurs. Seul l’État juif subit des mesures d'exception qui sont propres à l'antisémitisme.

    Il est maintenant de notoriété internationale que l’armée israélienne combattait contre des terroristes qui se cachaient dans des endroits densément peuplés d’où ils tiraient environ 4’000 roquettes visant délibérément la population civile israélienne. Douze personnes ont été tuées en Israël, dont un garçon de 5 ans et une fille de 16 ans. Les frappes aériennes de représailles israéliennes sur des cibles terroristes soigneusement repérées dans la bande de Gaza ont tué quelque 250 personnes. Tsahal a déclaré que la majorité des personnes tuées étaient des agents terroristes et a démontré, qu’à son habitude, tout a été fait pour éviter les pertes civiles alors que l'armée a combattu des groupes armés profondément et délibérément implantés dans des zones peuplées. Tsahal a établi que 66 mineurs servaient de boucliers humains.

    Le ou les responsables qui ont instruits le vote suisse ont délibérément ignoré les crimes de guerre de guerre commis par le Hamas.

    « La création d’une nouvelle commission permanente plutôt que d’une commission d’enquête limitée, temporaire et bien définie est sans précédent et dangereuse en termes d’implications budgétaires à long terme pour l’organisation des Nations Unies dans son ensemble », a déclaré Guilad Erdan, le représentant israélien à l’ONU, accusant l’Assemblée générale de financer un « tribunal fictif » contre Israël.

    Je stigmatise derechef nos médias romands en ligne de n’avoir pas porté à la connaissance du public le vote de la Suisse. Un journaliste aurai pu par la même occasion creuser les raisons profondes qui ont poussé le Département des Affaires Étrangères a utiliser les deniers des contribuables pour financer les frais d’une enquête inique pris sur le budget de l’ONU et auquel la Suisse contribue.

    David Frenkel

    1) -8-pays ont voté contre : Israël, les États-Unis, la Hongrie et les nations du Pacifique (Îles Marshall, Micronésie, Nauru, Palau et Papouasie-Nouvelle-Guinée.

    -34- pays se sont abstenus :l’Albanie, l’Australie, l’Autriche, le Brésil, la Bulgarie, le Burundi, le Canada, la République centrafricaine, la Colombie, la Croatie, la République tchèque, l’Équateur, les Fidji, l’Allemagne, le Guatemala, Haïti, l’Honduras, l’Inde, l’Italie, la Lituanie , Madagascar, le Monténégro, les Pays-Bas, la Macédoine du Nord, la Corée du Sud, le Rwanda, la Slovaquie, la Slovénie, les Îles Salomon, Tonga, l’Ukraine, le Royaume-Uni, l’Uruguay et la Zambie

  • Piqûre de rappel : non il ne s'agit pas du covid...

    Maintes gens en parlant de Noël disent : "Imaginons cette nuit en Palestine..." Sauf, que cette nuit se passait en Judée !

    Dans les récits de l'enfance de Jésus, les évangélistes Matthieu et Luc, qui affichent plusieurs contradictions, indiquent que la naissance a eu lieu «à Bethléem en Judée, du temps du roi Hérode» (Mt, 2,1).

    Le nom Palestine vient de Philistin. Il désignait à l'origine une région côtière autour de Gaza, occupée par les envahisseurs philistins venus d'au-delà des mers. Suite à la deuxième guerre juive (133-135) et à l'expulsion des Juifs par les Romains, les nouveaux habitants de la région ont pris le nom de Palestiniens. La région est intégrée dans la province de « Syrie Palestine » (Syria Palæstina), nouvelle dénomination, calquée sur le grec, de ce qui était auparavant appelé en latin Syria Judaea (« Syrie Judée » ou « Syrie juive ») par les vainqueurs désireux de faire disparaître tout rattachement symbolique de la région aux anciens rebelles Juifs. Au Ve siècle le Levant méridional est divisé en trois provinces appelées Palestine (Palæstina Prima, Palæstina Secunda et Palæstina Tertia (en) ou Palæstina Salutaris (en)). Puis le terme passe en arabe sous la forme Filasṭīn116 (فلسطين).

    Il y en a vraiment plus qu’assez que l’on réécrive l’histoire judéo-chrétienne, non seulement à longueur de propagande, mais aussi par des gens innocents et naïfs.

    Joyeux Noël

    David Frenkel

  • Piqûre de rappel : non il ne s'agit pas du covid...

    Lu : "Imaginez cette nuit en Palestine..." Sauf, que cette nuit se passait en Judée !

    Dans les récits de l'enfance de Jésus, les évangélistes Matthieu et Luc, qui affichent plusieurs contradictions, indiquent que la naissance a eu lieu «à Bethléem en Judée, du temps du roi Hérode» (Mt, 2,1).

    Le nom Palestine vient de Philistin. Il désignait à l'origine une région côtière autour de Gaza, occupée par les envahisseurs philistins venus d'au-delà des mers. Suite à la deuxième guerre juive (133-135) et à l'expulsion des Juifs par les Romains, les nouveaux habitants de la région ont pris le nom de Palestiniens. La région est intégrée dans la province de « Syrie Palestine » (Syria Palæstina), nouvelle dénomination, calquée sur le grec, de ce qui était auparavant appelé en latin Syria Judaea (« Syrie Judée » ou « Syrie juive ») par les vainqueurs désireux de faire disparaître tout rattachement symbolique de la région aux anciens rebelles Juifs. Au Ve siècle le Levant méridional est divisé en trois provinces appelées Palestine (Palæstina Prima, Palæstina Secunda et Palæstina Tertia (en) ou Palæstina Salutaris (en)). Puis le terme passe en arabe sous la forme Filasṭīn116 (فلسطين).

    Il y en a vraiment plus qu’assez que l’on réécrive l’histoire judéo-chrétienne, non seulement à longueur de médias, mais aussi par des gens innocents et naïfs.

    Joyeux Noël

    David Frenkel