dfrenkel

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • La voiture électrique est-elle vraiment écologique ?

    Etant donné qu’un blogueur vantant la voiture électrique n’a pas daigné publier mon commentaire qui contredit l’écologie de la voiture électrique, je le publie ci-après. A ce propos, je relève derechef l’illusion qui s’empare de certaines personnes se donnant la peine et le temps de commenter, mais qui voient leurs commentaires être rejetés au motif qu’ils contrediraient les propos de l'auteur du billet. Au vu du refus, pourquoi alors maintenir les commentaires, si ce ne serait que pour caresser l'opinion de celui-ci, et s'il ne jugerait pas utile d'entamer un débat ? Voici donc le commentaire que j’ai posté :

    Selon une étude allemande, les voitures électriques polluent plus qu’une voiture diesel: leur empreinte carbone pourrait être 28% supérieure

    Source : The Epoch times.com

    Les voitures électriques ne réduisent l’empreinte carbone que sur papier, en Allemagne. En réalité, elles ont même augmenté les émissions de CO2. C’est le résultat d’une étude menée par Hans-Werner Sinn et le professeur de physique Christoph Buchal, de Cologne. Les critiques sévères à l’égard du résultat n’ont pas tardé à se manifester.

    L’ancien président de l’Institut de recherche économique Ifo de Munich, Hans-Werner Sinn, et le professeur de physique, Christoph Buchal de Cologne ont défendu leur étude critique sur le bilan environnemental des voitures électriques.

    Dans un article paru dans le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, M. Sinn et M. Buchal contredisent l’allégation selon laquelle l’étude menée sur la voiture électrique aurait été mal réalisée intentionnellement. Les chercheurs avaient comparé les émissions de CO2 de deux voitures du même type de gamme (une Tesla Model 3 avec une batterie de 75 kWh et une Mercedes C 220 d) et ils sont arrivés à la conclusion que, dans le cas du mélange électrique allemand, la voiture électrique émet 11 à 28 % de CO2 supplémentaire par kilomètre.

    Au contraire, ils avaient « évalué la voiture électrique avec plus d’optimisme qu’il n’aurait été possible sur la base de diverses hypothèses », écrivent les deux chercheurs. Entre autres, ils ont fait valoir qu’en utilisant certains cycles de conduite (NEDC), ils n’avaient ni préféré la voiture diesel, ni sous-estimé la durée de vie de la batterie.

    MM. Sinn et Buchal se réfèrent également aux calculs du groupe Volkswagen publiés mercredi. VW avait calculé qu’avec le mélange électrique allemand actuel, une E-Golf émet un peu plus de CO2 par kilomètre qu’une Golf diesel. « VW atteint des valeurs presque identiques aux nôtres », écrivent les chercheurs dans l’article publié dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung.

    Les voitures électriques contribuent à réduire l’empreinte carbone, uniquement sur le papier

    Dès que les émissions de CO2 provenant de la fabrication des batteries et du mélange électrique allemand sont prises en compte dans le calcul, une voiture électrique pollue 11 à 28 % de plus l’environnement qu’une voiture diesel

    L’étude de l’Ifo disait, entre autres choses, que les voitures électriques réduisent l’empreinte carbone allemande uniquement sur le papier. En réalité, elles ont même augmenté les émissions de CO2.

    Dès que les émissions de CO2 provenant de la fabrication des batteries et du mélange électrique allemand sont prises en compte dans le calcul, une voiture électrique pollue 11 à 28 % de plus l’environnement qu’une voiture diesel.

    Le lithium, le cobalt et le manganèse pour les batteries sont produits et traités avec un apport énergétique élevé. Une batterie pour une Tesla modèle 3 pollue l’environnement avec 11 à 15 tonnes de CO2.

    Les auteurs de l’étude, MM. Buchal, Hans-Dieter Karl et Hans-Werner Sinn, ont calculé qu’avec une autonomie de dix ans et un kilométrage annuel de 15 000 kilomètres, cela signifie 73 à 98 grammes de CO2 par kilomètre.

    À cela s’ajoutent les émissions de CO2 de l’électricité. En fait, la Tesla émet entre 156 et 181 grammes de CO2 par kilomètre, soit nettement plus qu’une Mercedes diesel comparable.

    Zéro émission est une tromperie

    Le fait que la politique européenne classe les voitures électriques dans la catégorie des voitures zéro émission est une tromperie, ont critiqué les chercheurs. La valeur limite de 59 grammes de CO2 par kilomètre prescrite à partir de 2030 correspond à une consommation de 2,2 litres de gazole ou 2,6 litres d’essence aux 100 kilomètres et est « irréaliste en termes d’ingénierie ».

    Par conséquent, les constructeurs automobiles devraient bientôt livrer la majorité de ces voitures à leurs clients sous forme de voitures électriques. Les moteurs à essence au méthane seraient meilleurs pour le climat et leurs émissions de CO2 seraient inférieures d’un tiers à celles d’un moteur diesel.

    Je remercie Dreuz Info de m’avoir permis de tomber sur cette information. Les gens, de plus en plus, en ont assez du ronronnement uniforme et continue d'une certaine bien-pensance. Grâce aux autoroutes de l’information, l’opinion, surtout des jeunes, devient plus critique à l’égard d’un ordre que l’on tend à imposer. Et nous sommes assez adultes pour savoir séparer le bon grain de l’ivraie, et distinguer la vraie de la fausse information.



     

     

  • Que vaut une fortune économisée face à des personnes déshumanisées ?

    Des vieillards repus et unanimes ont pris la décision anonyme d’alléger les charges de l’entreprise même si le profit est en reprise ; des quidams imbus d’eux-mêmes, caciques, ont pris la résolution inique qu’il fallait sabrer les postes de travail sans pitié, dans un très large éventail afin de satisfaire les gens qui ne jurent que par l’argent. Ils déléguèrent cette ignoble besogne à ceux qui provoquent le malheur sans vergogne.

    Assis derrière son spacieux bureau, il se sentait fort ce godelureau ; son titre prestigieux le rendait prétentieux ; les œillères du parvenu obstruaient grandement sa vue. Il avait congédié hier une employée qui n’était pas seulement une salariée. Ponctuelle, assidue dans son travail, son labeur ne présentait aucune faille ; souvent on la commettait d’office aux besoins urgents d’autres services.

    Élancé, la démarche empesée, notre homme s’était spécialisé dans le licenciement sans état d’âme de certains messieurs et de certaines dames quelques années avant une retraite qu’ils préparaient depuis belle lurette. Se rendaient-ils compte ces âpres au gain, s’apercevait-il cet insolent gandin, que leurs décisions allait ponctionner le revenu de ceux qui ont tant donné. que savaient-ils ces capitalistes ? Appréhendait-il, cet arriviste, le désarroi des quinquagénaires, employés émérites, lunaires, pensant qu’ils seraient récompensés de tous les gros efforts dispensés ; sondaient-ils les pauvres vies intérieures de ces sexagénaires travailleurs, jetés sans mauvaise conscience au rebut, car l’économie encourage ces abus ? Aujourd’hui encore, je leur donne tort car certaines interrogations me mettent en ébullition : quand la vie de l’entreprise n’est pas en jeu, comment peut-on jeter à la rue tous ces vieux ? que vaut une fortune économisée face à des personnes déshumanisées ? Toi, cadre supérieur, imagine que c’est une vie qu’on assassine lorsqu’une lettre de congé va dans la douleur les plonger. Une certaine suffisance met l’égoïsme en présence des associés commanditaires qui l’ont ordonné de se taire.

    Patrons, actionnaires, vassaux ordinaires virus envahisseurs, pourfendeurs de vies, vos existences ne me font point envie ; car vous vous développez aux dépens d’autrui mais vous ignorez que le ver est dans le fruit.