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  • Voici la cerise sur le gâteau de la désinformation

    Alors, que l’obsession de l'urbanisme israélien s'empare des médias, qui parle des constructions dans les pays réellement colonisés de par le monde, qui parle de ces arabes palestiniens croupissant dans des camps immondes et massacrés en Syrie dans le silence médiatique le plus total, qui parle  de nos jours du génocide des peuples par des despotes criminels ? Alors que la presse cesse de verser des larmes de crocodile pour une cause qui ne se mesure qu'à l'aune israélienne, pour ces arabes palestiniens qui ont refusé tant de propositions plus que généreuses faites par les dirigeants israéliens. A l'heure où en Belgique et en Espagne les carnavals donnent l'occasion, sous un prétendu humour, à promouvoir l'antisémitisme, CESSEZ, JOURNALISTES, de parler de Israël, et toujours en mal, (quel est le journaliste qui parle de la contribution de ce pays au bien être mondial) à la moindre occasion. DE NOMBREUX LECTEURS EN ONT FRANCHEMENT MARRE ! Et voici la cerise sur le gâteau de la désinformation :
     
    Publié par Gaia - Dreuz le 26 février 2020
     

    Source : Pleinsfeux

    Le fait que Mahmoud Abbas ait amené cela au plus haut niveau de la diplomatie internationale suggère qu’il croit que le monde est prêt à entretenir cette histoire révisionniste du Moyen-Orient. Malheureusement, à cet égard, il ne peut pas se tromper.

    La vérité, cependant, est quelque chose de tout à fait différent

    Lorsque le chef de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, s’est exprimé la semaine dernière devant le Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies pour dénoncer le plan de paix du président américain Donald Trump, il a apporté avec lui un accessoire particulier : Un graphique avec une série de cartes intitulées « Les Compromis Historiques des Palestiniens », qui prétendent montrer comment la « Palestine historique a disparu » au cours du 20ème siècle.

    Bien que l’utilisation d’images à l’Organisation des Nations Unies ne soit ni nouvelle ni unique, aucun graphique qui déforme si ouvertement l’histoire n’a été affiché devant le plus haut niveau de diplomatie internationale.  Cet épisode devrait sonner l’alarme en dehors de Turtle Bay, car il représente une tendance croissante à réécrire les records historiques du Moyen-Orient.

    Communément appelé la « carte des mensonges », le graphique de Mahmoud Abbas suggère de façon trompeuse comment la soi-disant « Palestine  historique » en 1917 a diminué de taille grâce à une série de compromis en 1937, 1947 et 1967, jusqu’à ce qu’elle soit à peine reconnaissable dans le « Plan de Trump », en 2020.  Prise au pied de la lettre, la carte suggère que la création et la croissance soudaines d’un état, Israël, se sont faites aux dépens d’un autre, la Palestine.

    La vérité, cependant, est quelque chose de tout à fait différent.

    L’idée qu’un état souverain de « Palestine » existait en 1917, comme le montre la carte de Mahmoud Abbas, est une fantastique réinterprétation de l’histoire. Patrie ancestrale du peuple juif et site de deux temples et de nombreux royaumes, les Romains ont rebaptisé cette terre sur la rive orientale de la « Palestine » méditerranéenne après avoir détruit les royaumes juifs de Juda et d’Israël en 70 après Jésus-Christ dans une tentative d’effacer la connexion avec les Juifs à la terre du dossier historique.

    Au cours des prochains millénaires et demi, la souveraineté allait changer au fur et à mesure que les empires se disputaient le contrôle de la Terre Sainte.  Au 20ème siècle, l’Empire ottoman était le pouvoir souverain depuis 400 ans, mais a abdiqué le contrôle de la « Palestine » pour inclure ses populations juive et arabe à la Société des Nations en 1917 après sa dissolution.

    À ce jour, une « Palestine » souveraine n’a jamais existé, contrairement à la deuxième tromperie de la carte de Mahmoud Abbas : Les Palestiniens ont fait des « compromis » historiques.  Dans les années 1930, Chaim Weizmann (devenu plus tard le premier président d’Israël) a suggéré que la communauté juive accepterait un état même s’il avait « la taille d’une nappe ».  Alors que les Juifs de Palestine étaient prêts à accepter même les niveaux minimums de souveraineté, les Arabes palestiniens ne voulaient rien d’autre que le maximum. Pour eux, la souveraineté arabe était subordonnée au refus de la souveraineté juive.

    Le compromis est nécessaire lors de la division d’un montant fini entre plusieurs parties.  Mais, le calcul à somme nulle des Arabes a engendré une culture de rejet.  Alors que les Juifs acceptaient continuellement les offres internationales de partition, le plan de la Commission Peel de 1937, le plan de partition de l’ONU de 1947 et offraient un territoire pour la normalisation en 1967, la réponse des Arabes et des Palestiniens à chaque fois était « non » à tout compromis.  En présentant ces cartes à des « compromis » de la part des Palestiniens, Abbas tente de réécrire l’histoire.

    Si une image vaut mille mots, Abbas a infligé des dommages indicibles à la vérité en affichant un graphique devant la communauté internationale qui suggère à tort que les Palestiniens ont continuellement compromis sur une patrie historique où ils auraient joui de la souveraineté politique.

    Le fait que Mahmoud Abbas ait amené sa carte au plus haut niveau de la diplomatie internationale suggère qu’il croit que le monde est prêt à entretenir cette histoire révisionniste du Moyen-Orient.  Malheureusement, à cet égard, il ne peut pas se tromper.

    Réécrire l’histoire a longtemps été une tactique d’organisations ouvertement anti-israéliennes et antisémites.  Sur les campus universitaires, des groupes anti-israéliens utilisent régulièrement une version de cette carte pendant la célèbre semaine de l’apartheid israélien.  Le mouvement antisémite BDS présente ce graphique dans ses documents de campagne.  Al Jazeera, le bras de propagande du Qatar qui a un public croissant parmi les jeunes générations en Amérique, a une vidéo interactive de la « Disparition de la Palestine » dans le cadre de sa chaîne « Palestine Remix ».

    Ce qui est le plus insidieux, cependant, c’est l’utilisation croissante de la carte dans les lieux traditionnels.  En octobre 2015, MSNBC a affiché ces cartes lors d’un segment en direct sur une récente vague de violence palestinienne sur le Mont du Temple (pour laquelle elle s’est ultérieurement excusée).  En 2017, l’Université de Columbia a publié les cartes sur les publicités d’un atelier sur « La citoyenneté et la nationalité en Israël/Palestine ».  En septembre dernier, un examen de fin d’études secondaires en Finlande comprenait les cartes.

    L’utilisation de la « Carte des mensonges » dans les médias grand public et les milieux universitaires en particulier aura pour effet de normaliser son contenu et son message.

    Pour Israël et le peuple juif, cela présente un réel danger.  Les efforts pour délégitimer l’État Juif s’intensifient, les Nations Unies ayant récemment publié une « liste noire » d’entreprises israéliennes qui opèrent en Judée-Samarie et n’étant que le dernier exemple de l’histoire révisionniste ayant des conséquences tangibles.

    Son interprétation et sa compréhension du passé forment ses hypothèses sur le présent et déterminent sa vision de l’avenir.  Croire que la « carte des mensonges » de Mahmoud Abbas fera plus que déshonorer le passé ; Cela endommagera irrévocablement la cause de la paix.

  • Les implications de l'Iran dans le terrorisme anti-israélien

    Depuis qu’il a été créé en 1981, le Jihad islamique a également comme objectif l’annihilation de l’État juif. Toutefois, et à la différence du Hamas, il ne gouverne pas la population résident à Gaza. Son armée, appelée, Saraiya al-Quds, se compose de quelques 15’000 troupiers. Bien que ce groupe soit militairement moins bien fourni que le Hamas, il prend une part prépondérante dans la montée de la violence contre l’État hébreu. Ces dernières années, les attaques de roquettes viennent de sa part. Le Jihad islamique est connecté à l’Iran par une relation doctrinale, telle que façonnée par son fondateur, Fathi Shakak , ayant pris l’Iran, sous la houlette de l’ayatollah Khomeini, comme phénix idéologique. Militairement tributaire de ce pays, le djihad islamique ne peut donc que lui emboîter le pas. Malgré le serrement financier exercé par le président Trump envers la République des Mollahs, entraînant pour cette dernière un manque de ressources pécuniaires, Khamenei, le chef de cette organisation terroriste est résolu, même dans une moindre mesure, à soutenir le terrorisme.

    L’iran se sert d’une large gamme de ressources financières pour pourvoir le djihad islamique et le Hamas du nécessaire monétaire pour mener à bien leurs «opérations».

    Un des modes de financement promu par l’Iran, c’est d’utiliser l’organisme de bienfaisance al-Ansar, affilié au djihad islamique, qui, créé en 2001, sert  de canal de distribution de fonds vers la bande de Gaza et de la Judée Samarie où se cultive le martyr. Un haut responsable de al-Ansar a révélé en 2019 que l’Iran octroyait une récompense trimestrielle en espèces à 9000 familles de Shahid (martyr en arabe) ayant du sang sur leurs mains.

    Le Comité d’assistance de l’Imam Khomeini permet aussi à l’Iran d’encourager le terrorisme dans la bande de Gaza. D’ailleurs la branche libanaise de ce comité a été répertoriée sur le relevé des sanctions prises par le Américains en 2010 à l’encontre de celle-ci, car il s’est avéré qu’elle était devenue la source pécuniaire pour le Hezbolah. Ce comité nourrit aussi de façon régulière la bande de Gaza daide humanitaire. Dans d’autres endroits au Moyen-Orient, des relations entre les gardiens de la révolution et les entités terroristes ont été divulguées par les médias iraniens. Ils étalent le fait que les membres du comité d’assistance de l’Imam Khomeini font ripaille pour fêter la fin du mois Ramadan marqués par des attentats dans l’enclave gazaoui.

    Un autre pourvoyeur de fonds est le Croissant rouge iranien. Sous le couvert de l’aide humanitaire, celui-ci alimente régulièrement la bande de Gaza. Toutefois, au vu de son passé au sein des services des gardiens de la révolution, on est certain que l’Iran s’en sert pour le trafic d’armes ainsi que pour subvenir financièrement aux besoins des groupes émeutiers opérant dans l’enclave gazaoui.

    L’Iran profite pareillement des bureaux de change situés dans la bande de Gaza pour renflouer les auxiliaires du terrorisme. Lors des flots d’agression qui sont survenus entre Israël et le Hamas en mai 2019, un commandant de la branche militaire de ce dernier, les brigades Izz al-Din al-Qassam, nommé Hamed al-Khudria, a été liquidé par l’État hébreu. Israël a alors rendu public que ce commandant détenait la société d’échange al-Wafaq qui a été considérée en juin 2018 comme une organisation terroriste. Le sus-nommé avait viré des sommes importantes, et en cash, au Hamas, au Jihad islamique et à d’autres entités terroristes opérant dans la bande de Gaza.

    Ses derniers temps, Israël a condensé ses efforts pour réduire les forces d’influence iraniennes au nord mais a dû en même temps empêcher la mainmise de l’Iran sur l’enclave gazaoui. Contenir le volume financier et militaire du djihad islamique va dans le sens des préoccupations d’Israël et des États-Unis. A cet effet, l’Oncle Sam a classé le groupe djihadiste comme terroriste étranger, ce qui lui alloue le droit juridique de leur enlever toute action financière.

    Vu les obstacles qui se dressent sur le chemin des pénalités financières à l’encontre du Croissant-Rouge iranien, il estde plus en plus nécessaire que Israël et les États-unis s’activent pour faire changer le comportement des pays qui sont réfractaires à l’idée de contrôler le Croissant-Rouge iranien et à limiter ainsi ses visées extrémistes. De plus, les services secrets de ses deux pays devraient tirer bénéfice des faits qui prouvent l’implication du régime des Mollahs dans une institution qui sous couvert d’une soi-disant bienfaisance sème la terreur au Moyen-Orient.

    De même convient-il de rappeler que l’utilisation de l’argent charitable pour aider certains arabes palestiniens a provoqué par l’intermédiaire des réseaux sociaux des révoltes de rue en Iran et a rendu vulnérable le régime iranien.

    (source : JForum)

    David Frenkel

     

  • Il y aurait pourtant de quoi tourner un président jupitérien en saturnien...

    Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé jeudi dernier la construction de milliers de nouveaux logements dans deux quartiers de la partie orientale de Jérusalem, dont 1000 pour les arabes. La réaction du Quai d’Orsay ne s’est pas fait attendre, de même que celle du ministère allemand. Le porte-parole français a déclaré que "La colonisation est illégale sous toutes ses formes au regard du droit international, et remet en cause sur le terrain la solution des deux États". La chancellerie allemande s'est dite quant à elle fortement préoccupée.

    Dois-je rappeler que  Jérusalem est juive depuis 3000 ans ? Et voici un peu d’histoire pour les nuls : grâce aux archives de l’INA1), on peut revenir sur l’épisode oublié par ceux qui réclament la partition de Jérusalem.

    La Palestine n’a jamais appartenu aux Arabes. A la suite de l’occupation turque de la Palestine entre 1291 et 1917, les Anglais occupèrent à leur tour ce territoire. Dés 1920, et malgré la promesse faite aux juifs de créer un foyer national en Palestine par la déclaration Balfour, ils offrirent aux Hachémites la partie orientale de la Palestine à l’Est du Jourdain pour créer un état arabe : La Jordanie --- question du rédacteur : quelle différence du point de vue ethnique entre un jordanien et un arabe palestinien ?---. Entre 1920 et 1947, toujours malgré la promesse faite aux juifs, les Anglais entreprirent une politique limitatrice de l’immigration juive alors qu’ils laissèrent les arabes en provenance de Syrie, du Liban et de TransJordanie s’installer à l’ouest du Jourdain et à Jérusalem. Après la guerre et ses horreurs, et jusqu’en 1948, les Anglais continueront d’empêcher les rescapés des camps  de venir se réfugier en Palestine. Ils les parqueront dans le camp de concentration de Framagouste à Chypre, ou les ramèneront en Allemagne au camp de Poppendorf.  Les mouvements de résistance juifs en Palestine œuvreront avec  héroïsme contre les troupes d’occupation britanniques . Les Anglais dos au mur en Palestine sont contraints de partir, et après le vote de l’ONU du 29 novembre 1947 validant le partage de la Palestine entre un état juif et un état arabe--- note du rédacteur : et qui aurait très bien pu devenir un deuxième État palestinien, nommé cette fois"Palestine"---, dés le 11 décembre 1947, les actualités révélèrent que la population arabe a réagi violemment, que des troubles ont éclaté à Jérusalem. Et que la population des quartiers juifs a commencé à fuir.  La terreur arabe contre les juifs est à son comble et Le 4 mars 1948, à Jérusalem un attentat visant des juifs fait 50 morts et 120 blessés. Les juifs proclament leur État en Palestine le 14 mai 1948 et  5 armées arabes se mettent en route pour détruire le jeune état juif. La guerre fait rage, et le 17 juin 1948, Jérusalem est prise par les jordaniens.   La vieille ville de Jérusalem qui abrite tous les lieux saints chrétiens, musulmans et juifs restera sous occupation jordanienne jusqu’en 1967. De nombreuse églises furent saccagées et toutes les synagogues furent détruites, tous les juifs furent chassés alors qu’ils étaient là d’une manière ininterrompue depuis 3000 ans. Depuis 1967, la population arabe de Jérusalem est passée de 70 000 à 275 000; la ville réunifiée, les lieux saints sont administrés par les autorités religieuses respectives et tous les croyants peuvent prier en Paix sous la protection de l’armée israélienne.

    Alors, déclarer que Israël colonise Jérusalem-Est est une ineptie de grande envergure.

    L’État hébreu n’est de toutes façons, et pour cause, pas inscrit sur la liste des états coloniaux de l’ ONU. Par contre la France y figure et est même le premier État colonial en termes de population colonisée (544 685), répartie sur deux territoires : la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie. C'est donc l'hôpital qui se fout de la charité !!!

    Le Président français ferait mieux de s’occuper du petchi chez lui que de s’immiscer dans l’urbanisme israélien. Ces quartiers entiers dont la France perd le contrôle, ces gilets jaunes qui ne cessent de voir rouge, ces 34 %  juifs qui s’y sentent menacés2), et cela sans parler du scandale Halimi3), et cette explosion de la criminalité, et de la délinquance dans la France 20204) auraient pourtant de quoi tourner un président jupitérien en saturnien.

    Quant au gouvernement allemand, qu’il s’occupe de ses vieux démons qui continuent de l’agresser avant de se préoccuper d’un État créé en amont de la Shoah, un génocide dont il ne peut se débarrasser.

    1)http://bernarddarmon.unblog.fr/2011/02/24/quand-les-juifs-palestiniens-etaient-chasses-de-jerusalem/

    2)http://www.leparisien.fr/societe/antisemitisme-34-des-juifs-de-france-se-sentent-menaces-20-01-2020-8240382.php

    3)https://ripostelaique.com/sarah-halimi-un-scandale-judiciaire-detat-qui-prend-de-lampleur.html

    4) https://www.dreuz.info/2020/02/12/france-2020-explosion-de-la-criminalite-et-de-la-delinquance/ ethttps://www.lefigaro.fr/actualite-france/plus-de-120-agressions-a-l-arme-blanche-ont-lieu-chaque-jour-en-france-20200216