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  • Jésus serait né en Cisjordanie...

    Lu sur TDG.CH, 24H.CH, 20Minutes.CH, LeMain.CH :

    un article copié/collé de l'AFP, intitulé

    Tsahal déploie des renforts en Cisjordanie

    « ...Côté israélien, les réactions sont tout autres. «L'Histoire a frappé à nos portes hier soir pour nous donner une opportunité unique d'appliquer la loi israélienne dans les implantations en Judée et Samarie», nom donné à la Cisjordanie par les autorités israéliennes... »

    STOP AU "FAKE NEWS", Ce ne sont pas les autorités israéliennes qui ont donné la nom de Judée Samarie à la Cisjordanie !!!

    Toutes personnes au courant tant soit peu de l’histoire sait que les deux territoires sont ceux des deux royaumes bibliques issus du schisme survenu après la mort du roi Salomon, qui donna le royaume de Judée, dont la capitale est Jérusalem, et le royaume d’Israël dont la capitale est Samarie (Shomron).

    Dans les récits de l’enfance de Jésus, les évangélistes Matthieu et Luc, indiquent que la naissance a eu lieu «à Bethléem en Judée, du temps du roi Hérode» (Mt, 2,1)

    Le terme « Cisjordanie » a été inventé par la Jordanie en 1950, après qu’elle a occupé illégalement puis annexé le territoire appelé depuis la nuit des temps Judée Samarie. Il était aussi utilisé par toute la communauté internationale jusqu’à l’occupation jordanienne de 1950 et même le plan de partage onusien de 1947 n’a jamais parlé d’un territoire s’appelant « Cisjordanie »!

    Rappelons aussi que la Jordanie, en plus de renommer ce territoire, a expulsé tous les Juifs qui y habitaient depuis plus de 3000 ans !!!

    Aussi cité-je un autre passage de l’article incriminé :

    .Or mercredi soir, après ces manifestations, l'armée a annoncé de nouveaux renforts, avec des «troupes de combats supplémentaires», en Cisjordanie mais aussi près de la bande de Gaza, territoire palestinien contrôlé par les islamistes du Hamas et sous blocus israélien.

    Que ceux qui sont censés  manier correctement la langue française me disent si un embargo décrété sur les matières premières , pouvant servir à attaquer un pays qui s'est retiré du territoire qu'il occupait, est un blocus ? Des dizaines de camions israéliens passent quotidiennement la frontière d'Eretz pour alimenter Gaza et nombre de Gazaouis franchissent cette frontière pour se rendre en Israël et y travailler !

    Au vu de ce qui précède, on constate hélas que les journaux rachetés par Tamedia, en ne respectant pas la déontologie telle que définie au point 5 de la charte des Droits et devoirs du journaliste Rectifier toute information publiée qui se révèle matériellement inexacte, deviennent les suppôts de la désinformation, du mensonge et de la propagande. Et chose curieuse, seulement lorsqu'il s'agit d'Israël, ce seul pays démocratique du Moyen-Orient, guère plus grand que deux départements français ! La presse, en général,  a pleuré la Shoah, pourtant, à travers les menteries qu'elle distille régulièrement, elle donne matière, à ceux qui désirent exterminer un peuple millénaire. Et où sont donc passées la neutralité et l'objectivité de cette presse suisse romande qui fut le fleuron de l'information jusqu’à sa restructuration ? On peut d'ailleurs aussi le déplorer quand on constate comment elle traite de manière uniforme et partisane l’actualité ayant trait à Donald Trump et au réchauffement climatique, pour ne citer que ces derniers. Non, les mesures dont la majeure partie de la presse en Romandie a été l'objet ne doivent pas servir de prétexte pour se prêter aux falsifications historiques et factuelles !

    Puisse Tamedia prendre conscience qu’il est nécessaire d'engager des journalistes qui, tout en se basant sur les textes des agences AFP et ATS, écriraient des articles honnêtes. A défaut, les responsables des sites, et pour ce qui est de l'actualité internationale, se voient dans l’obligation de faire recopier par leurs employés in extenso1) et sans critique, les écrits desdites agences. Ce n’est pas la meilleure façon de promouvoir les journaux numériques du plus grand groupe des médias privés auprès du public.

    Je crains hélas que se soit un vœux pieux, et que nous, lecteurs romands, pour être au courant de l’actualité, nous devrons à l’avenir circuler sur sur des sites probes, rendant compte de faits avérés et qui n'ânonnent pas la propagande orchestrée par un conformisme qui fait florès.

    David Frenkel

    1) Le journal LeTemps, lui, qui a aussi recopié l'article de l'AFP, a mis le point final bien avant. Ainsi, ses lecteurs n'ont pas eu connaissance des passages mensongers.



  • Les ornières de la liberté

    Le refus d’ouvrir l’esprit à une certaine réalité, même si cela contredit les pensées que l’on croyait immuables, le refus de se remettre en question sur des positions influencées par l’éducation, par le dogme, qui contredisent les faits avérés, le refus engendré par l’exécration envers un mode de vie, envers une religion, ou envers ses semblables, conduisent tous vers l’obstination à ne pas reconnaître une évidence qui s’apparente de près ou de loin à celle des détracteurs de Galileo Galilei (1564-1642) au temps d’une Église rétrograde et immobiliste. Condamné par le Pape URBAIN VIII pour avoir prétendu que la terre est en rotation autour du soleil, on prête à Galilée cette phrase : « Et pourtant, elle tourne ». On pourrait donc comparer cette obstination à celle de Donald Trump qui contre vents et marrées a déclaré mardi passé que Israël est la patrie historique du peuple juif, que Jérusalem, la cité bâtie par le roi David, est la capitale indivisible de l’État d’Israël. Et a-t-il ajouté : « Personne, ni juif ni arabe ne sera dépossédé de sa maison ». Cependant, a-t-il martelé, "la création d’un État palestinien dépend de l’acceptation par le Hamas et par l’Autorité palestinienne des droits du peuple juif sur la terre de leurs ancêtres". Alors, comme Galilée, et malgré les cris d’orfraie poussés par la bien-pensance internationale, abreuvée goulûment au déni d’un peuple millénaire, Trump pourrait dire : « Et pourtant, elle, la Terre promise tourne autour d’Israël.

    A bon entendeur, salut !

  • Que les choses soient dites

    Ne pas publier les arguments des commentateurs qui contredisent l’auteur d’un article publié sur ce blog, est contraire à l’esprit d’ouverture au débat qui devrait animer le blog de la TDG. Tant que le débat ne dépasse pas les limites de la correction, le censurer est contraire à la bienséance. Or, quelques auteurs, ici, n’acceptent pas la contradiction, malgré le fait que le billet soit ouvert aux commentaires. Et je ne parle pas des blogueurs qui bannissent certaines adresses IP quoique qu’aucune impolitesse n’est à mettre à charge des propriétaires de l’adresse. Et cela est d’autant plus grave si leur article sert de défouloir à ceux qui véhiculent des mensonges éhontés sur Israël et banalisent tant soit peu la Shoah, cela en enfreignant l’art. 261 bis du Code Pénal Suisse, et que l'on donne pas à certains le droit de les démentir. Aussi profité-je de la parole qui m'est obligeamment donnée ici pour renvoyer les lecteurs aux liens suivants :

     
    Également ne résisté-je pas à faire partager ceci par ceux qui prennent appui sur le socle palestinien pour déverser la diatribe anti-israélienne, voir, anti-juive :
     
    Publié par Eber Haddad le 30 janvier 2020
     

    Quelle partie du mot « NON », tous ceux qui ont été inconditionnellement du côté de l’état... de Palestine, n’ont-ils pas compris ? Les Européens en tête…

    Depuis 1947, les Arabes ont systématiquement dit « NON » à toute tentative de paix, en 1956 après la « guerre de Suez », en 2000 à Camp David avec Ehud Barak, très conciliant premier ministre israélien, et un Bill Clinton très accommodant à l’endroit de Yasser Arafat, en 2001 à Taba, en 2008 avec Olmert, pourtant prêt à tout leur concéder, à John Kerry qui était franchement de leur côté, à toutes les différentes démarches que ce soit à Madrid ou à Dayton dans l’Ohio, et surtout trois fois « NON » en 1967, quand les ennemis d’Israël contre qui ils venaient de perdre la « guerre des six jours »,... ont carrément déclaré, suite à un sommet de la Ligue arabe dans la capitale soudanaise, « NON à la paix avec Israël, NON à la reconnaissance d’Israël et NON à la négociation avec Israël », les « fameux trois NON de Khartoum ». On ne peut être plus clair !

    Mais pourquoi donc les... Palestiniens... s’entêtent-ils à dire NON à toute initiative de paix d’où qu’elle vienne et quelles que soient les clauses ou les conditions alors qu’ils n’arrêtent pas, dans leur double langage, de dire le contraire ? C’est pourtant clair et simple à celui qui veut bien se donner la peine d’écouter et de comprendre. Pour les  Palestiniens , la Paix veut dire la disparition d’Israël, pas autre chose. Pour les « extrémistes » du Hamas c’est « tout et tout de suite » et pour les « modérés » d’Abbas c’est après des « négociations » qui ne prendraient en ligne de compte que leur diktat des lignes de 1967 et après le retrait dans des territoires indéfendables, ils exigeront cette disparition à leur tour, une sorte de politique par étapes. C’est juste une question de forme, le fond est le même. Ce sont les deux faces d’une même pièce, les uns par la lutte armée, les autres par la diplomatie. Ils n’ont jamais eu d’autres intentions. Il n’y a qu’à voir leur charte, lire les déclarations ou écouter les discours faits à usage interne pour comprendre enfin que le mot « paix » a une tout autre signification pour eux que pour le reste du monde. Le seul reproche qu’on puisse faire à Israël et au « gouvernement d’extrême-droite » ou encore de « faucons » de Netanyahou, est de ne pas être suicidaire et de refuser d’être rejeté à la mer.

    Et comme d’habitude, en 2020, ils diront encore NON à l’initiative de Trump, mais cette fois-ci de manière différente, en l’insultant et le traitant de « chien et de fils de chien », mais le résultat sera le même. Il y a quand même une différence de taille. Cette année, l’Arabie saoudite, l’Égypte, les Émirats Arabes Unis, Bahrain et le Qatar acceptent ce plan et c’est un tournant. La Jordanie, par la voix de son roi Abdallah, fait semblant de le rejeter avec véhémence, mais pense exactement la même chose ! La Jordanie fait et à fait dans le passé pression sur Israël pour qu’elle garde sa frontière commune sur le Jourdain afin de s’éviter des problèmes. La Monarchie hachémite tient à sa pérennité et sait très bien que si elle devient frontalière d’un « état palestinien », elle sera balayée comme elle a failli l’être en septembre 1970, le funeste septembre noir. Il ne reste plus dans les camps du NON que trois pays, en proie à des troubles ou des guerres civiles plus ou moins larvées et tous trois sous l’emprise des Mollahs de Téhéran : la Syrie, l’Irak et le Liban.

    Il ne faut donc pas retenir son souffle. Le chef de gang, Mahmoud Abbas, Abbou Mazen pour les intimes, sera un négationniste une fois de plus et rejettera ce nouveau plan comme, avant lui, Arafat et ses sbires, l’ont déjà fait à maintes reprises pour le plus grand malheur de la région et surtout des Arabes de Palestine qui n’ont toujours eu que des corrompus pour les diriger.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eber Haddad