dfrenkel

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

UN PEU DE TOUT - Page 179

  • Aleksander Ford (I) à suivre

    Aleksander Ford, un cinéaste atypique. (texte tiré et adapté d'un écrit d'Ada Shlaen, MABATIM INFO) 1/2

    Avant-propos

    Les juifs qui avaient élus domicile en Pologne à la veille de la première guerre mondiale vivaient dans un pays irréaliste. Depuis la fin du XVIIIe siècle la Pologne ne figurait pas sur les cartes du monde. Entre 1772 et 1795, l’Autriche, la Prusse et la Russie, s’étaient partagés le territoire polonais. Les juifs, vivaient alors, en grande majorité, sous l’autorité de monarques de l’empire russe; ils les avaient été dépossédés des droits qu’ils avaient sous le Royaume de Pologne jusqu'à ce qu'il fut occupé. Lorsque la Pologne retrouva son indépendance après 1918, l’hostilité à l’encontre des juifs, dont la population s'élevait à environ 3 millions et demi d'habitants, généralement pauvres, perdurait. Un exemple : leurs noms de famille souvent grotesquement travestis les mettaient en marge de la société polonaise. Cependant, et malgré ces avatars, certaines personnes arrivaient à se frayer un chemin dans cette société. Ils convertissaient leurs noms à consonance juives en noms slaves. Ainsi, par exemple, un metteur en scène au nom d'origine Moysche Waks changea son nom en Michal Waszynski. Ce dernier, auteur d'une quarantaine de films, principalement comiques et mélodramatiques, qui enrichissaient la production nationale polonaise d'un quart, gagnait une notoriété auprès du public. En 1937, Waszynski tourna le film Dibbouk qui est encore aujourd'hui un des fleurons du cinéma. Dans la lignée des juifs polonais dont les noms ont été slavisés, citons Les cousins Lesman, les poètes Bolesław Leśmian et Jan Brzechwa. Certains juifs ont choisi de changer leur nom en adoptant un autre n'ayant ni de racine polonaise ni de racine juive. Un jeune homme devenu plus tard célèbre fut un de ceux-là. Né en tant que Moyshe Lifshitz, il choisit de s'appeler Aleksander Ford, nom à consonance anglo-saxonne, car se disait-il, deux personnes bien célèbres le portait, à savoir, un industriel et un cinéaste prénommés respectivement Henry et John; tous deux vivaient aux États-Unis. De plus, en jetant son dévolu sur le prénom Aleksander, le jeune homme se faisait de l'auto-suggestion en se répétant qu'il sera au dessus du lot dans la carrière qui s'ouvrirait à lui.

    Biographie

    Faisons connaissance avec ce Moyshe Lifshitz qui se nomma plus tard Aleksander Ford. Celui-ci était déjà estimé comme un cinéaste talentueux avant la deuxième guerre mondiale. Il avait acquis ses lettres de noblesse une bonne vingtaine d'année après la guerre en tant que « tsar du cinéma polronais ». Sa biographie est entourée de quelques mystères. Si d'aucuns prétendent qu'il est né en 1907, le 24 novembre, plus précisément, d'autres affirment qu'il est né en 1908. Son lieu de naissance varie selon les sources. Varsovie, Kiev et Lodz, Lvov, et même un petit lieu anonyme situé à une des frontières de l'Ukraine de nos jours, sont cités. Ces petites incertitudes allaient de pair avec la nature énigmatique que Moyshe Lifshitz désirait cultiver en soi-même. Étant donné que Kiev est le plus souvent cité comme étant son lieu de naissance, attardons-nous y. Le père Daniel Lifshitz,  quitta kiev lorsque Moyshe, qui faisait partie d'une fratrie de cinq  enfants, était bien jeune. Ouvrier de son métier, le père quitta alors Kiev pour Lodz où un centre d'industrie textile était en plein essor, ce qui valu alors à cette ville le nom "Manchester de l'empire russe". Daniel Lifshit y fut engagé comme contremaître moyennant un bon salaire. Pour l'enfant Moyshe, l'installation de son père à Lodz était prophétique quant à son devenir. En effet, des décennies plus tard, cette ville deviendra le grand centre cinématographique de la Pologne communiste, et acquit une célébrité grâce à sa célèbre École nationale supérieure de cinéma, l'une des plus renommée d'Europe.

    Moyshe Lifshitz dédaignait parler de son enfance. Seuls des fragments de souvenirs s’échappaient de sa bouche. Parlant de son appartement sombre, avec fenêtres au rez-de-chaussée, il raviva le souvenir des pieds de passants qu'il pouvait contempler depuis la fenêtre. Aussi évoqua-t-il un cinéma où il se rendait, dés que son portefeuille le permettait, pour admirer les films muets où les images étaient rythmées par une musique pianistique. Gageons qu'il tombait sur des western de John Ford, son futur homonyme cinéaste... Moyshe Lifshitz narra également qu'il avait suivi un cursus normal de scolarité et avait même débuté un cursus de lycée que son père, Daniel Lifshitz, lui offrait grâce au pécule que ce dernier avait constitué durant des années. Aussi raconta Moyshe Lifshitz : "Mon papa ambitionnait pour ses enfants une vie sans soucis matériels grâce à leur profession de médecin ou d'avocat..." Hélas Daniel Lifshitz ne put vivre la matérialisation de ses ambitions. Il mourut en 1923 quand Moyshe n'avait que 16 ans.

    La mort du père qui ébranla financièrement  toute la famille, obligea le jeune Moyshe à pourvoir à personnellement à ses besoins. Durant un court laps de temps, il travailla dans l'usine où son père avait œuvré de son vivant. Il n'y resta pas très longtemps. Il s'illusionnait en croyant que Varsovie, métropole de la Pologne, serait une aubaine pour lui. Mais il déchantait, car ayant trouvé un emploi chez un propriétaire d'un atelier textile qui connaissait un peu son père, son salaire était moindre que celui qu'il avait à l'usine. Ne se laissant pas abattre, il trouva à être embauché comme colleur de pellicules dans un magasin vendant du matériel pour photos.

    Pourvu du nécessaire, Moyshe Lifshitz suivit durant quelques années les cours à l’École des Beaux-Arts dans l’atelier du professeur Tadeusz Pruszkowski, devenu son maître. Cette école convenait parfaitement à des gens comme lui n'ayant aucun diplôme en poche et qui désirait se cultiver.

    Tadeusz Pruszkowski était issu d'une famille noble et aisée; bien des personnes jalousaient cet homme, héros de la guerre, se pavanant de ses voitures de course et de son propre avion que lui-même pilotait. Tadeusz Pruszkowski était fort apprécié par ses pairs et ses élèves. Promu recteur de l’École des Beaux-Arts en 1930, cette école devint une académie sous sa direction. Personne exigeante, il prenait en considération les pensées d'autrui. Son caractère complaisant et son grand cœur étaient hautement attesté à l'époque. Il assistait de bon gré ses étudiants, et surtout ceux, que comme Moyshe Lifshitz, les aléas de la vie n'épargnaient pas.

    Étudiant imaginatif, Moyshe imaginait une nouvelle perception du cinéma. Ainsi se fit l'auteur d'un mémoire consacré aux influences picturales dans le monde du septième art. Non seulement son mémoire obtint une excellente note, mais elle suscita un grand intérêt de la part de son professeur Tadeusz Pruszkowski. Abordant la manière d'améliorer le cinéma, Moyshe, dans sa dissertation, prônait de ne plus tourner en studio. Il y insistait sur la valeur quantitative de filmer à l'air libre et sur l'emploi d'acteurs amateurs. Par ailleurs, y suggérait-il, les héros doivent être placés dans leur environnement social, tout en ne portant pas de jugement sur leur performance.

    Sa vie durant, Moyshe Lifshitz, alias Aleksander Ford, manquait d'indulgence envers ses collaborateurs et tenait des propos agressifs envers les journalistes critiques. En revanche, il exprimait toujours une affection respectueuse envers son professeur Pruszkowski. Il va sans dire qu'il fut très affecté lorsque celui-ci mourut de manière tragique durant la guerre. Moyshe, étudiant hors norme appréciait à tel point l'atmosphère de l'Ecole des Beaux-Arts qu'il continuait durant longtemps à se divertir dans les associations ou soirées écolières. Moyshe, que ses amis avaient affublé du sobriquet Olek, était loin d'être un éphèbe, mais ne laissait pourtant pas indifférent la gent féminine. C'est lors d'une de ces soirées, qu'il rencontra sa future épouse. Olga Minska, étudiante en histoire de l'art, fille d'une famille juive et assez cossue. D'après ce que l'ont sait, c'était une femme belle et très séduisante. Les deux formaient un  couple aux physiques contrastés.

    Les documentaires qu'Aleksander Ford réalisa (comme nous le verrons plus tard) démontraient son implication dans le domaine social, et c'est ainsi que tout naturellement il se rallia secrètement au parti communiste polonais au début des années 1930. Bien qu'il fut encore interdit, de nombreux jeunes gens comme lui en quête d'un idéal social nouveau en faisaient de même.

    L'enseignant Tadeusz Pruszkowski avait pour coutume de se faire l'hôte, durant l'été, d'un groupe d'étudiants dans sa somptueuse villa située à Kazimierz Dolny. Il les faisait travailler dehors. En 1926 (la date n'est pas certaine), fasciné par Moyshe Lifshitz, étudiant zélé, il lui offrit la possibilité de tourner un film intitulé :  Un pendu heureux ou la Californie en Pologne, aux frais de la princesse. Il alla même jusqu'à le laisser être l'opérateur, le monteur et le scénariste du film. Il va sans dire que Moysche était enchanté de pouvoir travailler sous l’œil attentif de son cher professeur. Cependant, le manque de sérieux de la part de certaines personnes prenant part au film fit qu'il n'eut pas grande audience, loin s'en faut, auprès du public cinéphile. Malgré cela, Moysche Lifshitz ne se laissait nullement abattre. Il remit cela deux ans plus plus tard, en 1928, et réalisa sa première oeuvre cinématographique avec l'aide du professeur Pruszkowski qui s'intéressait de près à cet étudiant qui avait le cinéma dans la peau. Le professeur pris, là aussi, pratiquement à sa charge tous les frais inhérents à la réalisation du court-métrage intitulé "A l'aube". Les critiques, cette fois, complimentèrent l'auteur de l’œuvre pour la singularité du scénario et pour le savoir-faire dans le maniement de la caméra et pour la subtilité du montage. Avec Varsovie à l'aube comme décor, le film tourne autour des gens de basse condition. D'un rythme rapide le film pointe sur leur mal de vivre. Cette tendance à filmer le bas-peuple confronté à l'anonymat des grandes villes industrielles, on le retrouve dans les deux films réalisé par Aleksander Ford en 1930 : Le "Pouls du Manchester polonais", tourné à Lodz, la ville de son enfance, et dans la "Naissance d'un journal. Grâce au succès-critique que son premier court métrage remporta, Aleksander Ford aspirait à court terme réaliser son premier long métrage. Il n'attendit pas longtemps. Déjà en 1930 il réalisa un vrai film intitulé "la Mascotte" qui narrait l'histoire d'un joueur endurci à qui fut échu une statuette, un objet de sortilège d'amour et de jeu. Cela fut l'occasion pour Aleksander de mettre dans le film en exergue, et sous des angles différents, les différents quartiers de la capitale dont il était familier. Hélas, ce film, comme la plupart des films qu'Aleksander conçus dans la Pologne des années d'avant-guerre se perdirent durant cette période troublée. Seules perdurent quelques photos de l'acteur principal Jerzy Dal-Atan, ô combien photogénique. Après ce film, Aleksander tourna "la Légion de la rue" en suivant les règles qu'il avait édictées dans son mémoire de diplôme. Le film connut un formidable succès. Ce film parlait de l'existence des jeunes vendeurs de journaux qui pour en vendre devaient, lors de la parution d'une nouvelle édition, supplanter les autres collègues en se montrant le plus rapide. Certains étaient  même amenés à prendre des risques insensés. Le héros du film Jozek songeait à avoir une bicyclette afin de pouvoir prendre les autres vendeurs de vitesse. Il désirait tant pouvoir subvenir aux frais de traitement de sa mère malade. La fin heureuse du film le voit gagner l'objet tant convoité lors d'un  concours organisé par un journal. Ce film parlé qui ne ne tenait pas en place, qui talonnait les personnages joués par des acteurs amateurs et qui avait de l'allure, était à mille lieux des scènes immobiles filmées dans un studio avec des acteurs connus. Durant les années 1930, Aleksander Ford employait déjà les techniques néoréalistes que les réalisateurs italiens avaient mis en place après la guerre. Aussi bien les critiques que les spectateurs étaient conquis par ces innovations. Le film fut distingué par un jury de professionnel comme étant le meilleur de l'année.

    A suivre

    David Frenkel

     

     

     

     

     

     

  • Nouvelles précisions sur les fraudes électorales américaines {XV}, DES FAITS RIEN QUE DES FAITS s/Dreuz Info

     Souffrez que je vous dise :

    I) Une grande victoire pour le président Trump : La Cour suprême du Wisconsin décide que les bulletins de vote arrivés après le jour du scrutin ne seront pas pris en compte.

    II) Accrochez-vous : voici le rapport de l’expertise légale des 16 machines de Dominion Voting Systems dans le comté d’Antrim, Michigan :

    1. « Nous concluons que le système de vote de Dominion est intentionnellement et délibérément conçu avec des erreurs inhérentes pour créer une fraude systémique et influencer les résultats des élections ».
    2. « Le taux d’erreur électorale admissible établi par les directives de la Commission électorale fédérale est de 1 sur 250 000 bulletins de vote (.0008%). Nous avons observé un taux d’erreur de 68,05 %. Cela démontre une erreur significative et fatale en matière de sécurité et d’intégrité des élections ».
    3. « Un nombre stupéfiant de bulletins de a nécessité un jugement [par un adjudicateur]. Il s’agit d’un problème qui n’a pas été observé lors des précédents cycles électoraux, lesquels étaient toujours stockés sur le serveur … Les erreurs intentionnelles ont conduit à un jugement en masse des bulletins de vote sans aucune surveillance, sans transparence ni signe d’audit.
    4. « Il est significatif que le système informatique montre les journaux d’adjudication des votes des années précédentes ; mais toutes les entrées du journal d’adjudication pour le cycle électoral de 2020 sont manquantes. Le processus d’adjudication est le moyen le plus simple de manipuler manuellement les votes ».
    5. « L’absence de registres [pour l’élection de 2020] empêche toute forme d’audit, et leur absence manifeste est extrêmement suspecte puisque les fichiers existent pour les années précédentes en utilisant le même logiciel ».
    6. « La suppression de ces dossiers viole la loi de l’État et empêche un audit significatif, même si le secrétaire d’Etat voulait effectuer un audit. Nous devons conclure que les dossiers du cycle électoral de 2020 ont été supprimés manuellement ».
    7. « De même, tous les journaux de sécurité des serveurs antérieurs à 23h03 le 4 novembre 2020 sont manquants. Cela signifie que tous les journaux de sécurité pour le lendemain de l’élection, le jour de l’élection et avant le jour de l’élection ont disparu ».
    8. « D’autres journaux de serveur avant le 4 novembre 2020 sont présents ; il n’y a donc pas d’explication raisonnable pour que les journaux de sécurité soient manquants ».
    9. « Nos conclusions montrent que les totaux de la bande de tabulation du canton de Central Lake ont été modifiés de manière significative en utilisant deux versions différentes du programme (10/23/2020 et 11/05/2020), qui étaient tous deux des modifications logicielles apportées lors d’une élection, en violation de la loi électorale, et pas seulement une erreur humaine associée au système de gestion des élections du Dominion. « 
    10. « Ces changements de système affectent la façon dont les bulletins de vote sont lus et tabulés, et notre examen a démontré un changement significatif dans les résultats des électeurs en utilisant les deux programmes différents. »

    III Les Démocrates ont triché dans leur propre élection primaire ! Un audit du Parti Démocrate de l’Iowa a révélé des ingérences illégales du Comité national Démocrate et des fautes du Parti Démocrate de l’Etat, qui ont torpillé les caucus de l’Iowa au début de l’année, rapporte Politico.

    IV Sherikia Hawkins, 38 ans, secrétaire municipale de la ville de Southfield, a été arrêtée lundi après que le bureau du greffier du comté d’Oakland ait remarqué des divergences dans le décompte des électeurs alors qu’elle certifiait des bulletins de vote par correspondance provenant de Southfield. La police d’État a enquêté et a découvert que les dossiers avaient été modifiés de sorte que près de 200 dossiers d’électeurs ont été incorrectement répertoriés comme non valables. (lire l'article complet sur https://www.dreuz.info/2020/12/15/une-petite-star-du-parti-democrate-arretee-pour-6-cas-de-fraude-electorale/

    V  Voilà le genre d’inventaire chiffré et clair dont les anomalies sautent aux yeux, et que la campagne Trump aurait dû entreprendre dès le 4 novembre, et qu’il doit conduire sur l’ensemble des Etats clés pour exposer la fraude aux yeux du monde. Là, il s’agit d’une fraude pour un candidat Démocrate dans un Etat républicain.

    Sur 119 des 120 comtés du Kentucky, Amy McGrath, une Démocrate qui devait absolument vaincre Mitch McConnell aurait obtenu PLUS de voix que Joe Biden.

    Et dans 99 % de ces comtés, les électeurs se seraient rendus dans l’isoloir et auraient voté pour Amy McGrath ET pour Trump ? Vraiment ? Un électeur de Trump qui vote pour la candidate Démocrate en bas de la page, et pas pour McConnell ? C’est une fraude qui n’a pas fonctionné, McConnell a largement gagné, mais l’anomalie est trop 

    dans une vidéo prise à son insu, la responsable des dépouillements des bulletins de vote dans un comté du Michigan dit aux employés de compter comme valides des bulletins de vote par correspondance qui ont tous la même signature. 

    https://twitter.com/i/status/1340259915726774273

     

  • La tricherie et la duperie du Parti démocrate américain

    A ceux qui forment leurs pensées d’après la presse écrite et audiovisuelle qui a pignon sur rue,  j'aimerais attirer leur attention sur ceci:

    Le New-York post dans un article paru vers la mi-octobre a publié les e-mails selon lesquels Joe Biden aurait aidé le groupe gazier ukrainien Burisma à échapper à des enquêtes pour corruption. Hunter Biden a siégé de 2014 à 2019 au conseil de surveillance de la société. Les directeurs des médias sociaux et tous les médias ont alors censuré l'article, au prétexte que ces e-mails devaient d'abord faire l'objet d'une vérification quant à leur authenticité. Seuls Fox News, et quelques informateurs se firent un devoir de porter les accusations à la connaissance du public. Toutefois, dernièrement, et de manière étonnante, New-York Times a tourné casaque et a révélé l'affaire 1). Il va sans dire que d'autres ont suivi aux États-Unis et à l'étranger. Mais pourquoi'un tel revirement ?  selon un article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 11 décembre, d'après Monica Showalter dont elle se fait le porte-parole, si les démocrates avaient décidé de présenter Kamala Harris, la vice-présidente nouvellement nommée, comme candidate face à Donald Trump, ils auraient subi un échec. Il ne faut pas oublier que la dame a été procureure de l’État de Californie et qu'à l'époque, elle a été souvent impitoyable avec des membres des minorités ethniques, et nombre de noirs et d’Hispaniques ne l'ont pas oublié, eux qui lors des primaires démocrates, n'ont pas voté pour Kamala Harris. Par ailleurs après avoir soutenu les émeutiers lors des violentes manifestations mises sur pied par Antifa, et prétendant que ce groupement collectif fait partie d'une "coalition de conscience", elle risquait de se mettre également à dos les électeurs modérés dont le Parti démocrate auraient eu besoin pour remporter l'élection. D'ailleurs, sa campagne lors des élections primaires démocrates a été un fiasco. Il était donc hors de question qu'elle se présente face à Trump. ils se sont donc rabattu sur Joe Biden, un homme diminué 2) . Maintenant, que celui-ci aurait été élu (mais attendons encore, les avocats de Trump n'ont pas encore dit leur dernier mot), le Parti Démocrate cherche à faire entrer Kamala Harris, qui est plus en accord avec la ligne gauchiste du parti. Et quoi de meilleur pour cela que la divulgation au grand jour de la corruption de Joe Biden, qui servira de bon prétexte pour lui demander de se retirer, en mettant toutefois officiellement en avant qu'une maladie nouvellement déclarée ne permet plus à ce dernier d'exercer ses fonctions présidentielles. Joe Bien n'a-t-il pas déjà d'une certaine façon préparé le terrain en déclarant lorsqu'on l'a interrogé sur les points de désaccords entre lui et Kamala Haris, je cite : "Comme je l'ai dit à Barack, si j'arrive à quelque chose où il y a un désaccord fondamental que nous avons basé sur un principe moral, je développerai une maladie et je dirai que je dois démissionner"4)

    Pointons donc sur la manœuvre subreptice du Parti démocrate. Non seulement ce parti a triché en mettant en place comme Joe Biden l'a dit lui-même, l'organisation de la fraude électorale la plus étendue 3), mais encore a-t-il roulé dans la farine ceux qui ont cru voter pour "Sleapy Joe", alors que sans le savoir ils ont porté Kamala Harris au pouvoir.

    David Frenkel

    1) Voici un extrait de l'article : L’enquête sur son fils risque de pendre au-dessus de la tête de Joe Biden alors qu’il prend ses fonctions: À moins que le Département de la justice du Président Trump innocente Hunter Biden, le nouveau président sera confronté à la perspective de voir sa propre Administration s’occuper d’une enquête qui pourrait exposer son fils à des poursuites pénales ». 

    2) https://www.fr24news.com/fr/a/2020/09/un-ancien-stenographe-de-la-maison-blanche-dit-que-biden-a-perdu-un-pas.html

    3) https://t.co/Wp4s5bGGcI

    4) https://twitter.com/i/status /1320117044612943872.