Ashraf Jabari, un businessman et homme politique arabe palestinien résidant à Hébron, en Judée, a jeté un pavé dans la marre lorsqu’il a souligné que le responsable de l’empêchement de la paix avec Israël est l’Autorité palestinienne.  « Les hôpitaux palestiniens, a-t-il notamment déclaré, n’ont pas atteint le point de rupture, même si, à ma grande consternation, aucun nouvel hôpital n’a été construit depuis les accords d’Oslo de 1993… Malgré les fonds internationaux, seul 30 % sont affectés pour améliorer le niveau de vie des palestinien, les 70% où vont-ils , s’est-il demandé.»

C’est pourquoi lorsque l’administration Trump a suspendu les subventions destinée à l'Autorité siégeant à Ramallah, Jabari, n’en a eu cure. Car ces subventions n’aidaient pas substantiellement ceux qui en avait vraiment besoin. Aussi Jabari souhaite-t-il que l’Union européenne procède à un audit quant à l’utilisation des fonds qu’elle verse. Il prononça donc ce discours surprenant dans la bouche d’un politicien arabe palestinien : « L’Autorité palestinienne, boycotterait tout accord avec Israël, y compris les accords d’Abraham, qui normaliserait les relations avec Israël et aiderait le peuple palestinien dans son ensemble. Ils gagnent de l’argent grâce au conflit.C’est beaucoup d’argent dans leur poche. Ils ne sont pas prêts à résoudre les problèmes. Ils ne sont pas prêts à parler de ce qui aidera les Palestiniens. Nous voulons vivre en paix avec tous les Israéliens , et ce qui aide les Palestiniens, c’est une économie forte. »

Au vu de ce qui précède, on peut effectivement s’étonner que nombre de pays donateurs (Suisse incluse) ne s’inquiètent guère de l’usage que fait l’Autorité palestinienne des sommes astronomiques qui lui sont régulièrement octroyées.

Le même étonnement devrait être de rigueur en ce qui concerne les fonds alloués au groupe terroriste Hamas qui dirige la Bande de Gaza.

Source :https://cqvc.online/

David Frenkel

Le Time Magazine vient de publier un reportage édifiant  et circonstancié sur la manière dont les Démocrates se sont pris pour ourdir les mailles d'un stratagème visant la non-réélection de Donald Trump. Des groupes d’activistes gauchistes aux médias mainstream et sociaux, et en passant par les grandes sociétés commerciales américaines, tous y ont largement contribué.

Le Times a admis qu’il s’agissait d’une «machination», d'une « alliance entre des militants de gauche et des titans du monde des affaires ».

Le reportage détaillé du Time est un véritable aveu de fraude électorale.

En effet, le Time concède que la stratégie consistait à surfer sur le coronavirus, à utiliser à bon escient le vote par correspondance, à changer à la dernière minute  les lois électorales, à grandement financer ceux qui soutiennent le dessein conspirateur mis en place et de faire appels à la presse écrite et audio-visuelle ainsi qu'au réseaux sociaux pour  taire ou faire taire tout soupçon de fraude.

voir l'article en anglais : https://time.com/5936036/secret-2020-election-campaign/

voir aussi : https://www.youtube.com/watch?v=iwcuz-njxxI&feature=emb_logo,
c'est édifiant...

Par ailleurs, la presse est en grave décalage avec l'opinion publique américaine jugeant Joe Biden. Lors d'une allocution préenregistrée télévisée qui a été présentée en ouverture du match comptant pour le Super Bowl, la compétition la plus prestigieuse des Etats-Unis, et qui opposait Buccaneers de Tanpa Bay et les Chiefs de Kansas City, Joe Biden ont été pris à partie par la majorité du le public.

Dans leur déclaration qui remerciait le personnel de santé sur le front du covid-19, La première dame et le président ont appelé le public a une minute de silence pour les plus de 440 000 personnes qui en sont morts. Or, non seulement, le public ne l’a pas observé, mais le président et la première dame ont été hués lors de leur déclaration.

https://t.co/ZynescZe2U?amp=1

Et encore ceci, pour terminer :

Joe Biden critiqué suite à son commentaire sexiste qu’il a fait lundi à une infirmière lors d’une visite virtuelle d’un site de vaccination à Glendale, en Arizona. Comme les médias ont décidé que Biden est parfait, vous n’en entendrez pas parler.

« Biden a débordé de manière gênante lundi lors d’une vidéoconférence avec des professionnels de la santé en Arizona, au cours de laquelle il s’est arrêté pour complimenter une infirmière pour ses formes et son apparence jeune – et a même déclaré qu’elle ressemblait à une « première année », a rapporté le New York Post.

Biden a fait quelques unes de ses pitreries effrayantes lorsqu’il a répondu à la description détaillée de l’infirmière responsable des injections de COVID-19 en lui demandant son âge ».

David Frenkel