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  • A Gaza, 2 millions de personnes sont pris en otage par le Hamas

    Ce dont on ne parle guère, car on  préfère éluder ce dont on ne peut accuser l’État juif.

    Le groupe terroriste Hamas, classé comme tel par l'Union Européenne, soumet sa population aux pires maltraitances, et cela à tel point que les Palestiniens fuient la bande de Gaza, car ils ont compris que c’est le Hamas, et non Israël, qui est responsable de leur misère. « Au cours des 15 dernières années, le Hamas a mené Gaza de Charybde en Sylla. Les Gazaouis sont devenus l’otage d’un régime islamiste brutal dont les politiques immobilisantes ne servent que les intérêts du Hamas et des pouvoirs islamistes étrangers qui le soutiennent. Si la communauté internationale pouvait aider Gaza à se libérer, elle aiderait les Gazaouis à créer un Dubaï sur la Méditerranée ou un nouveau Singapour », dixit, Ghanem Nusseibeh, un musulman palestinien appartenant à la plus vieille famille arabe de Jérusalem, Al-Arab News, 29 mai 2021.

    De 2014 à 2020, les agences des Nations unies ont dépensé près de 4,5 milliards $ dans la bande de Gaza. Le Qatar a fourni 1,3 milliard de dollars d’aide à Gaza depuis 2012 pour la construction, les services de santé et l’agriculture. Alors, diantre, où est allé tout cet argent ? Si ce n'est pour construire des roquettes et des tunnels d'attaque destinés, comme la charte du Hamas le prône, à annihiler Israël, ou dans les poches de dirigeants corrompus.

    Par ailleurs, Rami Aman, un militant palestinien pour la paix, raconte le calvaire de la torture dans les prisons du Hamas, au cours d'une interview sur le toit de sa maison familiale à Gaza, le 10 février 2021.

    https://unwatch.org/wp-content/uploads/2022/07/rami-aman-1.jpeg

    Le Hamas à Gaza emploie lui aussi de façon régulière la torture. Le militant pour la paix, Rami Aman, détenu par le Hamas pendant plus de six mois en 2020, a parlé régulièrement des tortures que lui a infligé le Hamas. En mars 2019, les forces de sécurité du Hamas ont tabassé à coups de matraques plus de 1 000 personnes, dont des journalistes et des défenseurs des droits humains. Nombre d’entre eux ont été torturés.

    Trois Palestiniens ayant récemment fui la bande de Gaza contrôlée par le Hamas semblent avoir disparu en mer. Leur embarcation aurait chaviré au large des côtes grecques ou turques. De nombreux Palestiniens ont fait remarquer que les pauvres nourrissent les poissons quand les riches dirigeants du Hamas se gobergent dans les meilleurs restaurants de poissons et fruits de mer du Qatar ou de Gaza. Photo : deux Gazaouis tirent un bateau le long d’une plage à Khan Yunis, dans la bande de Gaza, le 22 septembre 2021. (Photo de Said Khatib/AFP via Getty Images)

    David Frenkel

    Sources :

    - https://unwatch.org/un-watch-devoile-dans-un-rapport-pour-les-experts-de-lonu-letendue-des-tortures-pratiquees-par-les-palestiniens/

    - https://www.europe-israel.org/2021/12/les-palestiniens-fuient-la-bande-de-gaza-car-ils-ont-compris-que-cest-le-hamas-et-non-israel-qui-est-responsable-de-leur-misere/

    - https://israel247.org/2021/12/ou-vont-reellement-les-milliards-de-dollars-daide-etrangere-a-gaza/

     

     

  • Oh! canicule!

    La chaleur s’écoule
    En flots chatouilleux
    Sur les téguments
    Les pigeons roucoulent
    sous l’arbre orgueilleux
    D’un été dément

    La chaleur de plomb
    S’abat sur la terre
    Le temps d'un été
    Les chants des frelons
    Près du presbytère
    D’enfer sont hantés

    La chaleur roussit
    L’été des prairies
    Verdies au printemps
    Les grillons assis
    Sur les fleurs meurtries
    Stridulent tous temps

    La chaleur des ombres
    Distraient les sommeils
    Des bras de Morphée
    Les strix huent en nombre
    Les étés vermeils
    Sont contes de fée

    La chaleur d’été
    Perce le brouillard
    Couvrant l’astre roi
    Les piafs maltraités
    Sifflent le cagnard
    L’été jette un froid

    Mais l’aimée chaleur
    Émanant des cœurs
    Tisse l’allégresse
    Des étés en fleurs
    Fredonnant en chœur
    L’amour nous caresse

    David Frenkel

  • Questionnement sur l'avortement

    Avorter, oui, mais jusqu’à quel mois de grossesse ? Il ne me semble pas que les mouvements féministes ayant manifesté pour ou contre ce droit se soient prononcés sur la question. Pourtant, elle est d’importance. On ne peut mettre sur le même plan l’avortement après trois mois de gravidité et l’avortement au-delà de cette période. Après ce laps de temps, le bébé passe du stade d'embryon à celui de fœtus, un être complet en miniature qui va se développer dans l'utérus.

    Aussi faut-il se référer médecin pour déterminer si après plus de trois mois de grossesse l’embryon peut présenter un danger vital pour la mère, auquel cas la vie déjà existante prime sur celle qui n’en est qu’au stade embryonnaire.

    C’est pourquoi celles qui revendiquent la liberté d’avorter devraient, à mon humble avis, l’assortir des conditions précitées. D'ailleurs, en Suisse, le Code Pénal légifère déjà en la matière.

    La femme doit assumer la conséquence de ses actes. Elle ne peut, passé un certain délai, se raviser au détriment d’une vie humaine dont elle n’est pas la propriétaire.

    L’État est non seulement le protecteur de tous les humains vivant sous son autorité, mais aussi le gardien des futurs plans de Dame Nature. Puissent donc les mouvements féministes en prendre acte.

    David Frenkel