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  • De grâce, cessons d'imputer le drame des Gazaouis à Israël

    Derechef, et saisissant n’importe quelle occasion, Madame Scheller met sur le compte de l'Etat hébreu les malheurs des Gazaouis. Mettant en avant le projet du Comité International de la Croix-Rouge (CICR), Madame Sheller écrit, en se référant à la «Grande Marche du Retour» : Des centaines de Palestiniens y ont laissé leur vie et des milliers ont été blessés par les tirs israéliens dans ces manifestations qui demandaient de pouvoir retourner aux villes et aux villages, maintenant à l’intérieur de l’État d’Israël, d’où leurs familles étaient chassées en 1948. Madame Scheller, s'il s'était agit que que d'une poignée d'individus, soit. Mais vous ne pouvez pas nous faire avaler que des dizaines de milliers de gens désiraient simplement effectuer des visites sentimentales en Israël ! Alors, non, chère Madame, le but de cette manifestation était de franchir violemment la frontière avec Israël afin d’y tuer des civils. Parmi les manifestants, 80 % de ceux qui ont été tués ou blessés appartenaient au groupe terroriste Hamas dont une des articles de la charte stipule l’annihilation de l’État juif. Et ce constat demeure évident : des gamins qui paraissent sévèrement encadrés par des plus âgés, sont envoyés au charbon pour faire du tapage médiatique. D'ailleurs, une des armes cachées apparaît soudainement dans les mains d’un gamin... Que promettait-on à ces pauvres enfants ? Quel conditionnement idéologique voire quel lavage de cerveau avaient-ils subi ? Il a été prouvé que les livres d'école de l'UNWRA sont des bréviaires violemment antisémites de ces jeunes manifestants.

    Quel pays au monde, Mme Scheller, laisserait-il des dizaines de milliers de gens forcer la frontière, sans réagir ? N’importe quelle occasion est bonne pour vous, Madame, de distiller la haine anti-israélienne. Je prie les lecteurs de bien vouloir cliquer sur les deux liens suivants :

    https://lphinfo.com/utilisation-des-enfants-lonu-denonce-les-organisations-terroristes/?fbclid=IwAR1YWcq_R8d0tg9gzH36hOVaPjXgw6Jol1p4b99vDaenj7FMStiy7S3mWyY

    Et : https://infoequitable.org/comment-le-hamas-utilise-les-enfants-le-temoignage-que-vous-ne-verrez-pas-dans-les-medias-francais/

    Ils se rendront compte que la turpitude n’est pas du côté de celui que vous, Madame Scheller, voulez nous faire croire.

    Aussi ajouté-je que la très grande partie des réfugiés dont il ne subsistent aujourd’hui que quelques dizaines de milliers étaient des gens qui ont quitté Israël sur l’instigation de dirigeants arabes qui désiraient avoir champ libre pour « jeter les juifs à la mer ».

    En conclusion, je vous prierais Madame Carol Scheller de bien vouloir ne plus utiliser les drames des Gazaouis pour jeter de l’opprobre sur un État qui lutte depuis sa création pour sa survie. Mais serait-ce un vœu pieux ?

    David Frenkel

     

     

     

  • La nature est ainsi faite

    En ce début d’année 2022, « éveillé » ou « woke » en anglais, a pris un sens auquel ceux qui ont, aux États-Unis, mis ce terme en circulation n’ont pas pensé. A l’origine, le mot « éveillé », était de nature dénonciatrice appelant les gens à réagir contre la ségrégation raciale.

    De nos jours, le terme « éveillé » s’est élargi et s’applique à la non acceptation de son sexe. Sous prétexte qu’être né homme ou femme peut paraître injuste, être « éveillé » revendique le droit à changer de genre. Il est triste de devoir rappeler à certaines gens que chaque sexe a sa propre spécificité. Accepter son soi-même, ce n’est pas se plier aux injustices de la nature, mais être conscient qu’un défaut qui serait lié au genre est indubitablement compensé par une qualité. Aussi, ce n‘est pas en changeant l’aspect sexuelle du corps que l’on bénéficiera des aspects spécifiquement lié au sexe on désirerait appartenir. Chaque être humain se forge un particularisme qui lui est propre, et qui est marqué par le destin de chacun d’entre nous ainsi que par l’éducation et son patrimoine génétique. J’inclus dans le patrimoine génétique, la façon de réagir face aux événements. La tristesse et la joie que l’on éprouve son indépendants de notre sexe. Si la nature détermine celui-ci, lui, en revanche ne le détermine aucunement l’être profond. Alors, croire que la migration sexuelle muera également notre singularité, relève de la chimère. Il conviendrait aussi que les fervents de la mutation sexuelle gardent à l’esprit que le charme masculin ou féminin se distille sous différentes facettes.

    La non acceptation de la distinction opérée par Dame Nature amène les personnes « éveillées » à l’étendre aux langues. Mais, pardi, en quoi masculiniser « tableau » ou féminiser « lune » est-il sexiste ? Les objets, les astres, etc, ont-ils une conscience ? Et prétendre que le français est sexiste, c’est oublier que le nom de chaque profession, y a son équivalent au féminin. Même ceux qui ne l’avaient pas, car c’était les hommes qui pratiquaient la profession (comme ramoneur), ont dans les dictionnaires modernes leurs équipollences féminines (comme ramoneuse). Alors, promouvoir les termes épicènes, comme utiliser le mot titulaire plutôt que porteur ; est d’un ridicule qui ne tue pas. Ce n’est pas le terme utilisé qui est stigmatisant, mais l’esprit dans lequel il est prononcé. On peut parfaitement exiger d’être porteur d’un certificat sans en exclure les femmes ou bien les exclure, car chacune des spécifications de « porteur » se réfère à la personne, épicène par définition.

    Conclusion : On a beau être « éveillé », il existera toujours des femmes et des hommes stupides ou intelligentes. La nature est ainsi faite.

    David Frenkel