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  • Une fausse affirmation

    J’ai lu ici là et que les Palestiniens demandent un droit de retour pour ceux poussés à l’exil lors de la création d’Israël en 1948. Or, il n’y a rien de plus faux que de prétendre que la création d'un État juif sur ses terres ancestrales a poussé les résidents arabes à s'exiler.

    Après la création d’un État juif, cinq armées arabes attaquèrent l’État nouveau né sous le slogan « Jetons les juifs à la mer ». C’est à ce moment là qu’une importante majorité de la population arabe qui y résidaient fuirent soit pour échapper à la guerre soit sur injonctions des chefs militaires désirant avoir champ libre pour accomplir leur basse besogne. Il est cependant vrai aussi que certains cas attestent de leurs expulsions. Toutefois, cela est à mettre en parallèle avec les nombreux attentats perpétrés par les arabes contre les juifs ainsi qu'avec les 800'000 juifs expulsés des pays musulmans.

    Les arabes qui n’ont pas choisi de fuir, et leurs descendants, représentent actuellement les 20% de la population arabe israélienne. Ils possèdent les mêmes droits que les juifs israéliens. La preuve en est que le parti arabo-islamiste Raam fait actuellement partie de la coalition gouvernementale israélienne.

    Voici des témoignages qui attestent, comme je l'ai dit plus haut, que l'on a encouragé bon nombre d'arabes à quitter temporairement leurs foyers.

    David Frenkel

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  • Une débandade significative pour le monde libre

    La fuite précipitée des États-Unis de l'Afghanistan est hélas un signale encourageant pour les despotes et les terroristes de tout bord. Ceux-ci ont définitivement renoncé à protéger militairement les nations épris de liberté.

    Durant une vingtaine d'année la force militaire américaine a tenu à l'écart les talibans. En se retirant soudainement de l'Afghanistan, et en y abandonnant tout leur arsenal constitué d'armes et hélicoptères sophistiqués, l'espoir pour établir en Afghanistan une démocratie s'est effondré en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

    Il en est de même s'agissant Israël. Quel crédit accorder aux promesses faites en 2014 par John Kerry de placer Israël sous protection américaine si celui-ci se retirait de la Judée Samarie afin que puisse s'y établir un État palestinien ? Après le retrait israélien de l'enclave gazaoui, la dépravée Autorité Palestinienne, coachée par les États-Unis, en été chassée par le Hamas en 2005 deux ans après son établissement.  Depuis lors, celle-ci a été transformée en une base terroriste. Le Hamas à Gaza, comme d'ailleurs le Hezbollah au Liban sud, y a installé des milliers de roquettes. Celles basées dans l'enclave gazaoui visent régulièrement les civils, toutes ethnies confondues. Israël en se retirant des susnommés territoires dans des gestes de paix en a donc été pour ses frais. Alors, suite de la défection américaine, et ne pouvant donc compter que sur soi, les stratèges israéliens ont décidé que la Judée Samarie devait servir de tampon contre des attaques terroristes. Laisser s'installer en zone B et C1) de la Judée Samarie, non loin  des villes israéliennes, le groupe terroriste Hamas, d'où pourraient être tiré des roquettes, d'où des tireurs d'élite  pourraient prendre place et d'où pourraient être creusé des tunnels d'attaque, signifierait à l’État juif son suicide.

    En Afghanistan, les Américains avaient pour objectif la mise en place ainsi que l'élaboration d'une organisation militaire ayant la capacité d’annihiler les terroristes. Cette ambition a définitivement avorté.

    Prenant pour exemple les deux régions citées, la dérobade des États-Unis est significative pour le monde libre.

     David Frenkel

    1) selon les accords d’Oslo, la Judée Samarie est divisée en trois zones : La zone A est sous le contrôle civil et militaire palestinien ; La zone B est sous contrôle civil palestinien et sous contrôle militaire conjoint israélo-palestinien ; La zone C se trouve entièrement sous contrôle israélien, tant au plan civil que militaire.