Ce qui est en train de se passer en Afghanistan démontre une fois de plus que ce n’est pas un président en possession de toutes ses facultés mentales qui dirige le pays, mais une clique sournoise impliquée dans la destruction des USA. Celle-ci savait que les Talibans préparaient une offensive importante. Les moyens de renseignement américains disposaient d’images satellite, d’enregistrement de communications. Un président américain qui oublie ce qui s’est passé quelques jours auparavant, qui confond les personnes, qui commet nombre de lapsus, qui perd souvent le fil de la discussion avec les journalistes, est non seulement incapable de prendre une décision ô combien importante, mais aussi d’élaborer un plan machiavélique pour faire plonger le pays de l’Oncle Sam. Il fallait une certaine dose de machiavélisme pour laisser aux mains des Talibans tout l’arsenal militaire et pour donner l’ordre à l’armée US de quitter l’Afghanistan sans avoir fait évacuer en premier lieu les civils américains et occidentaux. Selon mon opinion, de tells ukases n'auraient pu émaner d'un homme atteint tant soit peu dans sa santé mentale. Gardons à l'esprit que ses interventions au public sont scénarisées et écrites d’avance par les gens se servant d’un pantin dont ils tirent les ficelles.

L’incapacité évidente de Biden à suivre les événements est si criarde que même les médias, qui ont couvert sa démence lors des élections de 2020 et qu’ils ont défendu depuis lors, se sont retournés contre lui. Les chaînes américaines CNN et BBC sont devenus circonspects et méfiants envers celui dont le statut présidentiel relève selon toute vraisemblance de la fraude électorale. Samedi soir, Jonathan Karl d’ABC a déclaré sans ambages que ce que Biden dit « ne correspond tout simplement pas à la réalité ».

Pauvre U.S.A.

David Frenkel

Le parti communiste qui dirige l’État chinois s’est fait fort de décréter le 11 août dernier une série d’arrêtés d’urgence. Parmi celles-ci figurent celles ayant trait à la sécurité nationale, aux inventions technologiques, aux cartels, à la formation, à la santé et à la mise en isolement, à la nourriture et aux médicaments ainsi qu'à tout ce qui touche la population non indigène. Selon l’agence Reuters, cela est le signe que la coercition qui s’applique aujourd’hui aux développements de l’industrie nécessitant le secret, à l’intendance des renseignements, à l’anti-monopole, aux diverses autres questions à résoudre va perdurer jusqu’en 2025, date de la fin du plan quinquennal.

Selon bien des observateurs, les charges antilibérales persisteront aussi longtemps que Xi Jinping sera au pouvoir. Les récents assauts de celui-ci contre les entreprises privées ne doivent pas être considérés comme relevant de la conjoncture exceptionnelle. Il s’agit bien d’un plan répressif à long terme dûment réfléchi.

La première offensive a été la soudaine annulation de l’introduction en bourse d’Ant Group en novembre dernier, 36 heures avant le début de la cotation du titre. N’en restant pas là, la Chine de Xi Jimping a mis en œuvre de nouvelles consignes pour geler toute activité de DIDI Global, deux jours après son admission à la bourse New new-yorkaise. Depuis lors, l’empiétement sur le développement économique inclut les entreprises de bien d’autres secteurs. Récemment, Pékin est allé jusqu’à interdire aux sociétés élaborant des ouvrages d’enseignement dans tous les domaines et disciplines d’en tirer des bénéfices pécuniaires. Au jour d’aujourd’hui, Xi Jinping a dévalorisé plus de 1 200 milliards de titres de sociétés chinoises ayant une activité productrice. L’annonce du 11 août continuera de propulser la Chine dans cette voie.

Tout cela est extrêmement grave, car la mainmise chinoise instaure un climat anti-étranger. Les mesures instaurées par Xi Jimpig pourrait annoncer l’épuration des actionnaires étrangers de toutes les entreprises chinoises.

Lorsque l'on connait le poids de la Chine dans l'économie mondiale, La catastrophe n’est donc pas loin.

Source : Gatestone Institute

David Frenkel

A chaque fois que l’État hébreu riposte aux roquettes tirés depuis Gaza qui visent la métropole israélienne, que l’État juif répond aux ballons incendiaires partant depuis l’enclave gazaoui qui enflamment les terres agricoles au sud d’Israël, que Tsahal réplique aux émeutiers qui cherchent à percer le mur protégeant l’État juif des attentats, la principale presse en langue française y va de son mantra « Gaza sous blocus israélien depuis quinze ans ».

Pourtant, moi, le lambda, aurait bien aimé savoir en quoi consiste le blocus israélien, --- dont je rappelle la définition :  blocage d'un pays, d'une région, d'un port pour empêcher tout transport de marchandises vers ou venant de ce pays ou région ---, après avoir lu ce qui suit : https://www.gov.il/en/Departments/faq/faq_gaza

Kerem Shalom Crossing (frontière entre Gaza et Israël)

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Aussi, moi le quidam me demande pourquoi cette presse ne répète-t-elle pas avec la même constance que le groupe terroriste Hamas vise selon sa charte à anéantir Israël ?

De même me demandé-je pour quelles raisons ladite presse ne se fixe-t-elle pas sur les crimes de guerre que le Hamas commet en lançant aveuglement des roquettes sur la population israélienne voir https://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/1628755328-gaza-hrw-accuse-les-groupes-armes-palestiniens-de-crimes-de-guerre

Hélas, poser ces questions... Je vous laisse le soin d'y répondre.

David Frenkel