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  • Des accusations sélectives

    Dommage que la blogueuse Carol Scheller ait l’indignation sélective. Les articles rapportés dans ses billets qui sont tous consacrés à Gaza, ne parlent que des bombardements israéliens. Jamais, au grand jamais, Madame Scheller ne s’est insurgée contre le Hamas, groupe terroriste, classé comme tel par l’Union Européenne, qui se sert des Gazaouis pour mener à bien ce qui est envisagé dans sa charte, à savoir : la destruction de l’État juif, son voisin. Il n’est non plus venue à l’idée de Madame Scheller d’écrire que l’argent servant à constituer un arsenal militaire aurait pu être utilisé pour améliorer le niveau de vie des résidents qui sont sous la tutelle du groupe terroriste. Madame Scheller s'est elle intéressée ne serait ce qu'une seule fois aux calvaires que subissent les israéliens au prise régulièrement avec les ballons incendiaires, et cela sans parler des roquettes tirées depuis Gaza ? Pour son information, et afin que les lecteurs puissent se faire leur opinion, je ne cesserai de publier d’autres sons de cloches sur l’actualité gazaoui.  Voici d’abord une dépêche tombée hier que la presse de chez nous n’a pas publiée, mais en revanche, elle n'a pas manqué hier de rapporter qu'Israël avait l'intention de construire 2000 logements en Judée Samarie...

    Gaza: HRW accuse les groupes armés palestiniens de "crimes de guerre"

    i24NEWS - AFP

    12 août 2021, 10:02 dernière modification 12 août 2021, 13:42

    "Tirer de telles roquettes pour attaquer des zones civiles relève d'un crime de guerre"

    Les groupes armés palestiniens de la bande de Gaza ayant tiré des roquettes en direction de zones résidentielles en Israël en mai ont commis des "crimes de guerre", a accusé jeudi l'ONG Human Rights Watch (HRW).

    Lors de l'opération "Gardien du mur" qui a opposé Israël aux terroristes à Gaza en mai dernier, 4.300 roquettes ont été tirées sur Israël, faisant 13 morts.

    "Les roquettes et les obus que les groupes armés palestiniens ont tiré ne disposent pas de systèmes de guidage (...) ce qui les rend très imprécis et donc intrinsèquement discriminatoires lorsqu'ils sont tirés en direction de zones où se trouvent des civils", a affirmé HRW, soulignant que ces tirs avaient fait un "nombre indéterminé" de victimes à l'intérieur même de la bande de Gaza.

    "Tirer de telles roquettes pour attaquer des zones civiles relève d'un crime de guerre", a estimé l'organisation de défense des droits humains dans un communiqué.

    L'échec des autorités du Hamas et du gouvernement israélien de tenir leurs forces pour responsables de crimes de guerre présumés souligne l'importance du rôle de la Cour pénale internationale (CPI)", a affirmé Eric Goldstein, directeur de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord de HRW.

    La CPI a annoncé en début d'année avoir ouvert une enquête sur des crimes présumés commis dans les Territoires palestiniens depuis 2014, une initiative saluée par les Palestiniens.

    25/07/2021 Par Info Israël News

    Les Palestiniens accusent le Hamas de stocker des armes dans des quartiers résidentiels

    Des factions palestiniennes et des organisations de défense des droits humains ont appelé le Hamas et d’autres groupes dans la bande de Gaza à cesser de stocker des armes dans les zones résidentielles, suite à l’explosion qui a tué une personne et en a blessé 14 autres jeudi.

    Ils ont également exigé une enquête approfondie sur l’explosion afin de trouver les responsables. Les Palestiniens de la bande de Gaza ont déclaré que l’explosion avait eu lieu dans un entrepôt utilisé par le Hamas pour stocker des armes.

    Le Hamas a déclaré avoir ouvert une enquête, mais n’a fourni aucun détail. L’explosion de jeudi s’est produite peu après 8 heures du matin, dans une maison située dans le quartier du marché d’Al-Zawiya, au centre de la ville de Gaza. Selon des sources palestiniennes, Atta Ahmed Saqallah, 69 ans, a été tué et 14 civils ont été blessés, dont six enfants.

    La maison de trois étages a été partiellement détruite, tandis que les maisons voisines et les locaux commerciaux ont été partiellement endommagés. Selon des témoins oculaires, un incendie s’était déclaré dans la maison avant l’explosion.
    « Le Centre Al-Mezan pour les droits de l’homme à Gaza prend l’incident de l’explosion très au sérieux, car il y a eu des incidents répétés d’explosions internes dans des maisons dans des quartiers résidentiels surpeuplés pour diverses raisons, entraînant la mort de plusieurs civils et la destruction de maisons et de propriétés publiques et privées », indique le communiqué.


    David Frenkel

     

     

  • Désinformation par omissions

    Le journal Le Monde vilipende Israël dans un article paru avant-hier sous le titre « Israël viole les droits humains » : dans la Ville sainte, la bataille pour Jérusalem-Est. La parole y est donnée à des résidents arabes de Cheikh Jarrah qui risquent d’être expulsés. Le journal a l'indécence de ne pas préciser que la Cour Suprême avait proposé aux habitants actuels de continuer à vivre jusqu’à leur décès dans les maisons qu’ils occupent, moyennant un loyer. Toutefois, les habitants de ces maisons, qui dans nos contrées seraient qualifiés de squatters, ont refusé. Rappelons que le quartier nommé de nos jours Cheikh Jarrah était en fait le quartier de Simon le Sage qui fut un grand prêtre d'Israël au IIIe siècle avant J.C. En 1876, la communauté juive acheta le site entourant le tombeau du grand prêtre pour 15 000 francs. Sous la direction du grand rabbin de Jérusalem, Shmuel Salant, la construction de logements dans cette zone  commença en 1891. En 1948, vingt familles juives vivaient dans le quartier. Après la guerre israélo-arabe de 1948, la propriété tomba du côté jordanien de la Ligne verte et des familles palestiniennes emménagèrent dans les maisons. Après la guerre défensive gagnée par Israël contre la Jordanie en 1967, Israël conquit Jérusalem-Est, et les descendants des familles juives prirent possession des biens immobiliers situés dans le quartier de Cheik Jarrah (de Simon le sage).

    En revanche, aucun article dans Le Monde ni d'ailleurs aucun article dans la presse grand public ne relate l'explosion ayant eu lieu le 6 août sur la plage de Beit Layha au nord de Gaza lors d'une soirée de musique qui y était organisée. Au motif qu'il n'y avait pas de séparation entre les femmes et les hommes, un engin explosif y a été déposé par le djihad islamique. Heureusement, il n'y a pas eu de victime. Ce qu'il faut souligner c'est que la presse ne cessant d'écrire que Gaza est paupérisée et est une prison à ciel ouvert, ce soir-là,  le concert en plein air était réservé à un public qui pouvait se permettre de fréquenter le dernier en date des établissements de luxe s’adressant à une clientèle fortunée.       « Bianco Resort » offre non seulement une plage de rêve avec chaises longues, parasols et maître-nageur, mais encore une superbe piscine et une seconde plus petite pour les enfants ; spa ; tennis, bars et restaurants et même boutiques de luxe (voir les images en fin de mon article). Il semble que le Hamas, en plus de ses actions terroristes, met en place un tourisme étranger avec la bénédiction d'Israël, il s’agit de disposer d'un potentiel d'emploi pour réduite le taux de chômage.  Écoutons le centre palestinien pour les droits de l’homme :  « Nous soulignons qu’il importe de soutenir ces projets, qui contribuent à soutenir le tourisme intérieur, à améliorer l’économie palestinienne, à créer des possibilités d’emploi pour les jeunes. Mais pas folle la guêpe ! Le Hamas ne va pas creuser des tunnels souterrains et installer des installations militaires sous les habitations de luxe. Aucun des médias toujours prompts à faire fleurir le palestinien dans le jardin des "horreurs" israéliennes n'a rapporté les informations que j'ai lues sur LPH INFO, à savoir, qu'arrivés sur place sans prévenir le Hamas, les inspecteurs de l'Unrwa ont été surpris de découvrir que l'organisation terroriste avait insidieusement utilisé une école tenue par l'l'Unrwa dans le quartier de Zeitun à Gaza pour creuser un tunnel souterrain sous l'établissement. Apprenant que l'équipe d'inspecteurs avait découvert ce tunnel, le Hamas a rapidement envoyé des hommes pour faire cesser l’inspection, fermer le secteur et expulser les inspecteurs. Ces derniers se sont également vus interdire l’accès à une autre école de l’Unrwa à Rafiah, au sud de la bande de Gaza, pour des raisons aisées à comprendre. Des responsables sécuritaires israéliens ont confirmé que des délégués de l’Unrwa avaient été interdits d’accès ou avaient été refoulés de lieux dans lesquels le Hamas viole de manière flagrante les conventions de Genève et le droit humanitaire en utilisant une grande partie de la population comme bouclier humain. Le Hamas espérant qu'Israël fera tout pour ne pas viser des infrastructures ou des personnes civiles, ce ne sont pas uniquement des tunnels souterrains, mais aussi des entrepôts de roquettes et missiles qui sont installés sous ou dans des établissements publics ou des maisons privées (loin des riches Gazaouis, qui vivent dans leurs grandes villas).  « Le Hamas protège son arsenal militaire avec des civils dont des enfants », accuse Tsahal.

    Mais alors vraiment, clouer sans cesse Israël au pilori de la cause palestinienne et taire les mauvais sorts qu'un groupe terroriste réserve à ceux qui médiatiquement servent de terreau à la haine anti-israélienne sont indignes du monde de l'information.

    David Frenkel 

     Photos de Gaza tirés de Terre-des-juifs.com :

  • Ma Genève

    Geneva Blue

     

    Venez à moi ville de mon enfance

    Ma Genève d’où je tirais la sève

    D’une ruelle sentant la résine

    Des quartiers aux apparences champêtres

     

    Le lac écume par intermittence

    Mais quand la grâce enveloppe Genève

    Les eaux du Léman élèvent l’ondine

    La blanche innocence fait périmètre

     

    Genève universelle par essence

    Sur sa rade je m’accorde une trêve

    Avec nombre de gens je me lambine

    Les diversités y traîne leurs guêtres

     

    Ville des Nations cité d’espérance

    Par vous bien des conventions se soulèvent

    Des gens de bonne volonté s’échinent

    A pendre les droits de l’homme aux fenêtres

     

    L’austérité visite les résidences

    Des vedettes s’accordant une trêve

    Dans certaines habitations rupines

    Calvin cette ville t’a vu renaître

     

    L’horloge fleurie marque la cadence

    Des jours et des nuits que le temps achève

    Les aiguilles aux charmantes routines

    Tournent autour d’un ouvrage de maître

     

    Chère ville où tant de réminiscences

    Font revivre des rues basses de rêve

    Bordées de brasseries aux bonnes mines

    De commerces fondés par les ancêtres

     

    Le présent recouvre mes souvenances

    De constructions où mes souvenirs crèvent

    Les histoires de ma vie citadine

    Gisent dans les profondeurs d’un mal être

     

    Genève témoin de ma sénescence

    Lorsque paraîtra l’annonce brève

    Mon âme aura rejoint la vie divine

    Des ces belles villes aux passés traîtres.

    David Frenkel

    (Photo https://www.routard.com/lieu/0-geneve.htm)