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  • Un avis qualifié de "soulèvement"

    L'avis franc émis par une vingtaine de généraux français à la retraite paru récemment dans "valeurs actuelles 1)"  a provoqué un ramdam politique.

    Que n'a-t-on lu et entendu ! Pourtant, ils ne demandaient qu'au au chef de l’État de défendre les valeurs de la civilisation contre "la horde des banlieues".
    "Il n'est plus temps de tergiverser, sinon, demain, la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers". Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation », précisaient-ils dans une missive adressée au Président de la République française.

    Toutefois, certaines gens, comme Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie, y ont vu un appel au soulèvement... Les militaires sont des citoyens comme les autres et ils ont le droit d'exprimer leurs opinions, et cela sans que l'on y perçoit un appel à la sédition. Au nom de la liberté de parole, eux qui se mettaient à disposition de leur patrie au prix de leur vie, ont parfaitement le droit de s'insurger contre l'immigration incontrôlée, voir illégale, qui érode le la sécurité et le sentiment national. Lorsque des femmes décolletées, des dhimmis profanant le ramadan, des juifs reconnus comme tels, n'osent plus s'aventurer dans maintes zones chasse-gardée islamiste sous peine de s'y faire agresser en toute impunité, car la police n'y entre plus, le militaire-citoyen est en droit de faire appel au Chef de l’État, sans y voir un chantage à l'insurrection.

    Aussi, au lieu de s'en prendre aux gradés français, Agnès Pannier-Runacher, devrait garder sa salive pour proférer contre elle-même et toute la clique gouvernementale l'impuissance de venir à bout des violences qui se sont installées dans diverses cités. Elles sont  les prémices d'une guerre civile ayant commencée bien avant que fut rédigée la lettre ouverte des militaires.

    David Frenkel

    1) voir l'intégralité de la lettre sous : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/tribune-de-militaires-francois-gaubert-elu-rn-de-l-herault-au-conseil-regional-occitanie-s-explique-sur-la-polemique-2064757.html

  • Que subsiste-t-il de nos vicissitudes...Le poétique virus ne nous fait pâlir, il nous fait jouir (XLVIII)

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    Que subsiste-t-il de nos jeunes enthousiasmes

    Qui ont fusé des tréfonds de la jeunesse ?

    S’engluant dans les miasmes des habitudes,

    Ils ont trépassé dans un passé

    Rangés dans l’armoire des oubliettes.

    Rongés par les mites de l’oubli,

    Les poussières de nos enthousiasmes

    Se sont envolés vers d’autres vertes jeunesses

    Pour se réincarner dans d’autre esprits.

     

    Que demeure-t-il de nos chagrins salés

    Coulant sur des joues douloureuses ?

    Se séchant au soleil de la mort,

    Aucun ne s’en remémore.

    Nos malheurs ont rejoint les houles

    Des âmes rugissant douloureusement

    Dans le désert des flots abandonnés.

    L’étoile du trépas a bu l’eau de nos peines

    Qui forment les nuages noircissant l’azur.

     

    Que reste-t-il des richesses chantées

    De maintes villes bucoliques ?

    Disparaissant sous la voracité des grues,

    Tant de foyers enchanteurs se sont écroulés

    Dans un vacarme démoniaque ;

    Tant de cadres terriens se sont évaporés

    Dans la modernité bruyante et roulante.

    Les encadrements antiques fredonnent

    Leurs mélodies dans l’esprit des écrivains.

     

    Que subsiste-t-il des amours calcinés

    Sur l’autel de l’incompréhension ?

    L’odeur froide de mille baisers en cendres

    Empeste bien des esprits ;

    Les étreintes brûlées dégagent le remugle

    Des cadavres de l’amour.

     

    Puissent les vers des sentiments trépassés

    Ronger la haine vouée à bien des hommes

    En exhalant le parfum de l’amour vertueux.

  • Un statut fallacieux et trompeur

    Tout d'abord je tiens à dire que mes pensées vont à ceux qui sont morts dans la la terrible tragédie de Meron ainsi qu'à ceux qui y ont perdu leurs proches.

    Pour en venir à l'actualité, la presse à laquelle on est accoutumé n’a pas cru bon de divulguer l’information suivante :

    Mercredi dernier, le parlement de l’Union Européenne a pris la décision de mettre en cause l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA). L’U.E. lui reproche d’enseigner la haine et la violence dans les écoles étant sous son égide. Cette dernière exige que soit immédiatement enlevé les manuels haineux destinés aux élèves et dans lesquels, selon un rapport publié en début d'année par l'institut de recherche IMPACT-se basé à l'Université hébraïque de Jérusalem, le contenu encourage au djihad, à la violence et au martyre. L’U.E. précise à l’UNRWA que son financement est conditionné par une éducation qui doit prôner la paix et la tolérance, telle que préconisées par l’UNESCO. Malgré les pressions exercées par l’Autorité palestinienne, l’U.E est restée ferme sur sa résolution.

    Marcus Sheff, PDG d’IMPACT-se, s’en est félicité en déclarant que la résolution était une «étape importante dans la lutte pour empêcher l’UNRWA d’inciter chaque jour des milliers d’enfants à la violence, à l’extrémisme et à l’antisémitisme.» Puis, a-t-il ajouté : « C’est la toute première fois qu’une législature intervient et dit à l’UNRWA, ça suffit. Aujourd’hui, le Parlement européen a montré la voie à tous ceux qui ne veulent pas faire de chèques en blanc à cette organisation profondément imparfaite. Il est clair qu’un audit externe du matériel pédagogique de l’UNRWA est nécessaire avant que des millions de dollars des contribuables ne soient transférés pour financer la radicalisation quotidienne des enfants. »

    Par ailleurs, et en parlant de l'UNRWA, le public devrait savoir qu’il y a officiellement 5,8 millions de réfugiés dits « palestiniens » considérés fallacieusement comme ayant fui une guerre que cinq armées arabes avaient déclenchée en 1948 contre Israël, l’État nouveau-né. La majeure partie des arabes avaient quitté le pays sous l'instigation de chefs désirant avoir champ libre pour "jeter les juifs à la mer"; ils pourraient y revenir une fois la "besogne" accomplie, leur promettaient-ils. Sans être un grand statisticien, on  peut estimer que des 750’000 arabes israéliens ayant fui, ceux qui restent encore en vie ne constituent plus qu’une poignée de dizaines de milliers de personnes. Aussi convient-il de savoir que ces millions de soit-disant réfugiés sont maintenus dans la pauvreté et le désespoir, et servent de pression politique contre Israël. Mais comment les dirigeants de l’UNRWA peuvent-ils laisser croire à ces pauvres gens qu’il iront un jour habiter dans un État qui n’accepterait d’être submerger par une masse d’individus représentant 70 % de la population actuelle et qui mettrait fin à la majorité juive. Et leur a-t-on demandé s’ils se sentaient prêts à vivre dans un pays avec lequel ils n’ont aucun lien ? La quasi-totalité de ces 5,8 millions de « réfugiés » sont nés hors d’Israël, et devraient donc être considérés comme étant citoyens de leurs pays natals.

    Sus à l’UNRWA qui maintient un conflit. Si camp David a échoué en 2000 c’était aussi parce que Yasser Arafat exigeait le retour en Israël de millions de personnes affublées trompeusement du statut de réfugié. Et  de nos jours, Mahmoud Abbas le faisant sien empêche le règlement du conflit israélo-palestinien.

    Lorsque nombre de contribuables suisses prendront un jour connaissance  des montants colossaux que la Suisse met à disposition de l'UNRWA année après année --- en 2020 sa contribution s'est élevée à plus de 20 millions de francs ---, il sera compréhensible qu'ils fustigent les autorités politiques pour l’inacceptable utilisation des deniers publics.

    David Frenkel