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  • Le poétique virus ne nous fait pâlir, il nous fait jouir I

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    S'aimer autrement

    Aux brumes d’un désespoir il se souvient ; dans un brouillard de misère elle se rappelle ; il enlace son sourire, elle caresse sa sympathie, mais la passion ne les effleure pas.

    Il ne perçoit pas sa plastique ; elle ne saisit pas sa beauté. La volupté s’épanche des yeux de la belle ; un air lascif enrobe la voix du bonhomme ; les deux cheminent dans la tendresse ; l’homme et la femme promènent l’affection au grand dam de l’amour.

    Le corps garde ses distances ; l’esprit érige ses barrières. Le malheur unit l’homme et la femme ; ils se complaisent dans leurs misères ; la clabauderie les soude, les cancans engourdissent leurs peines, le babillage les entraîne ; au pays du futile ils deviennent complices. L’art les emmène ; l’esthétique les transporte ; la grâce s’accorde à leur amitié, mais le désir ne s’invitera pas.

    Ses narines vibrent d’émotion ; ses joues rougissent de plaisir ;les deux décorent un estaminet ; ils fleurissent une rue ; leur entente est une rose sans épines ; leur bonne intelligence est un fruit sans pépin, mais ils n’ont l’un pour l’autre aucun béguin.

    Il lui ouvre ses portes intimes ; elle lui dévoile son secret ; les deux jettent leur masque ; leur âme nue se couvre de sentiments. Ensemble ils s’élèvent et se rient de l’éphémère. Leurs jours heureux plein de soleil ; leurs quotidiens gris où pleut l’ennui se mélangent et forment un bel arc-en ciel qui ne disparaîtra qu’à la nuit éternelle

    L'amitié au féminin

    Nous ne nous disons pas « je t’aime ».

    Nous n’abordons jamais le thème

    De l’amour dans nos bavardages ;

    L’amitié, c’est notre partage.

    Nous clabaudons, nous discutons.

    Jamais nous ne changeons de ton ;

    Aucune allusion amoureuse,

    Nulle intonation langoureuse

    Ne vient aiguiser un désir.

    Nous nous voyons pour discourir.

    Si le feu devait nous atteindre,

    Il devrait peut-être s’éteindre,

    Mais renaîtrait-il de ses cendres ?

    L’amour se perd dans les méandres

    D’une vie faite de passions

    Mais où les nobles sensations

    S’éclipsent souvent dans les brumes

    Du plaisir que le temps écume.

    Ne crois-tu pas cher compagnon

    Que nos petites réunions

    Nous permettent de préserver

    Une sympathie cultivée

    Dans la douleur de nos révoltes

    Où la tendresse se récolte

    Au temps des sourires complices

    Quand nos paroles nous unissent ?

    Tant de non-dits, tant de silences

    Enrichissent nos connivences.

    Nombre de rencontres furtives

    Egaient les heures fugitives

    Des journées tristes à mourir

    Et qui ne veulent pas finir.

    Laissons une part de mystère

    Envelopper nos caractères

    Afin que le secret nous plonge

    Dans le sortilège d’un songe

    Où l’amour ne s'exprime point

    Mais nous illumine de loin.

    David Frenkel

  • La vanité et l'irresponsabilité du régime iranien

    Alors que le porte-parole du ministère de la Santé iranien annonce: qu’il y a dans le pays un mort toutes les 10 minutes et que 50 Iraniens sont infectés toutes les heures, voilà que le ministre de la Défense iranien, le général de brigade Amir Khatami, déclare que la mise au point de technologies militaires avancées et modernes est au premier rang des préoccupations de la prochaine année iranienne. Par ailleurs, S’exprimant en février dernier le chef de la révolution, l’ayatollah Ali Khamenei, a souligné la nécessité de renforcer la puissance militaire du pays pour empêcher la guerre et les menaces contre celui-ci. Or, Nul n'a proféré des menaces contre le pays, alors que l'Iran, lui, non seulement n'a de cesse de le faire (contre Israël notamment), mais s'implante à travers des milices pro-iraniennes dans certains pays moyen orientaux, comme la Syrie, le Liban et le Yémen.

    Je laisse donc le soin à quiconque de juger de la criminalité d’un régime gouverné par les mollahs. Selon le CNRI (le Conseil national de la résistance iranienne basé à Paris), l’Iran est en train de devenir le foyer planétaire du coronavirus. Et permettez-moi d'ajouter que l’envergure de l'expansion dudit virus y provoque un taux létal encore jamais atteint. Si aucune mesure drastique n’est prise par le régime, des centaines de milliers d’iraniens seront sacrifiés sur l’autel de l’incompétence des fous islamiques, minés par la corruption et par la volonté de domination régionale.

    Si le régime communiste chinois doit être montré du doigt pour sa responsabilité dans la propagation du coronavirus, comment qualifier les criminels despotiques d’un régime sournois ? Et dire que bien des pays occidentaux lui font encore des yeux doux...

    David Frenkel

     

     

     

     

  • Que certaines et certains s'en souviennent