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UN PEU DE TOUT - Page 309

  • Quid du devoir de réserve des journaux ?

    Les journaux romands et leurs sites qui titrent avant la fermeture des bureaux de vote : La vague verte attendue aujourd'hui aux Chambres fédérales aura-t-elle un effet sur la composition du gouvernement? ont-ils outrepassé leur devoir de réserve en période de votation ?

    Extraits du GUIDE PRATIQUE DU JOURNALISTE EN PÉRIODE ÉLECTORALE : (alors raison de plus le jour où jusqu'à 12h les gens sont encore appelés à aller voter, et qu'une telle information pouvait les influencer !)

    ... Le principe général est que le journaliste ne doit jamais publier ou diffuser les résultats d’une élection tant qu’ils n’ont pas été proclamés officiellement par la Commission électorale. Dans la plupart des pays, les journalistes et les médias s’exposent à des sanctions judiciaires s’ils ne respectent pas cette règle. Par exemple, il ne faut jamais diffuser en direct les opérations de dépouillement ni donner d’indications, de quelque nature que ce soit, sur le décompte des bulletins. En revanche, il est possible de faire des reportages sur l’atmosphère qui règne à l’intérieur ou à proximité d’un bureau de vote pendant le dépouillement.

    Sondage et projection des résultats Les sondages à la sortie des bureaux de vote sont devenus une pratique courante dans certains pays. Le but est d’obtenir un avant-goût des résultats avant que les résultats officiels ne soient proclamés. Mais cette technique est par nature peu fiable car on ne sait jamais si les gens interrogés ont réellement indiqué comment ils ont voté. La divulgation de ces sondages impose, y compris dans les démocraties les plus avan-cées, des critères extrêmement stricts de fiabilité et d’indépendance. Dans tous les cas, il convient là encore d’attendre la fermeture du der-nier bureau de vote sur le territoire national...

  • Le bonheur

    La plume aspire mes sentiments

    Des larmes d’encre content ma peine

    Le stylo est ivre de mes émotions

    Il zigzague à travers mes maux

    Mon crayon pointe la blanche innocence

    La feuille vierge se marie à mon esprit

    Le crayon valse au rythme de ma main

    Sur la musique des mots doux

     

    Un bonheur prend forme

    Dans le ventre d’un chagrin

    Au sein d’un espoir

    Le sang d’une émotion fait battre mon cœur

    Le lait d’un sentiment coule dans mes veines

    La langue millénaire me berce

    Le rythme me met sur pied

    Quand le bonheur s’entoure de lettres

    La joie se met en vers

     

    Le bonheur a grandi

    Il est devenu un poème

    Qui verse l’allégresse dans l’harmonie

    Qui moule les pensées sur l’image

    Il vole de ses propres ailes

    Il ne m’appartient plus

    Le bonheur en prose se partage

    Le bonheur versifié arrose autrui

    Il glisse sur l’indifférence

    Il se rit du dédain

    Car il nous écrit des cieux

    Poème mon enfant

    Le bonheur n’est pas mien

     

    Le bonheur n’a pas d’âge

    Il vit à jamais dans une page

    Les mots sont les muscles du bonheur

    Quand les phrases soulèvent l’admiration

    Le poème est l’âme d’un ravissement

    Quand il sculpte l’indicible

  • Non, les américains ne sont pas les gendarmes du monde

    Ceux qui viennent au secours verbalement de la population kurdes en Syrie en critiquant Trump à tout va, on ne les a guère entendu ni lu lorsque les soudards de la guerre dite "sainte" sévissaient et que seuls les kurdes et les américains sacrifiaient leurs garçons sur le champ de bataille. Aussi, ceux qui se prétendent être des humanistes restent sourds face aux menaces que fait peser le régime des Mollahs sur le monde. Du Yemen au Liban en passant par leurs actions terroristes partout ailleurs sur la planète, le régime iranien sème le trouble. En outre, aucun homme de média n'a eu le courage de s'insurger contre les paroles du général de division Hossein Salami, commandant en chef des Gardiens de la Révolution, armée idéologique de la République islamique d'Iran, qui a déclaré le 30 septembre dernier (selon une dépêche de l'AFP) : « La destruction d'Israël n'est plus un rêve mais un but à portée de main » Seul le Président américain a osé élever la voix et prendre des sanctions économiques, qui font déjà effet, à l’encontre d'un État belliqueux. Il est plus facile de critiquer Donald Trump, un homme démocratiquement élu, et cela avec une régularité plus que douteuse, que de s'en prendre régulièrement à tous les autres despotes qui sèment la désolation ici-bas.