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UN PEU DE TOUT - Page 101

  • Ma seconde réponse à Joseph Daher : voici le supposé apartheid brutal de l’État juif

    Décortiquons 4 points de l’information :

    1 -/ Infirmiers arabes israéliens :

    Eretz Israël compte plus de 21% d’Arabes israéliens, au nombre de 1,956 millions en début d’année. En comparaison, à Gaza où règne le Hamas, il y a zéro Juifs – si l’on excepte une petite poignée de braves soldats antiterroristes infiltrés. Et impossible pour un Juif de pénétrer dans un territoire palestinien, même par erreur, sous peine de lynchage, suivi d’une mort probable. Des panneaux le rappellent aux entrées routières.

    Photo d’archive personnelle

    Il se trouve que les employés arabes sont surreprésentés dans le système de santé israélien.

    Selon des chiffres du Ministère de l’intérieur via le quotidien Haaretz en 2020, 17 % des médecins et le quart des infirmiers sont issus de la minorité arabe, ainsi que près d’un pharmacien sur deux.

    Les Arabes israéliens parviennent jusqu’aux plus hautes fonctions du domaine hospitalier (et de bien d’autres domaines), telle cette femme Chef de service qui s’illustrait l’année dernière dans son combat contre la pandémie covid:  [bémol dans cet article, l’erreur courante concernant les « palestinens » qui en 1948, n’existaient pas nommément.]

    Khitam Hussein 

    L’intégration arabe au système de santé israélien ferait exception, pourrait-on rétorquer ? Voici un autre domaine : Ella Wawiya, femme, musulmane et capitaine dans Tsahal, portée volontaire au lieu d’être exemptée comme il le lui est possible, pour qui « Le drapeau israélien [lui] donne un sentiment d’excitation, d’appartenance et d’amour ». « Que recherchent les gens? L’égalité entre un arabe et un juif, un bédouin, un druze et un circassien. Le chemin de l’égalité passe par Tsahal, le ministère de la Défense, la police. C’est comme ça que ça commence ».

    Ella fait partie des 1000 arabes israéliens incorporés dans l’armée israélienne , au sujet desquels la question de confiance ne se pose quasiment plus, et réciproquement.


    Quant à l’éducation nationale, sous le précédent gouvernement Netanyahu, le nombre d’étudiants arabes dans l’enseignement supérieur, était passé à 18%. La France interdit ce genre de statistique, mais en toute honnêteté, il est permis de supposer, quelles qu’en soient les raisons, que nous sommes loin d’atteindre cette proportion de population arabe estudiantine.

    Étudiants arabes israéliens sur le campus de Givat Ram à l’université hébraïque, le premier jour de la nouvelle année universitaire, le 26 octobre 2014. (Miriam Alster / Flash90)

    Autre exemple – si l’on peut le qualifier ainsi – marquant d’une intégration israélienne confinant parfois au masochisme : cette femme arabe chrétienne, députée de la Knesset, Aïda Touma-Suleiman. Celle-ci se permet régulièrement, ouvertement et sans ambages, d’utiliser la chaire de la haute fonction publique qui lui est assignée, pour s’acharner contre le pays qui lui donne cette chance et en trahir les fondements sécuritaires. Quand elle ne crache, pas au sens propre, sur les accords d’Abraham au travers de la représentation de la délégation bahreïnie comme mardi dernier, elle promeut une politique favorisant le plus dangereux ennemi d’Israël, l’Iran. Adhérente du Hadash pour lequel elle est rédactrice en chef, allié à la gauche radicale, lequel parti avait formé la Liste unifiée avec les partis arabes Ta’alBalad. La Liste siège avec 6 sièges sur 120.

    Aïda-Toumah-Suleiman – Jonathan Zindel / Flash 90

    Sur le même registre d’appel à une déconstruction d’Israël, nous pourrions citer aussi un autre député arabe Mansour Abbas, de la Liste arabe unie, 4 sièges à la Knesset – séparée pour l’occasion de la Liste unifiée. Il s’illustre entre autres par sa complaisance envers les émeutiers arabo-israéliens ou le poison qu’il distille au sein de la coalition Benett , profitant d’une faiblesse structurelle et organisationnelle pour semer le doute chaotique par ses petits mensonges.

    Mansour Abbas a deux faces

    2 -/ Un terroriste membre du Hamas

    Revenons au selfie (in)hospitalier.

    Miqdad Qawasmah, 24 ans, est parfaitement identifié. Il appartient à un clan familial réputé pour ses activités terroristes.  Le père est un haut responsable du Hamas, son frère est Abdullah Qawasma, ancien commandant de la branche armée du Hamas à Hevron ; ayant assassiné 44 Juifs, il a été refroidi en 2003 par Israël.

    Il est sûr que durant sa captivité, Miqdad Qawasmah ne craignait pas beaucoup de perdre du poids, et il est bon de rappeler certains images comparatives de captivité palestinienne (ci-dessous en haut pour Gilad Shalit) et israélienne (en bas de l’image, le résultat du régime carcéral de la palestinienne Ahed Tamini).

    Et en vidéo :

    https://fb.watch/8FlGZ0JP6J/

    vs

    https://youtu.be/XA4NMTzWQDo

    3 -/ En grève de la faim dans l’hôpital

    Nous apprenons ici qu’un terroriste arabe, déjà antérieurement condamné à la prison, est jugé suffisamment digne de pitié pour être humainement pris en charge et bénéficier de soins et d’attention au sein d’un hôpital israélien, alors même qu’il inflige lui-même à son corps les violences sensées être soulagées dans cet espace public.

    Il est utile de savoir que par ailleurs la pratique est courante en Israël, pour un terroriste qui souhaite échapper à sa détention provisoire. En effet, au bout d’un certain temps bien entendu non critique, le bon cœur israélien met en général un terme à ces souffrances auto-infligées, en libérant purement et simplement la supposée victime du système sécuritaire d’incarcération administrative.

    Or, toute faveur dhimmie accordée aux ennemis des Juifs, est rendue en mille, en termes opposés de terreur, de douleurs et de familles endeuillées.

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    Louons ici en apparté, contraste qui n’échappera à personne, le courage de la si malheureuse Ebru Timtik, qui elle n’a jamais eu la chance de voir se concrétiser une quelconque pitié, ni parmi les tortionnaires de son pays, ni par le travail abouti d’« humanistes » plus prompts à se dresser au secours du terrorisme islamique. Pour mémoire, cette magnifique avocate est décédée en août 2020 au terme de 238 jours de longues souffrances dans les geôles turques, en grève de la faim pour réclamer un procès équitable. Le crime d’Ebru Timtik était de défendre les droits humains bafoués en Turquie, ce qui l’associait aux cibles des purges du pouvoir. Au stade de la plus grande faiblesse physique, elle n’a pas eu l’aumône d’une sortie de détention pour être traitée plus dignement dans un hôpital. Ebru Timtik a encore moins bénéficié d’une quelconque chaleur solidaire.

     Ebru Timtik, avocate ouvertement de gauche, était âgée de 42 ans.

    Ebru Timtik, avocate ouvertement de gauche, était âgée de 42 ans.

    Ankara accusait l'avocate d'être affiliée à l'organisation marxiste-léniniste radicale DHKP-C.

    Ankara accusait l’avocate d’être affiliée à l’organisation marxiste-léniniste radicale DHKP-C. Crédit : Capture d’écran Twitter

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    4 -/ [les 2 infirmiers] Lui manifestant un soutien chaleureux

    La solidarité affichée avec le terrorisme, exprimée au sein même d’un hôpital, par l’intermédiaire appuyé de 2 personnels de soin, habilités par conséquent à dispenser aussi des soins et contribuer au sauvetage de vies juives entre autres, elles-mêmes menacées de disparition par ledit terroriste et son mouvement, ne choque pas grand monde en Occident.

    Pour couronner le tout il faut savoir que l’hôpital n’a pas congédié les 2 amateurs de selfie pro-terroriste, au motif qu’ils ont exprimé des regrets après enquête disciplinaire. Il n’est pas rapporté qu’ils aient pris conscience du caractère répréhensible de leur acte, mais tout laisse supposer qu’ils ont plutôt réalisé et regretté le problème de l’avoir filmé, et surtout dif

    https://twitter.com/i/status/1447468507738877961

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    De ce fait, si l’on résume la situation (à part Ted):

    Israël offre les meilleurs soins aux prisonniers et détenus administratifs arabes israéliens ou palestiniens eussent-ils du sang sur les mains.

    Israël offre les meilleures chances d’une bonne situation sociale à ses populations arabes, leur confiant des postes relevant d’une responsabilité morale, et ici, sanitaire de surcroît.

    En échange des chances offertes (demandez aux arabes israéliens, même les plus remontés contre le pays qui les nourrit, s’ils envisageraient de rejoindre les « territoires palestiniens », la réponse négative ne se fera pas attendre) certains personnels arabes comme ici, crachent dans la main tendue en s’acoquinant, l’espace d’un film de soutien mais avant tout, par le penchant du cœur, avec les ennemis terroristes. Ce faisant, ils peuvent constituer eux-mêmes un risque terroriste, mais ne sont pas inquiétés pour autant.

    Lesquels ennemis – Miqdad Qawasmah a 5 compères de même engeance dans la même situation – dès qu’ils auront suscité la larme à l’œil de décideurs Juifs dégoulinant de bonté mal placée, pourront stopper leur grève de la faim et assurer l’arrêt de leur captivité préventive. Se privant dans le même temps d’un engraissement spectaculaire aux frais de la princesse israélienne. Mais ne privant pas la société civile et militaire de leur activisme terroriste une fois libérés.

    Par Marie Autesserre

  • Ma réponse concernant le dernier billet de Monsieur Joseph Daher

    Il est grandement inadmissible que des vidéos de juifs injuriés, talochés, jetés au sol, tabassés, effrayés d’être exécutés par des arabes, en Israël même, et tout cela accompagnés de railleries antisémites puissent faire le tour du monde sans qu’aucun média dans le monde occidental ne s’en insurge. Pourtant, ces scènes se passent dans l’État juif, et principalement dans sa capitale, et à l’occasion du dernier Ramadan. On ne peut être qu’exaspéré devant la justification fumeuse qui nous est fournie. Évoquer la frustration des jeunes arabes israéliens, c’est faire fi de cette haine judéophobe qui est inculquée à ces jeunes dans les mosquées de Ramallah, de Gaza, et même dans les mosquées israéliennes. Et si cela peut "rassurer" Monsieur Daher, qu'il sache que Le chef du service de sécurité intérieure israélien, le Shin Beth, a déclaré que 450 attentats ont été déjoués depuis le début de l'année, que ce soit en Cisjordanie Judée Samarie ou en Israël même. Encore hier soir, les forces de Tsahal ont empêché une attaque contre des civils, arrêté deux terroristes qui étaient sur le point d’incendier des voitures de cocktails Molotov sur l’autoroute 60 entre Jérusalem et Gush Etzion. 

    Comment ne pas fustiger les médias si prompts à accuser la réaction de l’organisation juive Lehava. Pourtant, elle ne s’est faite l’auteure d’aucun acte violent, d’aucun méfait, à l’égard des arabes israélien. Seule a-t-elle à son actif une marche de protestation dans les rues de Jérusalem pour dénoncer les attaques antisémites. Si l’on a pu entendre les slogans « Mort aux arabes » il a été l’œuvre de quelques marginaux qui ne représente pas le mouvement.

    Par ailleurs, il est ignominieux que les chefs des partis politiques arabes israéliens non seulement n’ont pas dénoncé pas les nombreuses agressions antisémites ayant eu lieu le printemps dernier, mais ont soutenus les agresseurs et ont appelé à une nouvelle intifada. Ayman Oudeh, président de la Liste arabe représentée au parlement israélien a ainsi écrit, et cela sans être pénalement inquiété : « La révolte décisive s’achèvera avec la fin de l’occupation et lorsque le drapeau de la Palestine flottera sur les mosquées, les églises et les murailles de Jérusalem, de la Jérusalem libérée ! » Et dire que certains accusent Israël d’être un pays d’apartheid… De plus, Monsieur Daher est-il au courant de l’actualité ? Le parti arabe Raam siège depuis quelques mois dans la coalition gouvernementale.

    Concernant la Cisjordanie Judée Samarie, je rappelle à Monsieur Daher que si, en 1948, l’État arabe de Palestine n’est pas né en même temps que son jumeau Israël, c’est parce que les Arabes ont refusé la Résolution 181 de l’ONU qui leur attribuait l'entière Judée Samarie. Nonobstant cela, et selon les accords d'Oslo, Israël a consenti au partage non définitif entre Israéliens et Palestiniens du susnommé territoire conquis lors d'une guerre que la Jordanie lui a déclarée en 1967.

    Et pour en venir à Gaza, l'enclave fut libérée en 2005 de toute présence juive. Remise à l'Autorité palestinienne, le Hamas, dans un bain de sang, s'en est emparé deux ans plus tard. La charte de ce groupe terroriste prône l’éradication de l’État juif. Pour ce faire le Hamas ne lésine pas sur les moyens et tire régulièrement des roquettes et lance des ballons incendiaires sur les civils israéliens qu'ils soient juifs ou arabes.

    Alors écrire que, et je cite Monsieur Daher : Cisjordanie et à Gaza ont démontré, une fois de plus, la nature coloniale, raciste et d’apartheid brutale de l’État sioniste ne résiste pas aux faits.

    Aussi fais-je remarquer à Monsieur Daher qu’interviewé sur son identité palestinienne en mars 1977 par le quotidien hollandais, Trouw, Zuheir Mohsen, alors l'un des principaux leaders de l'OLP répondit: «Il n'y a aucune différence entre les Jordaniens, les Palestiniens, les Syriens ou les Libanais. Nous faisons tous partie de la Nation Arabe… C'est uniquement pour des raisons politiques que nous mettons en avant notre identité palestinienne. Parce que c'est dans l'intérêt du monde arabe de soutenir l'existence des Palestiniens pour contrebalancer les Sionistes. Cependant, la création d'une identité palestinienne indépendante n'est que tactique. L'établissement d'un État Palestinien est une arme contre Israël et pour l'unité du monde arabe».

    Puisse donc Monsieur Joseph Daher savoir raison garder !

    David Frenkel



  • Le matraquage régulier de la soit disant occupation israélienne

    Au vu de de l’attitude de la presse en général qui ne cesse de marteler  les lecteurs, à la moindre occasion, que la Cisjordanie Judée Samarie, est occupé par Israël, et cela nonobstant les accords d’Oslo qui même s’ils nécessitaient de futurs aménagements négociés, partageaient ce territoire entre l’État hébreu et l’Autorité palestinienne, je ne résiste pas à publier la majeur partie d'un article de Sammy Ghozlan écrit pour le compte du BNVCA (Bureau National de Vigilance contre l’antisémitisme) et intitulé France : Le poison de l’antisémitisme lié à Israël. Le matraquage régulier de la soit disant occupation israélienne d’un territoire conquis, et rappelons le quand même, à la suite d’une guerre défensive, alors que les dizaines de territoires occupés de par le monde sont quasiment passés sous silence par les médias, entre dans le cadre de ces mesures d’exception envers l’État Juif qui définissent l’antisémitisme.

    David Frenkel

    France : Le poison de l’antisémitisme lié à Israël

    Le BNVCA constate que le « poison de l’antisémitisme » lié à Israël continue à se répandre dans les rues et villes de France

    Le BNVCA s’étonne qu’après l’adoption par le Sénat de la définition de l’antisémitisme, incluant l’antisionisme et la haine d’Israël, et malgré l’adoption d’une « Stratégie de lutte contre l’antisémitisme et de soutien à la vie juive » par l’UE, inquiète de voir la résurgence d’un antisémitisme virulent dont la haine d’Israël est devenue le support, rien ne change.

    A Toulouse ou Paris, Clermont-Ferrand, Montpellier ou d’autres villes de France, aux heures d’affluence, chaque samedi, les passants sont exposés à la propagande mensongère des officines qui demandent l’élimination d’Israël, de la Mer au Jourdain.

    ...Aucun mot ne manque pour vomir leur haine d’Israël et inciter des esprits faibles et déséquilibrés au pire, y compris contre les Juifs ici. La protection policière, durant des heures, cautionne leurs éructations.

    Pendant ce temps, ici ou là, en Afghanistan, en Syrie, des attentats font des dizaines de morts. Mais pas un mot de ceux qui ont fait d’Israël leur seule et unique cible.

    Ainsi que l’affirme Mme Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne, « l’antisémitisme est un poison pour notre société », dont l’antisémitisme lié à Israël est la forme la plus répandue actuellement.

    Le BNVCA déclare que tant que ces manifestations perdureront, la lutte contre l’antisémitisme ne sera, au mieux, qu’un vœu, au pire, qu’une vaste hypocrisie.

    Sammy Ghozlan pour le BNVCA

    SourceTRIBUNEJUIVE.INFO