Un vent de hargne souffle sur les États-Unis emmenés par le sénile Joe Biden.

Rappelons les faits :

A Minneapolis, Derek Chauvin a procédé, ensemble avec trois autres policiers, à l’arrestation d’un voyou, nommé George Floyd. qui tentait d’écouler un faux billet de 20 dollars, et qui était, au moment de l’arrestation, sous l’emprise de stupéfiants. Il avait ingurgité une importante dose de Fentanyl, une drogue 40 fois plus puissante que l'héroïne, et qui tue le plus aux U.S.A. Les substances avalées lui provoquaient l’étouffement. Refusant de monter dans la voiture de police, il s’allongea sur le sol. Le policier l’y a donc maintenu en posant son genou sur son épaule (et non pas sur son cou, comme cela a été faussement rapporté sur la base d’une vidéo prise de biais. D’autres vidéos présentées lors du procès le montrent clairement) Constatant que George Floyd allait de mal en pis, Derek Chauvin appela une ambulance. Le premier nommé est déclaré mort une heure après avoir été admis à l'hôpital. Jusqu’à ce que l'ambulance arrive, le policier s’est servi des techniques que l’on apprend à l’école de police et n’a commis aucune brutalité. Gardons aussi à l’esprit que ce dernier a de nombreuses fois été récompensé pour son courage et son professionnalisme. Il est à noter que George Floyd était un criminel récidiviste qui avait déjà pointé une arme sur une femme enceinte lors d’un cambriolage.

Toutefois, et  au vu de ce qui précède, Alan Dershowitz, un avocat américain fort connu, a déclaré que les commentaires de Maxine Waters, femme tenant un rôle important dans le Parti démocrate, et d’autres personnes ont intimidé le jury, ce qui signifie que la condamnation de Derek Chauvin devrait être annulée en appel.

Prenant appui sur ce dramatique fait divers, Le Parti démocrate a immédiatement incité à l’émeute, car il a accusé la police dans son ensemble d’être raciste. Le Parti a trouvé en Black Lives Matter une organisation qui est allée déclencher de violentes manifestations en recevant le soutien d’Antifa (nom collectif utilisé par différents groupes autonomes et souvent informels se réclamant de l'antifascisme). Les plus grandes villes du pays ont été ravagées. Les médias américains ont à peine fait état de ces manifestations dont les Démocrates ont prétendu qu'elles étaient pacifiques. Ces derniers ont exigé de ne plus financer les forces de police considérés par eux comme étant racistes.

Pourtant, voici les statistiques sur les violences policières contre les Noirs qui démentent les idées reçues de la propagande médiatique (source :https://www.dreuz.info/2020/06/06/une-montagne-de-preuves-montre-que-les-policiers-tirent-moins-sur-les-noirs-que-sur-les-blancs/:

(I) Les chiffres suivants sont tirés d’un rapport (http://bjs.ojp. usdoj.gov/content/pub/pdf/ph98.pdf du Bureau des statistiques de la justice sur la période 1976-1998) :

• Dans 81% des homicides justifiables contre des noirs commis par la police entre 1976 et 1998, l’officier qui a tué un suspect était lui-même noir.
• En 1998, le nombre de policiers noirs qui ont tué un suspect noir était de 32 par 100 000 officiers noirs.
• La même année, le nombre de policiers blancs qui ont tué un suspect noir était de 11 par 100 000 officiers blancs.
•  Cela veut dire que les policiers noirs tuent trois fois plus souvent des suspects noirs que les policiers blancs.
• Toujours la même année, le nombre de policiers blancs qui ont tué un suspect blanc ou hispanique était de 28 par 100 000 officiers blancs.
•  Cela veut dire que les policiers blancs tuent deux fois et demie plus de suspects blancs et hispaniques que des suspects noirs.

(II) En 2015, une étude (http://www.justice.gov/opa/pr/department-justice-releases-report-philadelphia-police-departments-use-deadly-force)  du département de la Justice de la police de Philadelphie a révélé que les officiers noirs étaient 67 % plus susceptibles que leurs collègues blancs de tirer par erreur sur un suspect noir non armé. 

• L’étude ajoute que les officiers hispaniques étaient 145 % plus susceptibles de faire de même.
• La même année, une étude (http://amstat.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/2330443X.2015.1129918) du département de police de New York réalisée par le professeur de criminologie Greg Ridgeway a révélé que les officiers noirs avaient 3,3 fois plus de chances que leurs collègues blancs de décharger leurs armes dans le cadre de leur travail. Ce qui détruit le cliché de « flics blancs à la gâchette facile ».

Et le reste à l'avenant, voir :