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Echec du Parti démocrate américain

On peut reprocher à la presse écrite et audio-visuelle de n'avoir pas fait preuve de professionnalisme en ânonnant en chœur que Donald Trump dans son discours du 6 janvier à incité les gens qui l’écoutaient à envahir le Capitole. Si certains journalistes avaient été tant soit peu conscient des exigences de leur fonction, ils auraient :

°primo relu le discours de Trump, et auraient constaté qu'il a dit: "Nous marcherons vers le Capitole" et non "Nous envahirons le Capitole"

°et secundo ils auraient constaté que la chronologie des événements établie par le New York Times lui-même (https://www.nytimes.com/interactive/2021/01/12/us/capitol-mob-timeline.html), au moyen de vidéos, montre que les manifestants ont commencé à s’en prendre au Capitole 20 minutes avant que Trump ne termine son discours.

Cela étant dit, je reproduis un article de Jean-Patrick Grumberg paru sur Dreuz Info, et qui prouve de façon indubitable que D. Trump n'est pour rien dans l'envahissement du Capitole le 6 janvier dernier. Que ceux qui qualifient ce dernier de complotiste, d'extrême droite, etc, se prennent la peine de lire l'article en son entier, et ils s'apercevront que n'est pas  journaliste, dans le sens d'entêtement d'aller jusqu'au bout de la démarche d'informer, ceux que l'on croît l'être.

David Frenkel

Après l’échec du procès en destitution du président Trump, les Démocrates voulaient leur revanche. Ils ont donc convoqué une audience sur l’émeute du Capitole. Ce qu’ils ont appris les a pris à contre-pied : tout l’opposé de ce qu’ils voulaient entendre.

Le Sénat a tenu ce mardi 23 février sa première audition sur l’émeute de janvier au Capitole. Les commissions sénatoriales de la Sécurité intérieure et des Affaires gouvernementales (HSCAC) et du règlement et de l’administration se réunissaient pour obtenir des informations sur la préparation et la réponse à l’attaque du 6 janvier contre le Capitole.

La principale conclusion de ce témoignage est la confirmation que des violences étaient prévues depuis longtemps contre le siège du gouvernement, ce qui innocente Donald Trump comme nous l’avons régulièrement indiqué : Dreuz avait raison contre toute la presse francophone, qui est tombée la tête la première dans le complotisme, et ce n’est pas rien.

La seconde conclusion est qu’il y a eu un manque de communication entre les policiers du Capitole et les services de renseignement, les premiers étant restés dans l’ignorance du rapport alertant de ce qui se préparait.

Mais ce n’est pas tout : les officiels savaient, et n’ont rien dit.

L’ex-sergent d’armes de la Chambre, Paul Irving, a témoigné :

« Il n’a été évoqué dans aucune des discussions inter-agences auxquelles j’ai assisté les jours précédant l’attaque, qu’il y aurait une attaque coordonnée contre le Capitole », a déclaré Irving.

L’ancien chef de la police du Capitole américain Steven Sund a confirmé. Il a même déclaré qu’il regrettait d’avoir démissionné dans les jours qui ont suivi l’insurrection du 6 janvier, faisant valoir que les défaillances des services de renseignement étaient à blâmer pour avoir permis une « attaque coordonnée ».

Cela contredit les affirmations des responsables du dossier en destitution selon lesquelles Trump aurait dû savoir d’une manière ou d’une autre que l’attaque allait avoir lieu, mais il n’est pas dans mon intention de refaire un procès qui a été gagné.

Steven Sund a témoigné que lui et d’autres fonctionnaires pensaient que le 6 janvier ressemblerait aux classiques manifestations MAGA. Ils pensaient bien que des affrontements entre groupes extrémistes des deux bords pourraient se produire, mais ils n’ont rien anticipé de tel, ils n’ont pas imaginé que des groupes tenteraient de violer le Capitole.

Pour rappel, en janvier, le président Trump a été destitué par la Chambre des représentants. L’affaire a duré quelques heures à peine parce que tout était décidé à l’avance : ils n’ont produit aucun témoin, aucun témoignage et aucune preuve. Il s’agissait d’une pure réaction de haine déchaînée, instrumentalisée par des gens de pouvoir. Le procès au Sénat a lui-même duré à peine une semaine – une semaine pour destituer un président, comme s’il avait volé des pommes à l’étalage. Là encore, l’accusation n’a réussi à fournir aucune preuve liant Trump aux émeutiers.

Nous savions cela. Les Démocrates savaient que l’impeachment n’irait nulle part puisque les Démocrates n’avaient pas les ⅔ du sénat nécessaire pour prononcer une condamnation, et ils savaient que le juge en chef de la Cour suprême avait refusé à l’avance de prendre le cas : on ne destitue pas quelqu’un qui n’est plus en fonction. Nous savions que l’idée était de réécrire l’histoire pour le futur : innocenté n’a pas arrêté le New York Times, journal de référence, de titrer en gros : « Trump coupable ». Et nous savions que la haine est si forte que l’idée de salir la réputation du président leur était irrépressible.

Mardi, nous avons découvert une pièce supplémentaire du puzzle :

Tandis que les faits étaient relégués au second plan et que la laideur politique affichait son visage, nous découvrions que les Démocrates ont aidé le GOP à se débarrasser de Trump pour reprendre le cours normal de leurs petites affaires. Ce procès, c’était la confirmation que le marécage Républicain de Washington reprenait sa place près du marécage Démocrate.

Les électeurs Républicains ne sont pas stupides. Ils ont vu clair dans tout cela, Donald Trump l’a parfaitement compris – comme il a lui seul compris, depuis longtemps, ce que contient le cœur des Américains conservateurs – et il va maintenant capitaliser sur la trahison du GOP, pour le bien du pays. Les Républicains soutiennent toujours massivement Trump, ils savent qu’il n’a rien incité, et ils savent que les événements du Capitole sont choquants, mais pas au point que le montrent les médias.

Antifa

L’autre information essentielle de cette audition est la confirmation qu’Antifa était bien présent parmi les émeutiers, et qu’après l’audition, les médias ont continué à le dissimuler au public.

Nous savons avec certitude – ce qui était seulement suspecté – qu’Antifa était massivement présent lors des émeutes du Capitole, et a été impliqué dans le déclenchement de l’assaut du bâtiment. Même après que l’ancien chef de la police du Capitole Steven Sund ait admis que c’était vrai, les médias traditionnels et les Démocrates ont été occupés à qualifier sa déclaration de fausse.

Lors de son témoignage, Sund a reconnu qu’Antifa était non seulement là, mais que la police avait été informée à l’avance de l’arrivée d’Antifa. Sa déclaration, envoyée au Congrès dit ceci :

« Le rapport indiquait que des membres des Proud Boys, des groupes de suprématistes blancs, d’Antifa et d’autres groupes extrémistes étaient attendus le 6 janvier, et qu’ils pourraient être enclins à devenir violents ».

https://www.foxnews.com/politics/capitol-police-chief-sund-regrets-resigning-riot-coordinated-attack-intelligence-failures-fbi-domestic-extremists

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Et encore ceci pour la bonne bouche :

24 février – Biden ressort le mensonge maintes fois débunké selon lequel Trump a dit que l’eau de Javel soignait le coronavirus.

Obsédé par l’ombre de Trump, mais très superficiellement informé parce qu’il ne lit que la presse de gauche, Joe Biden a répété une accusation contre Donald Trump que les fact checkers – eux aussi de gauche – ont dénoncé comme mensonger.

Joe Biden attaqué Trump lors d’un événement à distance organisé par la Maison-Blanche pour les travailleurs noirs de premiers soins. Biden a déclaré en faisant référence à Trump :

« Je pense que les gens ont pris conscience que, euh, euh, vous savez, euh, l’injection d’eau de javel dans votre système ne va pas vous soigner. »

A cette occasion, Biden ne portait pas de masque, et a affiché un visage très Botoxé dont aucun média ne se moquera – alors que les journalistes ne rataient pas une occasion de mentionner le tain orangé de Donald Trump, sans doute après une séance de bronzage artificiel.

https://twitter.com/therecount/status/1364297868887158793?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1364297868887158793%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.thegatewaypundit.com%2F2021%2F02%2Fbiden-takes-cheap-shot-president-trump-injecting-bleach-system-doesnt-injecting-botox%2F ⧏30⧐ Trump ⧏32⧐ Trump ⧏31⧐ ⧏30⧐ Trump’s ⧏32⧐ de Trump ⧏31⧐

Non, Trump n’a pas dit aux Américains infectés par le coronavirus de boire de l’eau de Javel, avait confirmé Politifact le 11 juillet 2020.
https://www.politifact.com/factchecks/2020/jul/11/joe-biden/no-trump-didnt-tell-americans-infected-coronavirus/

VERDICT : FAUX.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

 

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