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Espérons que le peuple américain ne soit pas dupe

Il y quand même quelque chose de révoltant et d’incompréhensible dans les manifestations violentes qui ont lieu actuellement au pays de l’Oncle Sam. Le crime ignominieux dont a été victime George Floyd, un homme à la peau noire, ne peut en aucun cas justifier les violences aux États-Unis. Il convient de rappeler aux saccageurs et aux pilleurs qu’une femme à l’épiderme blanc, Justine Diamond, a été tuée à Minneapolis en 2017 par un policier,  nommé Mohamed Noor, doté d’une peau noire (il purge actuellement sa peine de prison), sans que cela eut provoqué des vagues d’émeute. Sous d'autres présidents états-uniens, certaines bavures policières concernant des actes racistes envers les afro-américains n'avaient pas provoqué des soulèvements de telles ampleurs. Le quidam qui suit l’actualité américaine pourrait à juste titre se demander si une mouvance politique ne tire pas les ficelles de ses violentes manifestations. Aucun président américain n'a dû se mettre en sécurité dans le bunker de la Maison Blanche, au vu des déchaînements de haine se rapprochant de lui.  Et il est hélas triste de constater que bien des dirigeants du Parti Démocrate ont accusé Donald Trump d’avoir propagé un air de racisme, et par conséquent d’avoir sur la conscience la mort George Floyd. J’en veux pour exemple Jacob Frey, membre d’un parti d’extrême gauche rallié au Parti Démocrate, qui au lieu d’appeler les casseurs à la raison, les a excité en prétendant sottement que la police de sa ville était raciste. Ce qui est un comble lorsque l’on sait que le chef de police à Minneapolis, haut lieu des violences, est un afro-américain.

Accusé à tort d’avoir été laxiste dans sa gestion du coronavirus, Donald Trump fut pourtant le premier à avoir fermé les frontières des États-Unis aux étrangers arrivant de Chine, et alors que l’économie américaine commence à se redresser après le déconfinement, voilà maintenant que le Parti Démocrate tente de mettre le crime raciste sur le dos du président américain. Espérons que dans l’intérêt de la démocratie, le peuple, qui sera en novembre appelé aux urnes, n’en soit pas dupe.

David Frenkel

 

 

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