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Oui, ce genre de moralistes on en veut encore et encore !

Il faut se pincer pour le croire. Contribuer à la lutte contre le coronavirus, c’est être taxer de de donneur des leçons de morale ! Oui, je le hurle haut et fort : les parlements, les exécutifs, devaient fermer boutique et les parlementaires devaient rester chez eux. Et faisons la morale à ceux qui risquent de tuer autrui en les infectant de leur pernicieux virus ! Lorsqu’un automobiliste s’apprête à prendre le volant en état d’ivresse, quand quiconque met en danger par sa conduite la vie d’autrui, c’est une obligation morale de le dénoncer. Et si l’on devait avoir le vrai esprit critique on en voudrait à nos autorités pour avoir tardé à prendre des mesures nécessaires contre la propagation du coronavirus. Oui, la fermetures des entreprises suisses répondaient, hélas tardivement, à la préservation de ce qui nous est le plus cher, je veux parler de la vie. Il est irréaliste de prétendre que dans les petites et les moyennes entreprises les distances sanitaires puissent en tout temps être respectées. Et de quel droit sacrifierait-on alors même une seule personne sur l’autel du dieu argent, du dieu étatique ou du dieu politique ? Si plaie d’argent n’est pas mortel, les ravages d’un virus, eux, le sont. Oui, ce genre de moralistes on en veut encore et encore  pour le salut, pour la liberté de vivre de chacun.



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