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  • Jérusalem-Est, (partie de la cité du Roi David) serait palestinienne...

    ."Jérusalem-Est, partie palestinienne annexée par Israel", écrivez-vous, Monsieur Belliiard , journaliste, spécialiste du Moyen-Orient. Mais pouvez-vous me dire quand cette partie de la ville fut "Palestinienne" ?

    C'est la JORDANIE qui occupait cette partie de la ville de 1948 à 1967 après en avoir chassé tous les juifs et avoir brùlé  les synagogues qui s'y trouvaient !!!

    Israël a conquis cette partie de la ville après une guerre que la Jordanie lui a déclarée. l'Olp a été constituée qu'en 1962, alors que la Jordanie occupait encore Jérusalem-Est !!!

     Comment pouvez-vous Monsieur Belliard réécrire l'histoire d'un territoire situé  au Moyen-Orient ?
     
    Votre phrase "Jérusalem-Est, partie palestinienne annexée par Israël" est un cas d'école de fourvoiement journalistique et explique aussi le rejet  dimanche par le peuple suisse de  l'aide aux médias.
     
    David Frenkel

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  • Non, Madame Carol Scheller

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    A Gaza, France Inter et des «humanitaires» font cause commune contre Israël

    Y a-t-il un « ton » anti-israélien sur France Inter ? Si vous vous posez la question, nous vous conseillons d’écouter (et de lire) le dernier reportage à Gaza du correspondant de la radio publique en Israël, Etienne Monin.

    Vous aurez un bon aperçu de ce que l’on appelle un reportage biaisé.

    Pour résumer le récit du journaliste de France Inter, Gaza ne serait peuplée que de pacifiques agriculteurs contraints de labourer leurs champs sous la menace permanente – et les tirs – de soldats israéliens ouvrant le feu de manière indiscriminée sur des civils palestiniens, sans doute dans le but de les terroriser et de les humilier.

    Nous n’exagérons ni ne caricaturons en rien le contenu du reportage dont voici les « meilleurs » extraits.

    Dès le sous-titre, le ton est donné :

    À Gaza, la frontière avec Israël fait partie des endroits les plus dangereux au monde. Pourtant, des agriculteurs continuent d’y cultiver leurs champs, en prenant de gros risques. Plus les agriculteurs s’approchent de la barrière israélienne, plus le risque augmente.

    Puis il y a le témoignage de l’agriculteur Mohamed Abu Dagga :

    Dans ce secteur, le métier d’agriculteur est un métier à risque. Cette zone rouge est en dégradé : mortelle à 300m de la frontière, dangereuse jusqu’à 1,5 km. Chacun s’adapte au risque.

    Le site de France Inter lui-même met en exergue un autre passage de l’interview de l’agriculteur palestinien.

    Ainsi que celui d’un autre agriculteur, Tallat Abou Teir qui « cultive des tomates et du persil » :

    Des témoignages orientés et invérifiables 

    Il faut souligner le caractère très insidieux du reportage de France Inter. 

    En fait, aucun des deux agriculteurs interviewés n’a jamais été blessé par des tirs de soldats israéliens. 

    Ils n’indiquent aucun lieu, ni aucune date à laquelle ils auraient pu être victimes ou témoins d’incidents, ce qui permettrait de procéder à des vérifications. 

    Ils évoquent juste un « risque » permanent face à des soldats israéliens dont on nous fait bien comprendre – sur le mode de l’insinuation – qu’ils peuvent ouvrir le feu pour un oui ou pour un non, mus sans doute par une brutalité aveugle ou peut-être même par une insondable cruauté, par le plaisir de faire un carton sur un « agriculteur palestinien ». 

    Pas d’incident impliquant un « agriculteur palestinien » depuis plus d’un an 

    L’équipe d’InfoEquitable s’est donnée la peine de vérifier sur le fil de l’Agence France-Presse (AFP), pourtant prompte à reprendre sans sourciller les communiqués du Hamas : cela fait des mois qu’il n’y a pas eu le moindre incident de tir sur la frontière impliquant un « agriculteur palestinien ».

    Le seul cas que nous avons trouvé de remonte à plus d’un an, le 3 mars 2018. Il est d’ailleurs basé sur les affirmations du ministère palestinien de la Santé à Gaza, totalement inféodé au Hamas, et n’a jamais été confirmé par une source fiable et indépendante. 

    Il n’y a guère de moyens de vérifier que Mohammed Abu Jumaa, le Palestinien atteint par les tirs de Tsahal, était ou non agriculteur. 

    Les Israéliens ont indiqué avoir ouvert le feu sur « un suspect qui s’approchait de la barrière » sans réagir aux tirs de sommation d’usage. Nous avons toutes les bonnes raisons de penser qu’il ne s’approchait pas pour planter des tomates ou surveiller la pousse de son persil. 

    Contrairement à ce que cherche à faire croire une propagande palestinienne reprise complaisamment par la presse française, les règles en vigueur au sein de Tsahal ne s’apparentent pas à celles du far west. L’ouverture du feu obéit à des règles très strictes, toujours sous le contrôle d’un officier. Les abus – lorsqu’ils il y en a – sont sévèrement sanctionnés. Des soldats et des gradés se sont retrouvés devant la justice israélienne pour avoir ouvert le feu de manière injustifiée. Les cas ont à chaque fois été rapportés par les médias israéliens.

    De nombreuses fake-news diffusés par le Hamas

    A plusieurs reprises, le Hamas a affirmé que des « agriculteurs palestiniens » avaient été tués par des tirs israéliens avant que ces allégations s’avèrent être des fake-news. 

    Le 14 janvier 2013, les services de santé à Gaza avaient accusé l’armée israélienne d’avoir abattu Mustafa Abu Jarad, un agriculteur palestinien. L’armée israélienne avait formellement démenti toute responsabilité, ce qui avait été signalé dans cette dépêche de l’agence Reuters (l’AFP, elle, avait trainé les pieds et diffusé très tardivement ce démenti). Après enquête, les accusations palestiniennes s’étaient avérées fausses. 

    Cette thématique des paysans de Gaza attaqués par Tsahal alors qu’ils se livrent pacifiquement à leurs travaux des champs est l’un des grands classiques de la désinformation palestinienne. Certains de ces cas ont été détaillés dans ce rapport sur les « faux morts de Gaza » publié par InfoEquitable.

    France Inter ne ne donne pas le point de vue des Israéliens

    C’est presque devenu une règle dans les reportages de France Inter consacrés au conflit israélo-palestinien : formuler des accusations contre l’armée israélienne sans interroger le porte-parole de Tsahal afin de lui permettre de répondre à ces accusations. 

    La cause est entendue. Israël est condamné par avance. 

    Sans doute la rédaction de France Inter considère qu’il s’agit là d’un « reportage objectif » et que l6es règles du débat contradictoire (et de neutralité du service public) ne s’appliquent pas dès lors qu’il s’agit de l’Etat juif. 

    (lire suite s/https://infoequitable.org/a-gaza-france-inter-et-des-humanitaires-font-cause-commune-contre-israel/)

    Par ailleurs,Madame Scheller, vous feriez bien de lire ce qui se trouve sur les deux liens suivants :

    https://cqvc.online/les-palestiniens-de-gaza-utilisent-les-medias-sociaux-pour-protester-contre-les-abus-du-hamas/

    et

    https://lphinfo.com/nouveau-geste-disrael-envers-gaza/

     
  • L'ingratitude, la cause de bien des malheurs

    De l’esprit paternel
    S’élève l’affection
    Pour sa tendre prunelle
    Le fruit de sa passion

    Mais elle n’en a cure
    Elle reste de marbre
    Quand la tendre piqûre
    Du père comme l’arbre

    Embrassant notre terre
    De ses maintes racines
    Étreint  la réfractaire
    De bises assassines

    De la sincérité
    D’un fidèle hyménée
    Prend vie la charité
    De la vraie dulcinée

    Mais lui l’ingrat mari
    Observe avec dédain
    La femme aux yeux meurtris
    Qui sanglote soudain

    Hostile à sa tristesse
    Le conjoint se débine
    Nulle délicatesse
    Avec lui se combine

    D’un univers constant
    Surgit l’effervescence
    Des réguliers printemps
    Ces éternels naissances

    Qui combattent la mort
    Mais l’homme prédateur
    Saccage sans remords
    Le fabuleux moteur

    De l’existence humaine
    Nombre de mésestimes
    Causent des phénomènes
    Questionnant notre intime

    David Frenkel (publié aussi s/le site De Plume en Plume)