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Haine palestinienne, ce n'est pas une question de territoires

Au moindre incident entre israéliens et arabes nommés unilatéralement "Palestiniens", la vox de l'Agence France Presse ne cesse de reprendre le traditionnel leitmotiv : « Cisjordanie, territoires palestiniens occupés depuis 1967 », et en parlant de Jérusalem-Est, « secteur palestinien occupé depuis 1967 », et nonobstant ce fait :

° En 1967, date à laquelle la Cisjordanie Judée Samarie, et Jérusalem-Est ont été conquises par Israël, celles-ci ont été occupées par la Jordanie. Israël s'est emparé desdits territoires, et rappelons-le quand même, à la suite d’une guerre que cette dernière lui avait déclarée. Le 31 juillet 1988, lorsque le Roi Hussein de Jordanie a renoncé à sa souveraineté sur la Cisjordanie Judée Samarie, les territoires, anciennement jordaniens, sont alors devenus des biens« sans maître », c’est-à-dire sans la moindre souveraineté étatique (en dépit de la présence militaire israélienne). Yasser Arafat s’est alors empressé de proclamer l’indépendance de l’État de Palestine (le 15 novembre 1988) sur ces terres.

Tout au plus donc, la Cisjordanie Judée Samarie ainsi que Jérusalem-Est pourraient-elles être qualifiées de « territoires disputés ». Or, comme nous allons le voir, le conflit entre israéliens et ceux nommés "Palestiniens" n’a pas pour objet une revendication, mais a pour objet la haine, la non acception d’un État juif au Moyen Orient.

David Frenkel

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