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Dans le chauderon Maudet, bien des colères bouillent encore

En jouant les Saintes nitouches, Le Parti Libéral-Radical genevois s’est sabordé lors des dernières élections. Et en redresseurs de torts, Bertrand Reich, s’en est pris dans un communiqué à ceux et celles qui ont soutenu Pierre Maudet lors de la dernière campagne électorale. Sa déclaration réprobatrice a entraîné la démission de Michel Rossetti, membre notoire du Parti, et ancien membre du Conseil administratif de la Ville de Genève de 1990 à 1999.  Michel Rossetti, n’est pas le seul à quitter le navire, l’ancien député radical Jacques Jeannerat en avait déjà fait de même vingt-quatre heures plutôt. D’autres membres émérites ont suivi Michel Rossetti. Diantre, qu’est ce qui a donc poussé le Président, Bertrand Reich, à jeter encore de l’huile sur le feu ? Décidément, dans le chaudron Maudet, qui a été allumé par les bien-pensants du PLR genevois, bouillent encore bien des colères. Celles-ci risquent fort de se consumer à jamais dans les abîmes de l'effondrement du Parti.

David Frenkel

 

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