La vérité sur l'assaut du Capitole à Washington
Que de mensonges par omissions, si ce ne sont des mensonges tout court, n'a-t-on pas entendu ou lu dans les médias et ici sur la plateforme concernant le soit disant coup d'Etat qu'auraient perpétré les partisans de Trump. Vraiment nous vivons une triste époque où les journalistes faisant leurs métiers en toute conscience professionnelle se font de plus en plus rares.
David Frenkel
https://www.europe-israel.org/2021/01/washington-la-video-que-les-medias-ne-montreront-jamais-les-partisans-de-trump-ont-protege-la-police-des-antifas-video/
https://www.europe-israel.org/2021/01/washington-temoignage-dun-coordinateur-des-urgences-de-pennsylvanie-ceux-qui-ont-attaques-le-capitole-etaient-des-antifas-deguises-en-proud-boys-pas-des-supporters-de-trump-video/
Washington: la vidéo que les médias ne montreront jamais, les partisans de Trump ont protégé la police des Antifas (Vidéo)
De nombreux témoignages de patriotes présent à Washington le 6 janvier affirment que les casseurs qui ont attaqués le Capitole et la police étaient des Antifas d’extrême gauche, déguisés en supportersde Trump.
Voici une vidéo où l’on voit des partisans de Trump protéger la police :
Hier soir, les partisans de Trump constituaient la majorité de la manifestation, mais ces mêmes partisans ont mis en garde contre l’infiltration d’Antifa avant que la violence n’éclate. Regardez un antifa casser un fenêtre du Capitole au milieu des partisans de Trump, qui ont été manipulés :
un homme qui était à l’intérieur du Capitole lorsque la police a tiré sur un femme témoigne :
des témoins affirment que des Antifa ont infiltré les manifestants et ce sont eux qui cassaient les fenêtres et fracturaient les entrées. Mais aucun média ne rapportera jamais leurs témoignages :
Washington: témoignage d’un coordinateur des urgences de Pennsylvanie « Ceux qui ont attaqués le Capitole étaient des Antifas déguisés en Proud Boys, pas des supporters de Trump » (Vidéo)
Assaut du Capitole: témoignage d’un coordinateur des urgences de Pennsylvanie « Ceux qui ont attaqués le Capitole étaient des Antifas déguisés en Proud Boys, pas des supporters de Trump ».
Le 06 janvier 2021, des violences ont eu lieu à Washington D.C, le Capitole a subit un assaut et un américain qui a vu la scène nous livre son témoignage.
Et vous en voulez encore ?
En voici, en voilà :
Le message suivant du président Trump a été rendu public, car Twitter l’a autorisé. Twitter, et non le président des Etats-Unis, décide ce que le président a le droit de dire aux 88,7 millions d’Américains qui se sont abonnés à son fil Twitter pour écouter leur président.
Président Trump : « Une nouvelle administration sera inaugurée le 20 janvier. Je me concentre maintenant sur la garantie d’une transition du pouvoir en douceur, ordonnée et sans heurts ».
Ce n’est pas parce que le président des Etats-Unis a été démocratiquement élu par le peuple, qu’il peut s’adresser librement au peuple américain. Il doit suivre une procédure. Elle n’est pas inscrite dans la Constitution des Etats-Unis, mais elle a plus de force que la Constitution. Cette procédure passe par la permission de deux chefs d’entreprise de Californie, et la permission n’est pas facile à obtenir. Tout dépend de ce que le président a à dire. Tout n’est pas permis. D’autant que ces chefs d’entreprise n’aiment pas du tout le président Trump, ce qui rend l’autorisation de s’exprimer plus difficile à obtenir.
D’ailleurs Facebook vient de retirer définitivement à Trump le droit de s’exprimer. Comme des centaines de millions de personnes aiment et soutiennent Trump, la réaction a été violente : dix-sept personnes dans le monde se sont désabonnées de Facebook, en signe de solidarité.
Censuré pour votre bien
Mercredi 6 janvier, lorsque le président a lancé un appel au calme après la pénétration illégale de manifestants dans le Capitole, Trump n’a pas reçu la permission de s’exprimer, son message a donc été supprimé.
La presse, d’une voix unanime, a décrété que le président Trump a fomenté les violences au Capitole. Ce n’est pas vrai. Ce n’est même pas le début de la vérité. Mais la presse a décidé que cela devait être la vérité officielle, celle que le public devait croire. L’appel au calme lancé par le président contredisait la vérité officielle. Il devait être supprimé, comme s’il n’avait jamais été prononcé. Twitter l’a supprimé. Pour le public, cet appel n’a jamais été prononcé. Trump a donc provoqué les violences. Dire le contraire est une Fake News.
Interdiction de douter
L’avocat constitutionnaliste Robert Barnes a fait un simple calcul, comme dans les enquêtes criminelles, lorsque la police chronomètre les déplacements d’un suspect pour vérifier s’il pouvait matériellement se trouver sur les lieux au moment du crime. Il a fait ce que faisaient les journalistes du passé qui recherchaient les faits et enquêtaient pour rapporter la vérité.
Et il a rapidement réalisé que ceux qui ont assisté au discours de Trump à l’Ellipse, ne pouvaient matériellement pas avoir eu le temps d’être au Capitole au moment où les manifestants y sont pénétrés. Trump n’a tout simplement pas pu provoquer les incidents du Capitole.
Il a déclaré ceci :
Les partisans qui ont assisté au discours de Trump à l’Ellipse ne pouvaient pas être ceux qui ont pénétré dans la Capitole, car le discours de Trump a été long, et le public ne pouvait pas avoir eu le temps d’arriver au Capitole. Quiconque blâme le discours de Trump (qui n’a jamais appelé à un tel acte de violence) se trompe.
Mais les médias ont pris leurs distances avec la vérité. Je ne suis même pas sûr que si l’on interrogeait un journaliste, il serait capable d’expliquer clairement ce que le mot vérité veut dire. Je suis convaincu que la plupart répondraient que « chacun a sa vérité », que c’est une « notion relative ». Les journalistes ont abandonné toute envie de rechercher la vérité, et encore plus celle de la rapporter lorsqu’elle se présente à eux.
Une seule comparaison devrait suffire à n’importe quelle personne honnête :
- Nous ne sommes que quelques mois après les violences qui ont déchiré l’Amérique suite à la mort de George Floyd. Des violences infiniment plus destructrices, plus mortelles, plus dramatiques et plus longues que les quelques heures du Capitole — que je ne suis pas en train d’excuser.
- Il y a eu 1 mort au Capitole, 59 arrestations et 3 carreaux cassés. (3 autres personnes sont mortes de problèmes médicaux et ont été ajoutées par les médias au bilan pour le noircir). Trois carreaux cassés et quelques dégâts vite réparés, la session du Congrès a d’ailleurs repris le lendemain matin.
- Les violences suite à la mort de Floyd ont duré de mai à octobre. Elles ont fait 30 morts, 14 000 arrestations (1) et 20 milliards de dégâts (2). Elles ont secoué l’Amérique dans son tréfonds. Elles ont détruit des milliers de vies modestes, des centaines de petits commerces — appartenant principalement aux minorités, à des noirs et des immigrés — qui n’avaient que ça et n’ont plus rien. Ces petits commerçants ont perdu le travail de toute une vie. Sans aucun espoir de le reconstruire.
- Les médias déclarent que « les partisans du président Donald Trump ont pris d’assaut le Capitole américain ».
- Ils n’ont jamais une seule fois écrit que « les partisans de Joe Biden ont saccagé l’Amérique, fait 30 morts et détruit des quartiers noirs ». Ils ont parlé de « manifestations pacifiques ». 30 morts et 20 milliards de dégâts, ça correspond à la définition de manifestations pacifiques selon vous ?
Nous vivons sous la domination du mensonge et de la répression des opinions. Mais c’est pour notre bien.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://thefederalist.com/2020/08/19/death-toll-rises-to-an-estimated-30-victims-since-mostly-peaceful-protests-began/
- https://nypost.com/2020/09/16/riots-following-george-floyds-death-could-cost-up-to-2b/