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« Bien mal acquis ne profite jamais »

Les Américains, enfin, ceux qui font de l'hônneteté une de leurs priorités morales, ont été frustrés de voir hier l'ombre d'une élection dont les dés étaient pipés s'étendre dans ce Congrès qui a élu Joe Biden comme président et Kamala Harris en tant que vice-présidente. Le déshonneur s’est non seulement déployé sur le Congrès, mais aussi sur la Cour suprême et sur les juges des tribunaux, qui n’ont pas acceptés, pour des questions de procédures chicanières et dont le subterfuge au service du parti démocrate sautaient aux yeux, que leur soient présentés les preuves flagrantes de fraudes électorales (voir mes nombreux billets à ce sujet). Que valent les tribunaux américains lorsqu’ils sont infestés par l’État profond, celui qui régit de façon souterraine et de manière informelle le pouvoir sur la société américaine. Comment le simple pékin, citoyen des Etats-Unis, ne peut-il ne pas être révolté quand il a entendu Joe Biden déclarer : "Nous avons mis en place, je pense, l'organisation de fraude électorale la plus étendue et la plus inclusive de l'histoire de la politique américaine"  (https://twitter.com/kayleighmcenany/status/1320117044612943872?lang=ar),lorsque le vice-président de Dominion a affirmé : "Ne vous inquiétez pas pour l'élection, Trump ne va pas gagner. Je m'en suis assuré !" (https://www.thegatewaypundit.com/2020/11/report-anti-trump-dominion-voting-systems-security-chief-participating-antifa-calls-posted-antifa-manifesto-letter-trump-online) ? Par ailleurs, moi, le quidam, je m'interroge : comment ces deux personnes n'ont-elles pas fait l'objet d'une citation à comparaître ? En effet, comment de tels propos n'ont-ils pas mis la puce à l'oreille d'aucun magistrat?

Je suis convaincu que, comme dit le proverbe « Bien mal acquis ne profite jamais », l’élection mal acquise ne profitera pas au parti démocrate US.

David Frenkel

Je suis fier j'ai été censuré par Facebook et Twitter (une erreur 404 apparait quand on veut y ouvrir ce billet), vraiment, moi le petit David Frenkel, je suis hissé au niveau de Donald Trump que les deux réseaux sociaux censurent également. Et ne dit-on pas : "il y a que la vérité qui blesse"

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