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Angela Merkel remue un pan du passé allemand

Le ministère des Affaires étrangères de la chancelière allemande Angela Merkel vient d'engager la pécore Nurhan Soykan qui défend le rassemblement annuel parrainé par le régime iranien Al-Qods Day appelant à l’anéantissement d’Israël.

Soulignons donc l'hypocrisie du gouvernement allemand qui d'un côté se lamente sur l'antisémitisme, mais qui d'un autre côté nomme la secrétaire générale du Conseil central des musulmans d’Allemagne, Nurhan Soykan, en tant que consultante pour la religion et le ministère des Affaires internationales, dans son Équipe Religion et politique étrangère. De cette manière pourra-t-elle encourager, et cela sous un sceau officiel, les marches antisémites d’al-Quds (se déroulant le dernier vendredi du mois de ramadan) et justifier la haine de l’État juif.

Après l'alliance de Hadj Amin Al Husseini (1895-1974), leader arabe et grand mufti de Jérusalem (1921-1936) qui a soutenu les nazis et particulièrement leur programme de destruction des Juifs, c'est maintenant Nurhan Soykan qui trouve en Angela Merkel une alliée. Ainsi cette dernière remue-t-elle un pan du passé allemand.

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