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Dans le manuscrit universel, bien des mystères s’y noircissent

Le microbes lilliputiens, progénitures du diable, sucent nos existences de leurs instincts venimeux. S’en prenant à nos haleines, ils chauffent de leur sang nos souffles personnels ; et brûlent de leur venin bien des respirations.

Les bactéries injectent cette angoisse infectieuse qui infecte les esprits sains. Obnubilés par le mal, bien des gens suivent le troupeau broutant l’herbe médiatique devenant indigeste pour des corps pleins d’énergie ; ils vomissent leur dépression sur le malheur imaginé.

Le virus imperceptible dessine le destin morbide de nombre d’innocents. Les perversités du germe traduisent les aléas des coïncidences rencontrées sur les chemins de la destinée. A l’automne de l’âge, le diable infime éclot dans la chair labourée par le tracteur du temps.

Qui a donc enfanté les germes de l’anéantissement ? Qui a donc répandu les fruits du sombre Machiavel ? Dans le manuscrit universel, bien des mystères s’y noircissent...

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