Ma réponse à Monsieur Décaillet :

Monsieur Décaillet, vous écrivez : dans votre dernier billet intitulé ici-même Proche-Orient : le Chemin de Connaissance "Mais j'ai toujours, dès l'adolescence, voué une sympathie semblable au peuple palestinien. Ce qu'ils vivent, depuis 1948, a fortiori depuis juin 67, est innommable" Pourtant, depuis 1948 à 1967 lorsque la Jordanie annexa la Judée Samarie qu'elle nomma Cisjordanie, personne ne parlait de la souffrance d 'un peuple palestinien.; les Arabes n'ont-ils pas refusé en 1948 le plan de partager de l'ONU qui leur accordait un Etat aux côtés d'Israël ? Ce n'est seulement après qu'Israël eut conquis la Judée Samarie suite à une guerre que la Jordanie lui a déclarée, rappelons le quand même, qu l'on commença à parler d'un peuple palestinien. L’objectif principal de ce peuple palestinien inventé était de mettre des bâtons dans les roues de l’État juif d’Israël, de chasser/tuer les juifs afin de s’emparer de tout leur territoire et de le répartir entre la Jordanie, la Syrie, l’Égypte, l’Iraq… ou d’en faire un nouvel État islamique.Et à toutes fins utiles, je vous signale que jusqu'en 1948, c'était les juifs qui étaient qualifié de palestinien. Les Arabes, si on les qualifiait ainsi, le prenait pour une insulte. Bien à vous.

David Frenkel