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Cherchez l'erreur...

Voici un exemple des atrocités qui pourrissent notre monde jour après jour dans le plus stricte anonymat :

Abdelwahid Al Nur, le téméraire avocat défendant les droits de l’homme et le meneur du Mouvement de Libération du Soudan se démène tant et plus pour avertir les instances internationales sur les carnages commis journellement par les troupes d’obédience islamiste œuvrant à Karthoum et qui prennent pour cible les manifestants se dressant contre le gouvernement despotique du Soudan. Aussi n'y compte-t-on plus les destructions de villages, le déplacement de nombre de personnes dans le désert où faute d’habitations correctes, du minimum vital nécessaire, et où par manque d’encadrement médical, les déplacés y trouvent la mort, car toute assistance humanitaire leur est interdite.

Mais pourquoi donc les médias restent-ils motus et plumes cousues devant ces monstruosités humaines ?

A mon triste avis, la raison en est, chers lecteurs, qu’il ne s’agit (1) ni de la guerre russo-ukrainienne dont la bien-pensance médiatique, et il convient de l'admettre, dénonce à juste titre les agissements égotiques d’un despote nostalgique de la gloire perdue de l’empire soviétique ; (2) ni du conflit israélo-palestinien où même l'unique assaillant, souvent terroriste, tué par Israël fait réagir une presse à la solde de ceux dont l'anti-israélisme primaire prend ses racines dans l’inconscient antisémite d’une certaine extrême droite qui curieusement de nos jours fait florès à l’extrême opposée.

David Frenkel

 

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